MONDIALISATION et MANAGEMENT SOMMAIRE N° transparent I – nos croissances : 2-SOMMAIRE, 3-croissance argent, 4-croissance emplois, 5-croissance richesses, 6-machine à dégâts, 7-machine à faire tout pour rien, 8-droite gauche consensus, 9-même combat, II – nos confusions sémantiques : 10-SOMMAIRE, 11-richesse / argent, 12-capital / argent, 13-économique / monétaire, 14-économie / argent, 15-revenu / emploi, 16-emploi / revenu, 17-résultat/ financier, 18-médias/ mass medias, 19-curatif / préventif, 20-morceau/ tout, 21-richesse, 22-humain III -tous capitalistes, 23-SOMMAIRE, 24-produire, 25-consommer, 26-préventif et productivité, 27-serviteur / maître, IV – médias, 28-SOMMAIRE, 29-argent / médias, 30-argent/exécutant, 31-producteur d’emplois, 32-pouvoir d’achat, 33-pouvoir de ressources, 34-collectivité/ médias, 35-média-actif, 36-valeur/pilotage, 37-médias pilotes, V – compétitivité économique, 38-SOMMAIRE, 39-complexité, 40-vitalité démographique, 41-schyzophrénie client fournisseur, 42-dividende citoyen, 43-meilleur fournisseur, 44-plus et mieux par moins d’argent et d’emplois, 45-guerre économique, 46-bibliographie ©deddy, par BMV, mondialisation et management
©deddy, par BMV, mondialisation et management I – nos CROISSANCES - croissance de l’argent - croissance des emplois - croissance des richesses - Machine à dégâts - Machine à faire tout pour rien - droite gauche, le consensus des casseurs, - même combat Le vice de nos systèmes médiatiques est de ne pas séparer le pouvoir financier du pouvoir médiatique. Le contrôlé (l’argent) devient ainsi son propre contrôleur (rôle des citoyens) et entretient nos confusions sémantiques pour sa croissance (le bien c’est davantage d’argent !) par la croissance de nos destructions ©deddy, par BMV, mondialisation et management
la croissance de l’argent se fabrique par la destruction systématique de nos richesses ©deddy, par BMV, mondialisation et management
la croissance de nos emplois se fabrique par la destruction systématique de nos richesses ©deddy, par BMV, mondialisation et management
la croissance de nos richesses se fabriquera par la diminution systématique de l’argent et de nos emplois ©deddy, par BMV, mondialisation et management
la croissance de la machine à dégats la volonté de croissance en argent et/ou emplois, fabrique et développe une vraie machine à tout casser aux antipodes de la croissance des richesses : explosion démographique, réchauffement climatique , destructions écologiques, besoins militaires, ne sont que des conséquences de cette Global Destruction Money Making Machine. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
croissance de la machine à faire tout pour rien cette machine est le capital, mais augmenter nos richesses y est aux antipodes de croître nos capitaux financiers : si pilotée par le capital financier = tout en argent pour rien en richesse. si pilotée par des médias citoyens = tout en richesse pour rien en argent. OUI, la richesse est le capital, mais NON, ce capital n’est pas financier. Notre capital principal est politique (virtuel) et physique (matériel), en qualité et quantité des ressources à notre disposition, sa croissance se fait par préventif et productivité. La croissance de nos richesses et de notre qualité de vie, exige de vouloir diminuer l’argent et nos emplois ©deddy, par BMV, mondialisation et management
droite ou gauche, le consensus des casseurs à ma droite la croissance des capitaux financiers, la haine du préventif, à ma gauche la protection des emplois, la haine de la productivité amont, … évidemment chacun y est le gentil sauveur et accuse l’autre d’être le méchant casseur ©deddy, par BMV, mondialisation et management
gauche et droite même combat : tout casser ! gauche et droite se nourrissent de cultiver les problèmes : la gauche finance les problèmes par subventions et aides, pour cultiver la croissance des besoins, impôts et emplois, la droite finance la croissance en complications, frustrations et externalisation des coûts pour la croissance des marchés financiers de réparation éphémères et insuffisantes, gauche et droite, tout casser augmente la monétarisation qui nourrit leur croissance en impôts et capitaux financiers ©deddy, par BMV, mondialisation et management
