Le Loiret se réveille sous la neige Lundi 29 novembre 2010 Le Loiret se réveille sous la neige Automatique et musical
Record de neige en novembre, du jamais vu à cette période depuis 1945
Venelle de la rue Honoré de Balzac à la rue George Sand
L’allée des sapins
Les pigeons cherchent la nourriture sous la neige
Les bancs du lac de l’Orée de Sologne sont recouverts d’une belle couche de neige
Le lac de l’Orée de Sologne
Les oiseaux guettent le promeneur avec une poche de pain
Une colonie de mouettes trouve refuge sur les rampes de protection
Une vingtaine de centimètres de poudreuse recouvre le sol
Un nuage de neige tombe des arbres
Rue Honoré de Balzac
Les arbres sont magnifiques
Parking du lac, coté rue Honoré de Balzac
Rue Honoré de Balzac
Les toits, les arbres sont couverts de neige
Sous le poids de la neige les branches cassent
Les oiseaux se rapprochent des habitations
Le rouge-gorge, maître des lieux en compagnie d’un chardonneret
L’hiver la quête de nourriture est vitale pour les oiseaux
Que de bonheur de les voir voleter pour venir manger
Carrefour des rues Ambroise paré et Honoré de Balzac
La nationale 20 vue depuis l’échangeur de l’hôpital
Un beau sapin de Noël
Les résidences de Limère
Le golf est sous la neige
Le fairway est enneigé
Le domaine des Portes de Sologne
Le rond-point du Novotel
Le Loiret
Les oiseaux symboles du Loiret sont aux couleurs du temps
La neige a raison de ces magnifiques chrysanthèmes
Moulin du Loiret sous la neige
Rencontre inattendue sur les bords du Loiret
Le héron cendré guette sa proie
Mieux vaut ne pas se retourner dans l’eau par ce temps
Fin de la balade enneigée
Cliquer à la fin de la lecture Les quatre saisons Le printemps, c’est ces petits êtres qui naissent En poussant leur premier cri, signe de vie, leurs premiers gestes, leurs premiers sourires … Ce sont, les arbres qui récupèrent leurs parures faite de milliers de petites feuilles d’un vert tendre. Les oiseaux qui en profitent, cachés derrière cette verdure, pour siffloter un air joyeux. Ainsi que tous les hibernants qui ouvrent un œil sur la nature, Tout en secouant leur corps de la torpeur. Et ces ébats, nous amènent à l’action, Le soleil donne son maximum. C’est l’été. Les hommes s’affairent dans les champs, à la sueur de leur front. C’est l’époque des moissons. De temps en temps, à l’ombre des grands arbres, une petite pause, les yeux fermés, Ils ne pensent plus à rien. Mais après cet effort, les ressources diminuent. C’est l’automne… Les arbres multicolores annoncent un arrêt de sève. Les marronniers lâchent leurs bogues… Sur un banc, deux petits vieux, savourent un repos bien mérité. Évoquant le passé avec nostalgie. Puis, d’un seul coup, plus un bruit, plus un mouvement. La neige a tout recouvert sur son passage, c’est l’hiver… Le banc est resté vide, seul des traces de pas indiquent une visite. Les arbres dévêtus, se profilent comme des fantômes, Devant cette atmosphère pesante, seul, un endroit particulier semble en profiter… C’est le cimetière du village. En levant les yeux, on observe les nuages qui poursuivent leur route sans pouvoir s’arrêter. Le temps présent, moment éphémère, comme cette journée qui se termine. Au revoir, à demain, ou peut-être pas…incertitude de notre passage sur cette planète ! Yann GOUYETTE Cliquer à la fin de la lecture
& Jacques Yann Les quatre saisons La chanson de Lara Fin