La plus grosse poutine du monde Fait par Eliot

Andrée Poulin Née: 29 juillet 1960 à Orléans (maintenant Ottawa) Âge: 57 ans Combien: Elle a publié plus d’une quarantaine de livres pour les jeunes. Andrée Poulin est membre de l’Union des écrivaines et écrivains québécois, de l’Association des écrivains québécois pour le jeunesse, de l’Association des auteurs et auteures de l’Outaouais, de l’Association des auteures et auteurs de l'Ontario français et de Communication jeunesse.

Andrée Poulin (suite) Son premier livre a été Pistache et les étoiles, collection Pour lire avec toi, édition Héritage. Il a été écrit en 1983. La liste de ses prix et distinctions est trop impressionnante pour tout nommer. Grâce à son livre La plus grosse poutine du monde, elle a été nommée finaliste en 2014 pour 4 prix, soit à Lauréate du prix TD de littérature jeunesse pour l’enfance et la jeunesse, au prix jeunesse des Libraires du Québec, Finaliste au prix Alvine-Bélisle de l’Association pour l’avancement des sciences et des techniques de la documentation (ASTED) ainsi que finaliste au Prix du livre jeunesse des bibliothèques de Montréal

Résumé de l’histoire Comme le titre l’indique, l’histoire du livre raconte celle de Thomas, adolescent de 14 ans, qui souhaite cuisiner la plus grosse poutine du monde. L’idée de vouloir cuisiner une si grande poutine est venue à Thomas afin que son père s’intéresse à lui et dans l’espoir que sa mère revienne après plus de neuf ans d’absence. Après tout, Thomas a eu 14 ans le 14 juillet, signe que l’année serait bonne pour lui, mais ce ne fut malheureusement pas le cas. Afin de réaliser son projet, Thomas est allé demander à l’oncle de Samuel, son meilleur ami, une commandite de frites. Il est allé demander à la fromagerie du village une commandite de fromage en grain et après il est allé acheter de la sauce brune.

Résumé (suite) Aider de son équipe de soccer ainsi que de la fille de la fromagerie, Thomas réussi son objectif de produire la plus grande poutine du monde et se retrouva ainsi dans le Livre des recours Guinness. Comme il l’avait espéré, son père l’aida également et leur communication s’est améliorée. À la fin du livre, la mère de Thomas n’est pas revenue. À la toute dernière page, Thomas trouva une note sur la table écrite par son père avec le numéro de téléphone de sa mère. L’histoire ne nous dit pas s’il a décidé de communiquer avec elle.

Appréciation J’ai apprécié ce livre car j’ai aimé l’idée d’avoir un record Guinness, parce que tu deviens reconnu dans le monde entier. Aussi, j’ai apprécié le personnage de Thomas puisque même s’il s’est découragé à un moment du livre, il s’est ensuite décidé à continuer grâce à ses amis qui l’ont encouragé. J’ai trouvé l’histoire bien écrite, car les mots n’étaient pas difficiles à comprendre.

Phrases préférées Un passage du livre m’a fait rire. C’est lorsque le perroquet de la mairesse se met à parler: « En arrivant chez Thérèse Tartatcheff, on entend des cris par la porte entrouverte. - Imbécile! Reptile malhabile! » J’ai aimé tout le passage avec le perroquet, puisqu’il était drôle. Un autre passage du livre m’a marqué, c’est lorsque Thomas mentionne à son meilleur ami que la fille de la fromagère participera avec eux au projet. « - En tout cas, c’est ton problème. Moi, je me tiens loin d’elle. » J’ai trouvé que c’était méchant.