Didier Uriot, Nicolas Chauvin, NGHIEM Phu Anh Phi, Roscoff 2015

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Transcription de la présentation:

CALCUL MASSIF Vers des simulations plus réalistes des accélérateurs linéaires de haute intensité Didier Uriot, Nicolas Chauvin, NGHIEM Phu Anh Phi, Roscoff 2015 CEA | 10 AVRIL 2012

Problématique Calcul massif Outil & méthodes Simulations IFMIF SPIRAL2 Abstract: En matière de simulation des faisceaux intense dans les accélérateurs linéaires, il y a une dizaine d’années, le challenge était de taille. Contrainte par la radioprotection et l’activation de la machine, la puissance faisceau perdue doit être souvent inférieure à 1W/m, soit, pour certaines machines, une fraction du faisceau inférieure à 10-6/m. Le développement des programmes de calculs au SACM furent en partie mené avec cet objectif. Cet objectif fut atteint et finalement dépassé. Aujourd’hui nous disposons de codes permettant des simulations de faisceau intégrant le nombre réel de particules présentes dans un paquet (quelques centaines de millions à quelques milliards de particules). De plus, ces codes utilisent des cartes de champs réalistes décrivant les principaux éléments des machines. Cette approche dite « brutale » assez éloignée des simulations basées sur des modèles simples et parfois décriée par la communauté par son manque évident d’élégance, permet cependant d’être au plus proche de la réalité en minimisant les hypothèses de simulation. Elle apporte ainsi des enseignements très détaillés sur la formation du halo et les causes principales et la localisation des pertes faisceau. Ce type d’étude fut mené sur les accélérateurs linéaires SPIRAL2, MYRRHA et IFMIF. Nous présenterons dans un premiers temps les principales techniques utilisées pour relever le challenge numérique et dans un second temps les principaux résultats obtenus. Problématique Calcul massif Outil & méthodes Simulations IFMIF SPIRAL2 Conclusions 12 novembre 2018 D. URIOT- CEA | ROSCOFF 2015

Acceleration La problématique Complexité des modèles La problématique Acceleration L’enjeu : Contrôle des pertes faisceau → activation Difficultés: Imprécision des modèles plus on se rapproche de la source Niveaux de précision attendus SPIRLA2 300 kW (1W/m) → 3.106 particules IFMIF 5 MW (1W/m) → 50.106 particules SARAF 200 kW (0.02W/m) → 100.106 particules (*) (*) Le projet SARAF-Linac, Nicolas Pichoff 12 novembre 2018 D. URIOT- CEA | ROSCOFF 2015

Calcul massif Massif ? Temps de calcul → 107 particules Mémoire nécessaire → 108 particules Stockage disque → 106 particules Pour quoi faire ? Etudes théoriques (ex: formation du halo) Etudes statistiques (ex: sensibilité aux erreurs) Amélioration des codes de simulation Communication Conditions nécessaires: Sur le modèle de la machine Sur la connaissance des conditions initiales Sur le calcul de la charge d’espace Ma philosophie de développement: Travailler sur des PCs Simplifier le déploiement  Simulation à « échelle variable » 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

outils & méthodes – LE Principe Simulation à échelle variable ? Graine de base: Le PC Plusieurs cœurs  La charge de calcul est partagée (parallélision à mémoire partagée, (« openMP ») Trop de particules pour la mémoire disponible  Séparation des particules en plusieurs paquets, simulés successivement.  Trop gourmant en temps de calcul : Le schéma précédent est alors distribuable sur plusieurs PC via le réseau, chacun des PCs traitant une partie réduite de l’ensemble. Objectifs: Utilisation aussi simple & transparente que possible. Rester efficace de 103 à 109 particules avec le même code. 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

outils & méthodes – LE Principe Partager les particules sur plusieurs machines Ordinateurs de bureau Linux / Windows / Mac Multi-core ou non Cluster(s) Cloud / Grille LHC Code TraceWin 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015 http://irfu.cea.fr/Sacm/logiciels/index3.php

outils & méthodes – LA Méthode Sur chaque ordinateur distant est installé un serveur à l’écoute, Le code TraceWin transmet une copie de lui-même ainsi que l’ensemble des donnée nécessaire à l’exécution d’une simulation sur chaque machine, Une fois qu’un run est terminé, TraceWin récupère les résultats et relance un nouveau run si nécessaire, L’ensemble des résultats est rapatrié et traité en local. 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Simulation IFMIF 12 novembre 2018 D. URIOT- CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF Recherche sur les matériaux pour les futurs Réacteurs de Fusion Intense flux de neutrons venant du plasma de fusion dommages aux matériaux caractérisés par dpa: déplacements par atome ITER: 3 dpa on ~10 years DEMO:30 dpa/year L M H Test Cells Lithium Target 25 mm thick, 15 m/s IFMIF: International Fusion Materials Irradiation Facility 2 accelerators, 2x125 mA, 2x5MW D+ High (>20 dpa/year, 0.5 L) Medium (>1 dpa/year, 6 L) Low (<1 dpa/year, > 8 L) Typical reactions 7Li(D,2n)7Be 6Li(D,n)7Be 6Li(n,T)4He D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Objectif scientifique: Etude de la formation du halo transverse. IFMIF - LIPAC LIPAc: prototype, D+, 125 mA cw, 1.1 MW En construction par l’Europe et en cours d’installation au Japon (*) (*) Conditionnement et caractérisation du faisceau de l’injecteur IFMIF à Rokkasho, Raphaël Gobin Objectif scientifique: Etude de la formation du halo transverse.  Nombre réel de particules présentes dans un paquet.  Minimiser au maximum les hypothèses de simulation. Défis: 4.7x109 particules. Stockage de l’ensemble des données à chaque pas de calcul. 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – LA Modélisation de l’accélérateur Conditions initiales: Utilisation d’un code de simulation de la source (Axel) pour estimer et utiliser la forme de la distribution initiale pour le tirages des particules. Modèle de la machine: Code SOLMAXP pour déterminer les champs 3D de la charge d’espace de la ligne basse énergie (interaction avec le gaz résiduel, C.C.), Les éléments constituant le linac sont simulés avec des cartes de champ 3D (RFQ, cavités, aimants). 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation cœurs utilisés : 170 Durée : 25 jours Positions conservées : 2000 (tous les 2 cm) Stockage : 38 téraoctets 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation Densité de particules horizontale du faisceau 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation Densité de particules en énergie du faisceau 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation Sortie RFQ : Espaces des phases transverses 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation Sortie RFQ : Espace des phases longitudinal 5 MeV 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation Faisceau sur la cible Sortie linac (9 MeV) Espace des phases longitudinal 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation Pertes faisceau en W 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

