Quelques principes et quelques exemples…
Caractéristiques des outils Web 2.0 –Le web comme plateforme –La longue traîne –Lintelligence collective –La corne dabondance des foules (Crowdsourcing)
Outils du Web 2.0 utilisés par les scientifiques Blogs (Wordpress) et microblogs (Twitter) Réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn) Wikis Podcasts Syndication de contenus par RSS Agrégateurs (Google, Diggit, delicious, Youtube)
Science 2.0 ? (Olivier Ertzscheid) E-Science ? (Evelyne Broudoux) Nouvelles formes / Nouveaux lieux –Émergence de communautés scientifiques en ligne –Réseaux sociaux académiques –Blogs de science
La communauté scientifique face au Web types dacteurs scientifiques sur le Web 2.0 –Chercheurs et équipes de recherche –Acteurs éditoriaux –Institutions et organismes de financement
La communauté scientifique face au Web 2.0 (Chartron et Broudoux 2009) Pour les chercheurs et les équipes de recherche : Individuelle dabord avec lauto-publication. Ils annoncent, valorisent la recherche et se fabriquent une réputation. Collective privée - Espaces d'échanges d'informations entre Pairs qui fabriquent et diffusent de l'information et construisent une légitimité restreinte à l'intérieur des communautés. Collective publique - Dépôts des productions scientifiques dans des archives avec sollicitation de commentaires, partages de références…
Quelques exemples
La communauté scientifique face au Web 2.0 Editeurs –Elsevier : 2collab –Springer : Cite U like et Author Mapper
La communauté scientifique face au Web 2.0 Institutions –MyExperiment (U. Southampton) –Nanohub (NSF) –Agora (UNTE / USJ) »Conférences (Audio / Vidéo)
Outils bientôt proposés à lUSJ –USJ.Blogs Disponible début Mars + programmes de formations Plateforme de multiblogging –Chercheurs, projets, équipes, espaces collaboratifs –USJ.Ressources Mise en ligne et partage de ressources numériques En mode privé… –Moodle Environnement numérique denseignement (Privé) –Cours, Wikis, Espaces collaboratifs
En conclusion : Nouveaux outils : nouvelles pratiques, nouveaux espaces Le web 2.0 est basé sur des valeurs positives, comme la collaboration et léchange : y participer implique lacceptation de nouvelles règles. Le web est un espace de popularité, il ne valorise pas scientifiquement en tant que tel La validation scientifique reste largement basée sur lévaluation par les pairs. La popularité deviendra t-elle un critère dévaluation propre aux sciences 2.0 ? Danger pour les structures de lindustrie de la valorisation scientifique et pour son modèle économique ?
Merci.