Par Nanou et Stan-Progression manuelle

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Transcription de la présentation:

Par Nanou et Stan-Progression manuelle Jacques Chirac le dernier Gaulois Par Nanou et Stan-Progression manuelle

À Saint-Étienne, en janvier 1986. « Dans la vie, il y a des hauts et des bas. Il faut surmonter les hauts et repriser les bas. » À Saint-Étienne, en janvier 1986. (Photo : Jacques Chirac en Martinique, le 12 septembre 1987.)

(Photo : au sommet de Copenhague, décembre 1987.) « Je suis sur le cul : je viens de menacer Mitterrand de démissionner, et il s’en fout ! » (Photo : au sommet de Copenhague, décembre 1987.)

« J’ai quand même bien niqué les socialistes. » Après le premier tour de la présidentielle de 2002. (Photo : avec son Premier ministre Lionel Jospin au sommet du Conseil de l'Europe à Strasbourg, le 11 octobre 1997.)

(Photo : le 28 octobre 1986 à Frankfort.) « Moi, je ne vois pas tout le temps la main de Mitterrand dans la culotte de ma sœur. » À propos des rumeurs de complot de l’Élysée contre le gouvernement d’alternance, entre 1986 et 1988. (Photo : le 28 octobre 1986 à Frankfort.)

À Michel Rocard, qui lui succède au poste de Premier ministre en 1988. « Méfie-toi de Mitterrand. C’est quand il te sourit qu’il a le poignard le plus solide dans la main. » À Michel Rocard, qui lui succède au poste de Premier ministre en 1988. (Photo : Chirac et Mitterrand au Mont Valérien, commémorant l'appel du 18-Juin en 1987.)

« Il n'y a pas de différend entre le ministre des Finances et moi, pour une raison simple c'est que, notamment s'agissant de la Défense, je décide et il exécute. » Au sujet de Nicolas Sarkozy, au cours de l'interview télévisée du 14 juillet 2004. (Photo : Nicolas Sarkozy, délégué départemental jeunes de l'UDR, et le Premier ministre Jacques Chirac, le 23 juin 1976 à Paris.)

« Sarkozy, il faut lui marcher dessus, du pied gauche « Sarkozy, il faut lui marcher dessus, du pied gauche. D'abord, parce que ça porte bonheur et puis parce qu'il n'y a que ça qu'il comprenne. » Cité par Ghislaine Ottenheimer dans le livre Le Fiasco (Albin Michel, 1996). (Photo : énervé, Jacques Chirac, président de la République, quitte le Stade de France suite aux sifflets durant l'hymne national le 11 mai 2002, et affiche sa colère devant Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur.)

« Ce type, c'est quand même un remède contre l'amour, non? » Jacques Chirac sur Édouard Balladur. Citation non datée. (Photo : Balladur et Chirac, le 13 avril 1994 à Paris, lors du conseil national du RPR.)

« La grande force d'Édouard, c'est le génie de la paresse et de son petit confort personnel. Il se lève tranquillement, jette un vague coup d’œil aux journaux, ne lit jamais un dossier, ne reçoit jamais un emmerdeur, mange un filet de sole avec un verre d'Évian – c'est le régime Giscard –, papote avec deux ou trois collaborateurs, et, à 8 heures sonnantes, rentre chez lui pour dîner avec sa femme et se mettre au lit dans son lit douillet avec Connaissance des Arts ou La Gazette de l'Hôtel Drouot. » (Photo : les deux hommes dévoilent une plaque au maréchal Leclerc de Hautecloque, 29 novembre 1994 à Paris.)

Au début de la troisième cohabitation, en 1997. « Je ne vais pas l’agresser d’emblée. On en a pour cinq ans. De toute façon, il se plantera. C’est la loi de Matignon, et j’en sais quelque chose. » Au début de la troisième cohabitation, en 1997. (Photo : Chirac et Jospin quittent une conférence de presse après un sommet européen le 16 juin 2001 à Göteborg.)

