Cliquer pour changer de diapo Nostalgie des années 70 Cliquer pour changer de diapo Ernesto CORTAZAR “Thanks to Life”
Novembre 1970
Les derniers bus à plate forme disparaissent ligne 21 en janvier 1971 1971.
Le 19 octobre 1971, les parisiens découvrent un nouvel obstacle sur les trottoirs « le parcmètre »
En janvier 1972, les pavillons des halles devenus trop exigus sont détruits
En 1972, les poinçonneurs sont peu à peu remplacés par des tourniquets
En juin 1972, Manifestation contre la voie express rive gauche
Juin 1972 construction de tour Montparnasse
En 1972, Première rue piétonnière rue Saint Rustique, butte Montmartre
En juin 1973, les piscines de plein air comme Deligny et Molitor voient apparaître les jeunes femmes aux sein nus, le MLF s’insurge contre cette pratique qui réduit les « baigneuses à des femmes objets »
En août 1973, jean Yanne tourne dans les rues de la capitale, au même moment 20 autres équipes s’affairent dans Paris
1974, la fin des abattoirs de la Villette
1974, après 2 ans de travaux, réouverture du pont de l’Alma à la circulation
1975, le trou des halles : que va-t-on en faire ?
1975, les nuits d’été ont rendu au parvis son rôle de rencontres d’antan, chevelus et barbus… se pressent chaque soir
1975, la gare d’Orsay devient un musée
1975 : « vue de l’enfer des 36 Km de périphérique » ouvert en 1973, cauchemar des riverains
Le dimanche 29 mars 1976, instauration du système heure d’hiver, heure d’été
1978 : les « aubergines » deviennent les « pervenches »
« Les portes qui se ferment avec un claquement sec, le coup de trompe, la brusque secousse du départ, le hurlement du moteur, les ampoules qui clignotent au plafond » c’est fini, au cimetière les vielles rames (1979)
sauvage, de faire de Paris une des villes les plus propres du monde 1979, le maire de Paris promet aux parisiens d’améliorer l’enlèvement des ordures, le ramassage des crottes de chiens et de lutter contre l’affichage sauvage, de faire de Paris une des villes les plus propres du monde
C'est fini… Le forum des halles est inauguré en décembre 1979, qualifié avec humour d’ « inextricable labyrinthe »