Bien que Mr.et Mme. Gayraud aient beaucoup travaillé pour le Le Président : Bien, je vais vous faire une déclaration qui n’appellera aucun commentaire. C’est ma déclaration de président, c’est tout, et après je passerai la parole aux représentants des collectivités qui nous ont fait l’honneur d’assister à notre assemblée générale « J’ai laissé Mr. Gayraud s’exprimer, maintenant je vous faire connaître qu’elle a été ma motivation pour accepter la démission de Mr. Gayraud. Bien que Mr.et Mme. Gayraud aient beaucoup travaillé pour le C.O.S. depuis de nombreuses années, en quelques mois, la situation s’est beaucoup dégradée. Mr. Gayraud devenait incontrôlable, il s’emportait surtout lorsque l’on s’opposait à lui, il ne voulait plus écouter les administrateurs qui lui faisaient des observations. Ses réponses fétiches étaient : " j’ai les pleins pouvoirs, je fais ce que je veux " ou " Je suis l’ordonnateur ". Les adhérents doivent savoir ce que nous subissions depuis plusieurs mois. Commentaire D GAYRAUD : je m’interroge comment GRIS PATRICK Président du COS peut-il affirmer de telles choses alors qu’il n’était présent physiquement dans les locaux du COS en moyenne une fois tous les quinze jours pour une durée limitée à environ une demie heure d’une part ,d’autre part je m’inscrit en faux sur le fait que je n’aurais pas écouter les administrateurs qui faisaient des observations toutes les décisions étaient prises soit par le bureau soit par le Conseil d’administration du COS les débats étaient enregistrés numériquement et retransmis sur un Procès-verbal archivé dans les locaux du COS j’apportais toujours une réponse à mes contradicteurs les décisions se prenaient en cas de litige par un vote que je respectais . En guise de subir je pense plutôt que c’est moi qui subissait je devais au quotidien prendre des décisions sur le fonctionnement du Comité avec 2

administratrices SYLVIE CARPENTIER et MARIANNE VERPLANCKE la deuxième à savoir MARIANNE VERPLANCKE aurait voulu être ordonnateur à la place du Président ou du VICE Président je devais freiner des ardeurs car il s’agissait de responsabilités juridiques et comptables voir morale dans certains cas. Pour pouvoir faire ce qu’elle voulait Md VERPLANCKE il est facile de comprendre que l’on aurait voulu me faire passer pour fou ou débile mentale à ce sujet j’attends la fin des élections pour m’exprimer de manière plus détaillée. D GAYRAUD GRAU D’AGDE le Samedi 02 MAI 2015