« Ce jour-là, la rivière devait être à sec, tant cette rancune est demeurée chez lui tenace et comme inépuisable. » À propos de Giscard, qui disait avoir « jeté sa rancune à la rivière ». (Photo : Jacques Chirac face à Valéry Giscard d'Estaing sous le regard de Claude Labbé, le 2 octobre 1984 à l'Assemblée nationale.)

« Giscard lui-même m'a encouragé à aller à Matignon… Mais s'il m'a poussé, c'est sûrement pour que je me casse la gueule. » (Photo : le Premier ministre Jacques Chirac, candidat à l'élection présidentielle, échange des propos animés avec l'ancien Président Valéry Giscard d'Estaing, le 6 mai 1988 à l'aéroport d'Aulnat lors du dernier meeting de campagne du chef du gouvernement, à 48 heures du second tour de la présidentielle.)

« On n’exporte pas la démocratie dans un fourgon blindé. » À Silvio Berlusconi lors des débats sur la guerre en Irak, en 2003. (Photo : Jacques Chirac avec le Premier ministre italien Silvio Berlusconi en février 2005, deux ans après le début de la guerre en Irak.)

À propos de Margaret Thatcher, lors d'un sommet européen en 1988. « Mais qu'est-ce qu'elle me veut de plus cette ménagère, mes couilles sur un plateau ? » À propos de Margaret Thatcher, lors d'un sommet européen en 1988. (Photo : Margaret Thatcher, alors chef du Parti conservateur britannique, est reçue par le Premier ministre Jacques Chirac en mai 1975 à Matignon.)

« Après consultation du Premier ministre, du président du Sénat et du président de l'Assemblée nationale, j'ai décidé de dissoudre l'Assemblée nationale. » Le 21 avril 1997.

« La France, mes chers compatriotes, je l'aime passionnément « La France, mes chers compatriotes, je l'aime passionnément. J'ai mis tout mon cœur, toute mon énergie, toute ma force, à son service, à votre service. Servir la France, servir la paix, c'est l'engagement de toute ma vie. » Le 11 mars 2007, dernier discours officiel avant de quitter le pouvoir.

« Quelles que soient les circonstances, la France votera non parce qu'elle considère ce soir qu'il n'y a pas lieu de faire une guerre pour atteindre l'objectif que nous nous sommes fixés, c'est-à-dire le désarmement de l'Irak. » Interview télévisée avec Patrick Poivre d'Arvor et David Pujadas, le 10 mars 2003 au Palais de l'Elysée.

« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. » Sommet pour la terre, le 2 septembre 2002 à Johannesburg.

« Les Harkis ne sauraient demeurer les oubliés d’une histoire enfouie « Les Harkis ne sauraient demeurer les oubliés d’une histoire enfouie. Ils doivent désormais prendre toute leur place dans notre mémoire. » Le 25 septembre 2001, lors d'une cérémonie en l'honneur des Harkis algériens qui ont combattus au côté de la France durant la Guerre d'Algérie.

« Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'État français (...). La France, patrie des Lumières et des Droits de l'Homme, terre d'accueil et d'asile, la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux. » Le 16 juillet 1995, lors de la commémoration de la rafle du Vel d'Hiv à Paris. Jacques Chirac était ainsi le premier chef d'État à reconnaître le rôle de la France dans la déportation des juifs.

Le 13 juin 1995, conférence de presse à l'Élysée. « Après mûre réflexion, après de larges consultations, j'ai pris la décision, parce que je la considérais nécessaire aux intérêts supérieurs de notre nation, d'autoriser la fin de cette campagne d'essais (nucléaires) et cette décision est naturellement irrévocable. » Le 13 juin 1995, conférence de presse à l'Élysée.

