L’amitié ! Henri de Lacordaire Par Nanou et Stan
La véritable amitié est pure
Elle ne cherche aucune faveur en retour, Elle élève celui qui la donne
La véritable amitié est généreuse
Elle est plus forte que tous les préjugés Elle anoblit celui qui la donne !
La véritable amitié est fidèle
Elle n’est pas altérée par le temps, Elle honore celui qui la donne
La véritable amitié est tenace
Elle est faite de loyauté et de franchise, Elle grandit celui qui la donne!
La véritable amitié est magnanime
Elle ne pose aucune condition Elle embellit celui qui la donne
La véritable amitié est absolue
Elle n’est jamais donnée par miettes, Elle fait honneur à celui qui la donne !
La véritable amitié est spontanée !
Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage, Elle récompense celui qui la donne
La véritable amitié est sincère
Elle ne pose pas de conditions, Elle enrichit celui qui la donne
Jean-Baptiste-Henri Lacordaire, en religion le père Henri-Dominique Lacordaire, né le 12 mai 1802 à Recey-sur-Ource (Côte-d'Or), mort le 21 novembre 1861 à Sorèze (Tarn), est un religieux, prédicateur, journaliste et homme politique français. Restaurateur en France de l'Ordre des Prêcheurs (dominicains), il est considéré aujourd'hui comme l'un des précurseurs du catholicisme libéral. Fils de Nicolas Lacordaire, médecin de la marine française pendant la Guerre d'indépendance aux États-Unis, Henri Lacordaire est élevé à Dijon par sa mère, Anne Dugied, fille d'un avocat au parlement de Bourgogne, précocement veuve — son mari décède en 1806. Il a trois frères : l'entomologiste Théodore Lacordaire, l'ingénieur des mines de Saint-Étienne et directeur de la manufacture des Gobelins de 1850 à 1860, Adrien-Léon Lacordaire1, et Télèphe Lacordaire, chef d'escadron du 6e Hussard de l'armée française2. Bien qu'élevé dans la foi catholique, il s'en éloigne pendant ses études au lycée de Dijon. Il étudie ensuite le droit, se destinant à la carrière d'avocat, et se signale par ses qualités d'orateur au sein de la Société d'études de Dijon, un cercle politique et littéraire réunissant la jeunesse royaliste de la ville, où il découvre les théories ultramontaines de Louis de Bonald, Joseph de Maistre, et Félicité de Lamennais. Sous leur influence, Lacordaire renonce peu à peu aux idées des encyclopédistes et au rousseauisme, conservant cependant un amour profond et sincère de la liberté et des idéaux révolutionnaires de 1789. http://www.nanouetstan226.fr Nanou et Stan le 12/11/2018