Rueil-Malmaison – ville Jumelle de Sergueiv Possad
Objectifs 1. Faire connaître des aspects culturels et sociaux de la vie des Rueillois. 2. Comparer des aspets des deux cultures. 3. Evaluer la compréhension orale. 4. L’ évaluation orale se fera à l’ occasion des prises de parole spontanées ou l’initiative du professeur. 5. Evaluer les compétences linguistiques et acquises. 6. Chaque îcone propose une couverture plus approfondie de tous les aspects du langage (vocabulaire, compréhension orale)
Matériel 1. Les documents de la société historique de Rueil-Malmaison 2. www.mairie.rueilmalmaison.fr 5.12.2017 email: elenaborisovna007@mail.ru
Rueil-Malmaison Sergueiv Possad et Rueil-Malmaison se sont jumelées en novembre 1989. Située à 8 kilométres à l’ouest de Paris, dans le département des Hauts-de-Seine, Rueil-Malmaison est une ville moyenne de 67000 habitants. Ancienne commune rurale, longtemps ville de maraîchers, connu pour la pureté de ses eaux, Rueil-Malmaison est devenue une cité moderne, siège de nombreux bureaux et grandes sociétés.
Blason Napoléon III en a surveillé étroitement sa création pour l’ offrir à la ville. On y trouve les symboles de sa propre vie: le château de la reine Hortense, les hortensias de la serre de Joséphine et le «N» de Napoléon 1.
L’église Saint-Pierre-Saint-Paul Dans le Vieux Centre de Rueil, qui a su conserver son caractère de village, se dresse l’Eglise Saint-Pierre – Saint-Paul, classée monument historique. C’est Antoine 1, Roi du Portugal alors en exil, qui en posa la première pierre en 1584. La particularité de cette église est que son clocher roman a été élevé durant l’invasion anglaise de 1420 a 1432. Cette église abrite les tombeaux de l’Impératrice Joséphine et de la Reine Hortense, ainsi que de belles orgues, signées Bacchio d’Agniolo, offertes par Napoleon III.
L’ancienne mairie de Rueil A deux pas de l’Eglise, l’Ancienne Mairie de style Second Empire, copie de celle de Fontainebleau, a été construite en pierres de taille et briques rouges et fut inaugurée le 7 novembre 1869. Aujourd’hui, elle accueille le Musée d’Histoire de la ville. Véretable mémoire de Rueil-Malmaison, ce Musée retrace l’histoire de l’ évolitiom d’un petit village de Charles le Chauve à nos jours.
La Malmaison Le château de Malmaison fut, sous le Consulat, la demeure de Joséphine et de Bonaparte. Et, bien davantage que les années qu’y passa ensuite l’Impératrice répudiée, c’est cette période de gloire, de faste et de bonheur, qu’il évoque avant tout. De 1801 à 1802, se trouva ici, tout autant qu’ à Paris, le gouvernement de la France, dans ce château où, jour après jour, se succédaient réunions de travail, réceptions officielles et privées, concerts, bals et jeux champêtres…
La Malmaison C’esr ici, dans ces pièces, dans le bureau ou dans la salle de conseil, qu’ont été prises la plupart des grandes orientations et décisions du Consulat. Un Bonaparte encore jeune, débordant de vie et d’imajination, a conçu ici le Code civil et créé la Legion d’Honneur… Joséphine, après son divorce, en 1809, a continué à vivre dans cette demeure et y a parout apposé la marque de sa personnalité et de son goût.
Bois-Préau A peu de disrance de Malmaison, un autre château Bois Préau, évoque de souvenir de l’Empereur à Sainte-Hélène et le retour de ses cendres à Paris. De nombreux objets personnels, souvent fort émouvants, font pénétrer dans l’intimité de l’Empereur en exil.
Château de la Petite Malmaison La Petite Malmaison dut construite en 1805 pour l’Impératrice Joséphine, par l’architecte Berthault. Entourée d’arbres centenaires, la Petite Malmaison garde l’attrait des maisons aimées et le charme d’une maison particulière. Son aquarélliste botaniste Redouté y créa ses plus belles roses.
Le seine au temps des impressionnistes Au milieu di XIX, les bords de Seine sont pris d’assaut par les Parisiens et les Parisiennes en toilettes claires qui arrivent le dimanche, par le train de 11 heures, en gare de Rueil. C’est le temps des Impressionnistes et des guinguettes. Renoir, grand amateur des auberges de banlieue, devient un habitué et immortalise ces endroits sur ses toiles, tout comme Manet et Monet. Ils ne sont pas les seuls à aimer ce lieu: Maupassant, Flaubert et les Rothshild ont aussi le coup de foudre pour ces bords de Seine.