Contexte bioclimatqiue Diminution des précipitations annuelles Hauteurs pluviométriques moyenne interannuelle au cours des décennies , , , ,

Suivi NDVI annuel au cours de quelques années

Suivi du coefficient de variation du NDVI annuel au cours de quelques années

Variation spatiale du NDVI entre forêt et cultures pendant la saison sèche

Impact des modifications bioclimatiques sur la production agricole : le risques climatiques en agriculture Détermination de la période culturale mm Source : Ndabalishye, 1995

Grande saison végétative : 130 jrs ( ) à 80 jrs ( ) Petite saison végétative : 70 jrs ( ) à 50 jrs ( ) Réduction des saisons de croissance

Les cultures à cycles long ne peuvent plus être pratiquées

Régression multiple entre le poids moyen annuel dune fève de cacao par cabosse (de quatre hybrides) et certains paramètres climatiques (pluviométrie et durée dinsolation) en juin et décembre dans le Sud de la Côte dIvoire.

Certaines cultures restent tributaires de la présence de la forêt BananeRiz

Les derniers massifs forestiers, enjeux dans les milieux ruraux

Evolution des densités rurales autour des aires protégées dans lEst et lOuest de la Côte dIvoire entre 1988 et 1998

Distance par rapport au villageSuperficie forestière en pourcentage 0 à 2 km4 % 2 à 4 km5 % 4 à 6 km6,6 % 6 à 8 km9 % 8 à 10 km10,7 % Distances entre les localités (3 000 à hbts) et les zones de déforestation - à limplantation des villages ; - au poids de la population rurale en périphérie des îlots forestiers ; - aux aménagements et infrastructures (etc.). Risques de disparition des massifs forestiers liés à : Distance par rapport à la routeSuperficie forestière en pourcentage 0 à 2 km12 % 2 à 4 km15,5 % 4 à 6 km17,6 % 6 à 8 km17,6 % Distances entre les voies de communication et les zones de déforestation

Risques de déforestation liés à la proximité dune agglomération

Evolution du massif forestier de la Bossematié et de ses espaces environnants entre 1986 et 2000 Evolution du thème forêt

Evolution théorique de la réserve des terres forestières par habitant Saturation foncière hbts

De limpossibilité des politiques publiques à restaurer les écosystèmes à lémergence des stratégies agro-forestières : exemple du reboisement Léchec de la politique de reboisement Politique hésitante entre production agricole et reproduction sylvicole Difficultés de mise en place dune agriculture intensive Paysan longtemps exclu de la filière bois : larbre appartient à lEtat Même la nouvelle loi foncière qui favorise la foresterie privée suscite peu dintérêt Problème de linvestissement à rentabilité immédiate 19 % de la production cacaoyère et 15% de la production caféière dans les forêts classées Les surfaces reboisées occupent une très faible part dans lutilisation du sol Le reboisement villageois reste marginal Identifier les principaux facteurs limitants de la politique agroforestière Amélioration de la qualité des sols, régénération des ressources végétales à usages multiples Lagroforesterie, une solution viable dans les paysanneries africaines? Techniques – approvisionnement en semences et en plants, production de certains types de matériel végétal non maîtrisée, itinéraires techniques mis en œuvre mal maîtrisés Economiques – baisse de rendements de production, de revenu monétaire, absence de mécanisme de financement Sociales – âge moyen des agriculteurs souvent avancé, fortes pressions démographiques, souci de solutions immédiates à certains problèmes sociaux