Les répliques les plus cinglantes de François Mitterrand Imbéciles !. Les répliques les plus cinglantes de François Mitterrand Barbara: "Un homme, une rose à la main" Par Nanou et Stan
Conversation avec des journalistes en mai 1987, citée dans Mitterrand, pensées, répliques et anecdotes compilées par Michel Charasse, 2012.
Propos rapportés.
Sur TF1, le 25 mars 1990.
À Valéry Giscard d'Estaing, lors du débat d'entre-deux tours de l'élection présidentielle de 1981.
Dans Libération, le 29 janvier 1992.
À propos de Georges Pompidou, dans la chronique La Paille et le Grain (1975).
Dans Le Coup d'État permanent, essai paru en 1964.
Citant Georges Clémenceau en remplaçant le nom de Poincaré par celui de son Premier ministre ; propos rapportés.
Propos rapportés par Franz-Olivier Giesbert dans La Fin d’une époque, 1993.
Propos rapportés.
Nobel de la paix Elie Wiesel, paru en avril 1995. Dans Mémoire à deux voix, essai réflexif et biographique écrit par Mitterrand et le prix Nobel de la paix Elie Wiesel, paru en avril 1995.
Mitterrand dresse cette liste lorsque des journalistes lui demandent, en 1994, de désigner ceux qui pourraient lui succéder. Cité par Le Figaro le 20 mars 1993.
Propos rapportés par Georges-Marc Benamou dans Le Dernier Mitterrand.
Cité par Franz-Olivier Giesbert dans son livre La tragédie du président.
Cité dans Mitterrand par Mitterrand, recueil de citations publié par Roger Gouze en 1994.
Dans le livre-chronique de François Mitterrand, La Paille et le grain, 1975.
Au sujet du général De Gaulle, dans La Rose au poing, 1973.
Dans Paris Match, le 22 avril 1988
Interview dans France-Soir, le 21 février 1980.
Dans l'hebdomadaire socialiste L’Unité, 1977.
François Mitterrand reste pour l'histoire ce personnage si bien décrit par Barbara dans sa chanson Regarde : "Un homme, une rose à la main, a ouvert le chemin vers un autre demain. (...) Regarde, au ciel de notre histoire, une rose, à nos mémoires, dessine le mot espoir." Le 10 mai 1981, il devient le premier socialiste élu président de la République française sous la Ve République. Né à Jarnac le 26 octobre 1916, Mitterrand meurt à Paris le 8 janvier 1996. Entre les deux, sa vie, digne d'un roman. Une histoire française. Il y a la Seconde Guerre mondiale, le régime de Vichy et la Résistance, il y a les ministères - Mitterrand cumulera onze portefeuilles - et puis l'Algérie. Il y les présidentielles de 1965 et 1974, l'attentat de l'observatoire et les campagnes victorieuses, celle de 1981, mais aussi celle de 1988. Entre-temps, la rigueur, qui traumatise les siens pour des décennies. Il y a aussi ses deux familles, Danielle Mitterrand, ses fils et Anne Pingeot, Mazarine. Il y a sa maladie, le secret, son rapport à la mort. François Mitterrand était un homme de rite, passionné par le site de Solutré. C'était un homme de culture, c'était aussi un Européen convaincu. Nanou et Stan le19/09/2018