II – nos confusions sémantiques = diminuons nos mensonges Nettoyons nos lunettes culturelles des mensonges et amalgames stratifiés par l’excès de pouvoir de l’argent dans nos médias: 11-la richesse n’est PAS principalement l’argent, 12-le capital n’est PAS principalement l’argent, 13-économique n’est PAS principalement monétaire, 14-l’économie n’est PAS principalement l’argent, 15-le revenu n’est PAS principalement l’emploi, 16-l’emploi n’est PAS principalement le revenu, 17-le résultat n’est PAS principalement financier, 18-les médias ne sont PAS les mass-médias, 19-le préventif n’est PAS le curatif. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
la richesse n’est PAS principalement l’argent, la richesse, c’est la qualité de vie, la première richesse est psychique et sociale, sensible et relationnelle, avec les êtres et la matière qui les incarne. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
le capital n’est PAS principalement monétaire le capital monétaire est une infime partie du capital d’une collectivité ou d’un individu. leur capital, c’est l’ensemble des richesses et ressources durables à disposition pour générer leur qualité de vie. le premier capital est physique et virtuel, écologique et social, culturel, relationnel et intellectuel par son pouvoir totalitaire sur nos médias, l’argent cultive la confusion mensongère entre capitaux et argent afin que la monétarisation de notre économie cultive la croissance de nos capitaux financiers par la destruction de nos capitaux non monétaires qui sont pourtant nos richesses principales. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
économique n’est PAS principalement monétaire … la richesse n’est pas l’argent, le capital n’est pas l’argent, … et l’économie n’est pas l’argent seul l’excès de pouvoir de l’argent sur nos médias sur-monétarise l’économie pour mieux détruire nos richesses, depuis toujours notre premier capital est notre capacité à mieux vivre avec notre environnement et entre nous. L’économie, c’est la gestion de nos richesses, pour disposer des ressources utiles à notre qualité de vie L’immense majorité de nos richesses n’est PAS monétaire. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
l’économie n’est PAS principalement l’argent Certes l’argent fait partie de l’économie, Mais l’économie c’est aussi voire d’abord : Notre capital social (paix civile), culturel (langages d’aimer), anthropologique (structures familiales, affectives, sexuelles, relationnelles, sociales …), intellectuel (compétences, pratiques, expérience)… Notre capital écologique, environnemental, Notre capital militaire, y compris médiatique, … etc … ©deddy, par BMV, mondialisation et management
le revenu n’est PAS principalement l’emploi L’emploi ne fournit qu’une partie mineure de nos revenus Nos revenus principaux sont déjà ailleurs : Nos plus gros revenus financiers proviennent déjà du capital social. Nos revenus de redistribution (aujourd’hui mérité par les problèmes : chômage, retraite, handicapé, malade, mère célibataire, surnataliste, …) sont la majorité des revenus pour la majorité de la population. Ils dépassent nos revenus du travail (plus de la moitié du PIB) S’y ajoutent d’autres revenus financiers, des capitaux individuels : louer une maison, avoir des actions, toucher une assurance vie, … Et nos principaux revenus sont non financiers : les ressources non financières de l’économie (écologiques, culturelles, sociales …) ©deddy, par BMV, mondialisation et management
l’ emploi n’est PAS le revenu, le mot contient plusieurs sèmes emploi = oui, le revenu monétaire qui pour la majorité des ménages est surtout hors travail (aides, allocations, retraites …) + une activité de production + une image sociale chômeur c’est moche, retraité c’est OK + les relations humaines travailler inclut de réussir son insertion dans le groupe social de son activité professionnelle (clients, founisseurs, patrons, collègues …) + une utilité sociale le grand absent ou menteur de toutes les manifestations « pour l’emploi » ©deddy, par BMV, mondialisation et management