Dans ses mémoires Chaque pas doit être un but, NiL éditions, 2009. « Le 17 septembre 1981, je fais partie des seize députés d'opposition, avec, entre autres, Philippe Seguin, Michel Noir et Jacques Toubon, qui votent l'abolition de la peine de mort. J'ai toujours été hostile à la peine de mort, estimant qu'en aucun cas elle ne saurait constituer un acte de justice. Personne, selon moi, n'est en droit de porter atteinte à la vie humaine. J'ai beaucoup regretté qu'on ait tant tardé à prendre une telle décision. Mais celle-ci ne pouvait venir que du chef de l'État, seul détenteur du pouvoir de gracier ou non un condamné. Si j'avais été élu président de la République en mai 1981, c'est une des premières mesures que j'aurais tenté de faire adopter, mais avec moins de facilité, sans doute, que François Mitterrand. Peut-être n'aurais-je pas été suivi par ma propre majorité, si j'en juge par le grand nombre de parlementaires de droite et du centre à s'être prononcés, le 17 septembre 1981, contre l'abolition. » Dans ses mémoires Chaque pas doit être un but, NiL éditions, 2009.

« J'ai changé de bière. Je suis passé de la Corona à la Kronenbourg 1664. » Répondant à la question « Avez-vous le sentiment d'avoir changé depuis votre élection ? »

« Ça m'en touche une sans faire bouger l'autre. » Expression popularisée par Jacques Chirac, dont Le Canard enchaîné a révélé qu’il l’utilisait. (Photo : Garden party au ministère des Affaires étrangères, le 13 juillet 2004.)

« J'apprécie beaucoup plus le pain, le pâté, le saucisson que les limitations de vitesse. » L'Auto-Journal, août 1977. (Photo : le Premier ministre Jacques Chirac pose en combinaison de pilote, en septembre 1975, sur la base aérienne de Saint-Dizier, après son vol d'une heure à bord d'un avion de chasse Jaguar.)

« J'aime le bon vin, je n'abuse pas « J'aime le bon vin, je n'abuse pas. Mais la bière a un avantage, c'est que cela désaltère, vous comprenez. Cela coupe la soif et il n'y a pas trop d'alcool dedans, beaucoup moins que dans le vin. Alors on peut boire davantage. » Interviewé par le quotidien tchèque Mlada Fronta Dues, le jeudi 3 avril 1997. (Photo : Jacques Chirac et le chancelier allemand Gerhard Schroeder partagaent une bière, le 4 septembre 2003 à Dresden.)

« Bien sûr que je suis de gauche « Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière. » Libération, le 17 février 1995 (Photo : le chancelier allemand Helmut Kohl avec Jacques Chirac à Strasbourg le 18 mai 1995, quelques jours seulement après son élection.)

« Buvons à nos femmes, à nos chevaux, et à ceux qui les montent. » Cité dans le Nouvel Observateur du 11 juillet 1991 (Photo : avec le ministre de l'Agriculture Jean Glavany et le président de la FNSEA Luc Guyau, le 18 février 2001 au Salon de l'agriculture).

Cité par Libération, le 17 février 1995. « Je n’aime pas les questions d’intellectuels qui se branlent tellement fort qu’ils en mettent sur les murs. » Cité par Libération, le 17 février 1995. (Photo : durant la campagne pour l'élection présidentielle, le 10 avril 1995 au Cirque d'hiver.)

Cité dans Le Monde du 2 février 1987. « Pour moi, la femme idéale, c'est la femme corrézienne, celle de l'ancien temps, dure à la peine, qui sert les hommes à table, ne s'assied jamais avec eux et ne parle pas. » Cité dans Le Monde du 2 février 1987. (Photo : avec son épouse Bernadette, candidate à l'élection cantonale de Corrèze, en mars 1979, dans leur propriété de Bity, à Sarran en Corrèze.)

« Le pouvoir ne se partage pas. » (Photo : dans le Val-de-Marne, durant les élections législatives de 1978 conduite par Jacques Chirac alors président du RPR.)

« Ma femme est un homme politique. » Dans L'année Chirac : l'avenir à bras-le-corps, par Véziane de Vézins (1996). (Photo : arrivée au bureau de vote de Sarran, en Corrèze, le 7 mai 1995 pour l'élection présidentielle.)

Dans L’Express, le 13 février 1978. « Lorsque j'engage un combat, il ne me vient pas à l'idée que je puisse le perdre. » Dans L’Express, le 13 février 1978. (Photo : 29 février 1977 à Paris, alors que Jacques Chirac est candidat à la Mairie de Paris.)

