Le Roselin Pourpré, gros-bec errant

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Transcription de la présentation:

Le Roselin Pourpré, gros-bec errant Rosalie Bourget 602

Table des matières Introduction Aspect physique Habitat Alimentation Reproduction Nids et petits Conclusion Résumé Bibliographie

Introduction Le roselin pourpré est un oiseau que l’on confond souvent avec le rouge-gorge. Non seulement, il n’est pas en voie d’extinction (heureusement ), il est très répandu en Amérique du Nord

Aspects physiques Cette espèce mesure de 14 à 16 centimètres. Le bec est de couleur corne. Le mâle présente un plumage qui va du rose framboise clair au rouge pourpré vif. Son dos rayé, sa queue encochée, ses ailes sont brunâtres. Le plumage de la femelle est rayé de brun. Ce qui le différencie du Roselin familier, c'est un grand sourcil blanc et un large bandeau brun. Les sous-caudales sont à peine rayées. Le jeune ressemble à la femelle. Son plumage ne vient à maturité qu'après la première année.

Habitat Le roselin pourpré est tributaire des forêts de conifères et mixtes ainsi que de leurs lisières en plaine, sur les collines, sur les plateaux et dans les canyons. Cet oiseau niche sur la frange côtière de l'ouest des États-Unis et dans le nord de la Basse-Californie. Il hiverne dans cette zone et dans la région située juste à l'est de celle-ci. Mais il fréquente aussi les formations secondaires, les boqueteaux, les cultures et les zones habitées où il visite les conifères ornementaux, les parcs, les plantations autour des fermes, les vergers et les jardins notamment dotés de mangeoires, surtout en hiver.

Alimentation Il se nourrit surtout de graines de plantes herbacées en hiver et au printemps et, à moindre degré, de bourgeons de pommier, érable, bouleau et autres arbres. À la fin du printemps, il capture aussi des insectes (scarabées, chenilles et larves). En été, il mange surtout des baies et des fruits, sauvages et cultivés (cornouiller, viorne, sureau, chèvrefeuille, fraise, framboise, mûre, cerise). Il prélève également des graines d’arbres (peuplier, frêne, orme) et des bourgeons (chêne, érable). Il est friand de graines et de sève de sycomore, de baies de sumac, de bourgeons de sapin baumier et de bourgeons floraux d’arbres fruitiers. Il visite aussi les mangeoires pour se nourrir de graines de tournesol

Nids et petits La plupart des nids sont construits dans des conifères, surtout des épicéas et dans les parties les plus épaisses, souvent assez près de la cime des arbres, entre quatre mètres cinquante et six mètres du sol. Localement, des genévriers denses sont très prisés, mais de grands cèdres ou pins peuvent aussi être adoptés avec des nids alors placés de neuf à douze mètres de hauteur. Ils consistent en un assemblage de fines brindilles, de racines, de radicelles et d’herbes avec un revêtement intérieur de crin de cheval et de poils de porc. La femelle pond de 4 à 5 œufs tachetés bleus tirant sur le vert. Pendant 13 jours, elle couve seule ses œufs et elle est nourrie par le mâle. Les petits demeurent au nid environ deux semaines, mais restent encore dépendants de leurs parents quelque temps après leur départ du nid.

Chant C'est un gazouillis rapide et mélodieux comme un wiidi-ooli long et animé, se terminant par un dri-ur enroué. Lorsqu'il est en vol, il fait entendre un pic court.

Conclusion J’ai beaucoup aimé travailler sur le roselin pourpré (ça fait changement du paon ) car c’est un oiseau intéressant qui mérite d’avoir notre attention.

Résumé Cet oiseau niche sur la frange côtière de l'ouest des États-Unis et dans le nord de la Basse-Californie. Il hiverne dans cette zone et dans la région située juste à l'est de celle-ci. Il se reproduit et hiverne aussi dans le nord-est des États-Unis et dans la région des Grands Lacs. Une partie des individus migre et hiverne dans tout le tiers oriental des États-Unis, sauf dans le sud de la Floride. Cet oiseau est aussi un visiteur d'été ou un nicheur occasionnel dans tout le sud du Canada. Au Québec, selon l'Atlas des oiseaux nicheurs du Québec méridional, cette espèce niche dans toutes les régions du Québec méridional. Sa fréquence d'observation est élevée partout, quoiqu'elle soit un peu plus faible dans la région de Montréal et en Montérégie où les conifères sont moins nombreux. Toutefois, on ne peut pas expliquer pourquoi l'espèce est également moins fréquente sur l'île d'Anticosti. Des oiseaux égarés ont été notés aux Bermudes (trois observations) et au large de l'île Résolution au nord de Terre-Neuve. On le retrouve dans les forêts mixtes et de conifères. On peut l'apercevoir, l'hiver, dans des parcs et jardins où poussent de nombreux arbres et arbustes.

Bibliographie sites : http://fr.wikipedia.org/wiki/Roselin_pourpré http://www.oiseaux-birds.com/fiche-roselin-pourpre.html