le résultat d’une entreprise n’est PAS principalement financier La principale finalité d’une entreprise est le service qu’elle veut rendre à sa collectivité. Son enrichissement financier n’est PAS son résultat principal mais seulement une contrainte nécessaire à sa qualité de vie. le résultat d’une entreprise se mesure à combien elle a contribué, à ce que sa prestation (directe et indirecte, bien matériel ou service immatériel) évolue vers plus et mieux pour moins cher … le mieux étant la disparition du marché. Certes vu de ses clients, mais aussi vu de ses acteurs internes (propriétaires, salariés, fournisseurs, …) par leur dimension humaine (sensibles, reliés aux autres, citoyens). ©deddy, par BMV, mondialisation et management
les médias ne sont PAS les mass-médias certes les mass-medias font partie des médias : radios, télés, journaux, sites web «très fréquentés».. Les medias incluent aussi tous les médias intermédiaires et micro-médias, les tuyaux et synapses du corps social : Le cercle élargi, évènements fréquentés, … Le cercle des proches, famille, amis, travail, local L’individu avec lui-même, ses pensées, avec toute une diversité de langages et situations : linguistiques, artistiques, sensuels, charnels. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
préventif n’est PAS curatif Le curatif, c’est complications et destructions, c’est la machine à dégâts pour nourrir la croissance du travail social et des capitaux financiers. Le préventif c’est l’inverse du curatif, c’est éviter les problèmes pour ne pas avoir à les réparer. Pour tous nos marchés financiers, nos meilleurs fournisseurs en curatif sont donc les plus mal placés et les pires conseillers en préventif, puisqu’ils y diminueraient leurs marchés ! Par son excès de pouvoir sur nos médias, l’argent nous fait … leur demander conseil pour améliorer leur secteur ! Nos plus grosses multinationales ou nos meilleurs soignants (santé, juristes, fiscalistes), dans chaque secteur d’activité les experts sont ceux qui gagnent leur argent en se nourrissant du curatif et donc ceux qui ont systématiquement le plus à perdre du préventif. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
un morceau n’est PAS le tout. L’amalgame est une manipulation médiatique classique qui confond le tout avec une partie pour déformer l’information vers son intérêt choisi, Exemple : « tout ouvrier qui ouvre la bouche est un communiste » Voir Media Control, de CHOMSKY ©deddy, par BMV, mondialisation et management
III - Nous sommes déjà tous capitalistes 21-Tous capitalistes pour produire, 22-Tous capitalistes pour consommer, 23-Préventif et productivité 24-Argent maître catastrophique 25-richesse, matérielle et relationnelle 26-humain = nous avons à y choisir : capitalistes égoïstes pour davantage d’argent « moi d’abord et tant pis pour les autres » ou capitalistes citoyens pour davantage de richesses «moi et les autres, mieux vivre ensemble, tous ensemble» ©deddy, par BMV, mondialisation et management
Tous capitalistes pour produire Même il y a 10 000 ans, la sueur n’a jamais été la première productrice de valeur ajoutée. La pertinence est toujours principale, elle résulte de nos systèmes politiques, systèmes d’information d’abord, pour nos choix politiques, religieux, sociaux, économiques, écologiques, monétaires, fiscaux, juridiques … et matériels. Pays développés, chasseurs cueilleurs ou vies animales et éthologie, partout la production du travail est fruit du capital des compétences culturelles et sociales entre individus. En pays développés, 99% de la valeur ajoutée dans un poste de travail n’est pas fruit du travail mais des ressources mises à disposition du poste, en machines autant qu’en processus. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
tous capitalistes pour consommer Exemple, dans nos pays développés : la majorité de nos ressources sont « non financières », en environnement social (paix militaire, civile) et environnement écologique (sols non pollué, eau propre, air propre, silence, nuit étoilée) Et en sus même nos ressources financières sont en majorité déjà « hors travail » ©deddy, par BMV, mondialisation et management