(Photo : campagne pour l'élection présidentielle de 1981.) « Quand on veut défendre les libertés, on est bien obligé de constater que l’on va à contre-courant de l’histoire. » À l’Assemblée, le 15 juin 1977. (Photo : campagne pour l'élection présidentielle de 1981.)

Campagne présidentielle de 1995. « La politique n’est pas seulement l’art du possible. Il est des moments où elle devient l’art de rendre possible ce qui est nécessaire. » Campagne présidentielle de 1995. (Photo : Jacques Chirac lors d'un voyage électoral à la Réunion, le 21 décembre 1994, à Saint-Denis.)

« Un chef, c'est fait pour cheffer. » Le Figaro magazine, 20 Juin 1992. (Photo : campagne pour la Mairie de Paris en 1977.)

« Qui fera mon éloge funèbre « Qui fera mon éloge funèbre ? Vous direz des choses gentilles que vous ne pensez pas ! » À ses collaborateurs, alors qu’il écrit l’hommage funèbre de Philippe Seguin. (Photo : le Premier ministre se recueille sur la tombe de Georges Pompidou, en 1975 à Orvilliers.)

« À qui dois-je quelque chose ? » Au moment de nommer un gouvernement ; propos rapportés. (Photo : en 1988.)

« Quand j'ai été élu, j'avais 32 ans et je suis entré tout de suite au gouvernement. Je suis resté ensuite tout le temps. Les gouvernements changeaient, moi je restais avec les meubles. » Le 16 juillet 2006. (Photo : le Premier ministre arrive à l'Élysée pour le conseil des ministres, le 8 octobre 1975.)

Conseil aux ambassadeurs. « Portez des couleurs plus vives, faites-vous sponsoriser par les grands couturiers, soyez bronzés, n'ayez pas l'air de cadavres. » Conseil aux ambassadeurs. (Photo : conférence annuelle des ambassadeurs à Paris, le 28 août 2000.)

« Avec Matignon, tu es poli, mais tu t'en fous ; avec l'Élysée, tu es servile. » À un jeune ministre. (Photo : Jacques Chirac embrasse ses supporteurs le 11 juin 1995, avant de voter aux élections municipales de Sarran, où sa femme est conseillère municipale.)

« En matière de politique internationale, on ne retient mes propos que si je dis des conneries. » (Photo : avec le Grand Chef des Kayapos au Brésil, Raoni Metuktire, en visite à Paris en mai 2010.)

« Aujourd'hui, on rapporte une histoire abracadabrantesque « Aujourd'hui, on rapporte une histoire abracadabrantesque. On fait parler un homme mort il y a plus d'un an. On disserte sur des faits invraisemblables qui ont eu lieu il y a plus de 14 ans. » Le 21 septembre 2000, interview télévisée sur France 3 avec Élise Lucet, au sujet de la cassette Méry, confession posthume de l'homme d'affaires RPR décédé en 1999, publiée dans le journal Le Monde du 22 septembre.

(Photo : le 3 mars 1975 à l'Hôtel Matignon). « Vous êtes mon ami personnel. Vous êtes assuré de mon estime, de ma considération et de mon affection. » À Saddam Hussein, le 5 septembre 1974. La France devenait la premier fournisseur d'armes à l'Irak et était en train de lui construire un réacteur nucléaire, finalement détruit par Israël en 1979. (Photo : le 3 mars 1975 à l'Hôtel Matignon).

(Photo : Salon de l'Agriculture de 2006.) « Dans une campagne électorale, quand vous voyez un buffet, il faut manger. Quand vous voyez des toilettes, il faut y aller. » Libération du 27 mars 1995 (Photo : Salon de l'Agriculture de 2006.)

« Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille. » (Photo : conférence de presse à Nice, 11 décembre 2000.)

« Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose « Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. (…) Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs. (…) Comment voulez-vous que le travailleur français qui habite à la Goutte-d'or où je me promenais avec Alain Juppé il y a trois ou quatre jours, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! (…) Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur, eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. (…) Et ce n’est pas être raciste que dire cela. » Le 19 juin 1991, au cours d'un dîner-débat du RPR. Grâce notamment à la chanson éponyme du groupe Zebda, l’expression « le bruit est l’odeur » est restée symbolique de la tentation des hommes politiques de prêcher des propos populistes lorgnant vers l’extrême-droite.

(Photo : Jacques Chirac Premier ministre, 8 mars 1975 à Paris.) « Dans une élection, il faut aller chercher les électeurs avec les dents. » À L'Express, 13 février 1978. (Photo : Jacques Chirac Premier ministre, 8 mars 1975 à Paris.)

À la fin de l’alternance en tant que Premier ministre, en 1988. « Je ne suis pas assez hypocrite, ni assez calculateur, pour devenir un homme politique de haut niveau. » À la fin de l’alternance en tant que Premier ministre, en 1988. (Photo : en mars 1986 en meeting à Ussel.)

« On fait les cadeaux avant les élections et on décide les impôts tout de suite après. » Le 26 mai 1981. (Photo : le 9 avril 1978.)

« Le gaullisme sans De Gaulle, c'est vouloir faire du civet sans lièvre. » (Photo : le maire de Paris et président du RPR s'adresse au comité central du parti, en 1979).

Le Figaro magazine, février 1993. « Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir. » Le Figaro magazine, février 1993. (Photo : Jacques Chirac depuis l’Élisée le 4 octobre 2005, avant de poser avec Silvio Berlusconi durant un sommet franco-italien.)

Jacques Chirac, né le 29 novembre 1932 dans le 5e arrondissement de Paris, est un homme d'État français. Il est le 22e président de la République française du 17 mai 1995 au 16 mai 2007. À l'origine de la fondation de deux partis politiques classés à droite de l'échiquier politique, le Rassemblement pour la République (RPR) en 1976 puis l'Union pour un mouvement populaire (UMP) en 2002, il occupe à plusieurs reprises la fonction de député de la Corrèze et est le maire de Paris entre 1977 et 1995. Il est Premier ministre sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing de 1974 à 1976, puis sous la présidence du socialiste François Mitterrand, de 1986 à 1988, étant ainsi le premier chef du gouvernement d'une cohabitation sous la Ve République et, par la même occasion, la seule personnalité politique sous ce même régime ayant assumé par deux fois la charge de Premier ministre. Il se présente sans succès aux élections présidentielles de 1981 et 1988. Jacques Chirac devient président de la République le 17 mai 1995, à la suite de son élection face au candidat socialiste, Lionel Jospin. Le début de son premier mandat est marqué par le plan Juppé de 1995 et par la reconnaissance de la responsabilité de l'État français dans la déportation des juifs au cours de l'occupation de la France par l'Allemagne nazie ; il est ensuite contraint à une cohabitation avec Lionel Jospin à la suite de la dissolution manquée de l'Assemblée nationale en 1997, doit faire face à des affaires judiciaires dans lesquelles il est directement mis en cause, et se rallie à la proposition, ratifiée par un référendum en 2000, de ramener la durée du mandat présidentiel à cinq ans. Lors de l'élection présidentielle de 2002, il est réélu au second tour avec 82,2 % des voix face au candidat du Front national, Jean-Marie Le Pen. Pendant son second mandat, qui voit progressivement sa cote de popularité chuter, il s'oppose notamment à la guerre d'Irak et s'implique pour le « oui » dans le référendum de 2005 sur la Constitution européenne, qui se solde par la victoire du « non ». Il décide de ne pas briguer un troisième mandat présidentiel. ……../……..

Il siège ensuite au Conseil constitutionnel, dont il est membre de droit en tant qu'ancien président de la République, jusqu'en mars 2011, date à partir de laquelle il se met en retrait du fait de son état de santé et de ses ennuis judiciaires. En décembre 2011, il est condamné à deux ans de prison avec sursis dans le cadre de l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. http://www.nanouetstan226.fr Nanou et Stan le 17/09/2018