IFMIF – Résultats de simulation Pertes faisceau située au delà du RFQ ramenées à la distribution de faisceau en sortie du RFQ ~ 5x105 particules, ( 10-4 ) Espace longitudinal en Sortie RFQ Acceptance longitudinale Halo transverse ~ 102 particules 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Que dire de l’influence des erreurs? IFMIF – CONCLUSIONS Les pertes dans IFMIF La cause n’est clairement pas le halo transverse due à la charge d’espace, aux désadaptations transverses ou autres non linéarités, Elles sont principalement dues à des décrochages longitudinaux des queues de distribution sortie RFQ, Etude en cours, des trajectoires des particules perdues transversalement. Que dire de l’influence des erreurs? 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes statistiques SPIRAL2 12 novembre 2018 D. URIOT- CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques - SCHEMA First order: Set cavity RF phase and field amplitudes Set beam transverse centroids (steering & BPM) Second order Transverse beam tuning (beam sizes, emittances…) Longitudinal beam tuning (Phase spread, energy dispersion…) Statistique : N linacs x P particules 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Cœurs utilisés : 150 Durée simulation : 7 jours Nombre de particules : 2.5x106 Nombre de Linac : 1000 Statistique : ~ 7 paquets : 2.5x109 particules Erreurs considérées : Champ et phase des cavités (1%, 1°) 40 MeV 200 kW Influence des erreurs de réglage des cavités sur les pertes faisceau Deuton 5 mA, CW 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Densité de particules horizontale du faisceau 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Densité de particules longitudinale du faisceau 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 40 MeV Vont être perdues dans les LHEs et les expériences Sortie cumulée des 1000 linacs 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Pertes (partie supra) moyennes sur les 1000 linacs 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Probabilité de pertes (partie supra) sur les 1000 linacs 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Quelle est la cause de ces pertes dans le linac ? Les erreurs de réglage des cavités La distribution de sortie longitudinale du RFQ ~ 20 % ~ 80 % Pertes dans le linac ramenées au RFQ Taux = 4.0x10-5 Distribution de sortie RFQ 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Quelle est la cause des particules décrochées en sortie ? Les erreurs de réglage des cavités La distribution de sortie longitudinale du RFQ ~ 70 % ~ 30 % 40 MeV Taux de particules décrochées à la sortie du linac: 3.7x10-5 Sans erreur Taux de particules décrochées à la sortie du linac: 8.8x10-5 Avec erreur 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 D’où viennent les particules décrochées en sortie du linac ? Particules décrochées en sortie du linac ramenées à la sortie du RFQ Sortie RFQ 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Etudes Statistiques, ex : SPIRAL2 Attention: Ne pas en conclure que toutes les pertes dans SPIRLA2 ne seront que longitudinales, Bien d’autres erreurs sont à considérer dans un cas plus réaliste (alignement, RFQ, diagnostics…), Ces études montrent des niveaux de pertes jusqu’à 10 fois plus importants. 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Physique des linacs haute intensité CONCLUSIONS Calcul massif: Le code TraceWin couvre aujourd'hui une gamme allant du calcul d’enveloppe avec modélisation simple jusqu’au tracking dit « Massif » avec modélisation 3D de la machine, Il permet des analyses extrêmement détaillées de certain phénomène physique, Il permet une localisation et estimation très précises des pertes faisceau, Nos modèles sont de plus en plus proche de la réalité (carte 3D, réglages, imprécisions des diagnostics…) mais il doivent s’améliorer: Chaine LLRF + Diagnostics, Partie basse énergie, compensation de charge d’espace…(*) Simulation des sources (**). Bien que l'influence de la distribution initiale sur les résultats est réduite par la présence d’un RFQ, les diagnostics faisceau restent un point essentiel (***). Physique des linacs haute intensité Les pertes transverses sont aujourd’hui bien mieux maitrisées, La problématique des pertes longitudinales et en particulier celles dues au RFQ est à considérer sérieusement, Spiral2, IFMIF, ESS, MYRRHA… présentent les mêmes symptômes, Les règles de conception des RFQ doivent évoluer et en tenir compte (trop focalisées sur les aspects transverses). (*) Compensation de charge d’espace…, frédéric Géradin (**) Modélisation des sources d’ions leger, Remy De Guiran (***) Développement d’un émittancemétre 4D, Aurore Dumantic 12 novembre 2018 D. URIOT - CEA | ROSCOFF 2015

Merci de votre attention CEA | 10 AVRIL 2012 Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives Centre de Saclay | 91191 Gif-sur-Yvette Cedex T. +33 (0)1 69 08 76 11 | F. +33 (0)1 69 08 30 24 Etablissement public à caractère industriel et commercial | RCS Paris B 775 685 019 12 novembre 2018