Défilement automatique
Le seigneur vent
Je l’entends gronder au loin puissant menaçant Il s’approche de moi dominateur enveloppant
Le voilà au-dessus de moi J’ai le cœur qui bat Le voilà au-dessus de moi
Il s’arrête me regarde Je ne bouge pas pétrifié
Puis il s’en va dédaigneux
Ce n’était qu’un petit coup de vent Un petit coup de vent qui m’a fait peur
Dans la forêt assis sur un banc Les feuillages des arbres en fureur
Mais le voilà qui revient puissant menaçant Il s’approche de moi dominateur enveloppant
Le voilà au-dessus de moi J’ai le cœur qui bat Le voilà au-dessus de moi
Je ne bouge pas pétrifié Il s’arrête me regarde Je ne bouge pas pétrifié
Puis il s’en va dédaigneux
J’espère qu’il est bien parti cette fois-ci Ce petit coup de vent qui m’a fait peur
Assis sur un banc tout près d’ici Je viens d’avoir une de ces grandes frayeurs
Mais non voilà qu’il revient puissant menaçant Il s’approche de moi dominateur enveloppant
Le voilà au-dessus de moi J’ai le cœur qui bat Le voilà au-dessus de moi
Cette fois-ci il me soulève et m’emporte avec lui Je ne bouge pas pétrifié
Et voilà c’en est fait de moi
S’il te plaît dépose-moi sur mon banc J’ai laissé là en bas tous les miens
Tu viendras me chercher une autre fois J’ai tellement de choses à mener à bien
Texte musique interprétation Jean-Claude Muller