préventif et productivité individu ou entité, tout producteur de curatif a sa meilleure utilité sociale … quand il réussit à faire disparaître son emploi. Dans les pays développés, polyomélite et tuberculose nourrissaient les ¾ du secteur Santé et des lits d’hôpitaux il y a à peine 60 ans, ils ont aujourd’hui (quasi) disparus et le préventif y a construit moins de soins et moins d’argent pour une meilleure Santé. Préventif et productivité produisent bien plus de richesses que les complications et destructions du curatif que nous préférons pour nourrir notre croissance monétaire. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
l’argent est un maitre catastrophique l’argent est un excellent serviteur, un superbe outil pour canaliser l’activité humaine, car il stocke, transporte et échange l’énergie humaine … mais … l’argent est un maitre catastrophique car la croissance des destructions et problèmes nourrit sa croissance et son pouvoir donc il cultive systématiquement les catastrophes ©deddy, par BMV, mondialisation et management
la principale richesse est relationnelle Avec soi et avec les autres, êtres et choses Bien davantage que matérielle Les déséquilibres matériels font partie du langage relationnel et expriment des positions sociales La surconsommation d’objets ne compense jamais durablement la sous consommation de relations humaines et psychiques. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
l’humain est psychique et relationnel ses exigences matérielles sont ses constructions sociales pour sa qualité de vie, l’humain est un individu psychique dans la communauté psychique de l’immatériel et du matériel, du vivant et de l’inerte ©deddy, par BMV, mondialisation et management
©deddy, par BMV, mondialisation et management IV - médias 28-Argent et médias, 29-argent exécutant, 30-producteur d’emplois, 31-pouvoir d’achat, 32-pouvoir de ressources, 33-collectivités / médias, 34-média-actif, 35-valeur/pilotage, 36-médias pilotes, ©deddy, par BMV, mondialisation et management
l’argent au pouvoir sur les médias tue le corps social l’argent au pouvoir sur nos médias, c’est la merde au pouvoir sur nos cerveaux, Canaliser l’énergie d’une collectivité à produire sa croissance monétaire revient à canaliser un individu à produire sa croissance de caca, Une fonction peut être vitale, superbe et utile tout en étant un maître catastrophique. Laisser un organe assujettir le tout à son service tue le corps global. Le lierre tue l’arbre, le cancer tue le corps. Rien n’est poison, tout est dans la quantité. Producteur de merde ou producteur d’argent sont des fonctions vitales, mais mortelle si elles dominent, le cerveau d’un individu ou les médias du corps social : nécessaires mais PAS suffisantes. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
l’argent est un outil d’exécution CEO (Chief Executive Officer) pour les entreprises ou pouvoir exécutif en politique, les mots sont clairs en politique, économie ou entreprise, le chef c’est l’inverse. La stratégie n’est pas d’augmenter l’argent, c’est analyser le contexte pour y choisir ses objectifs et y affecter quels moyens. Le tout premier choix y est … quelle finalité ? une fois choisi quoi augmenter alors les valeurs financières se construisent au service de ce choix. Ce qui vaut de l’argent est un choix, qui se canalise par les médias (…dont par la loi : la fiscalité est la moitié du PIB !) ©deddy, par BMV, mondialisation et management
producteur d’emplois est certes une fonction vitale pour une collectivité, mais mortelle si elle passe aux commandes du corps social : produire des emplois est certes parfois utile, mais n’est NI nécessaire NI suffisant pour produire des richesses. Et surtout il faut différencier « quoi » produire : un « emploi » pour y produire quoi ? pour soi, des revenus, une activité, du lien social, une image sociale … ou pour la collectivité, pour augmenter ses richesses ? ©deddy, par BMV, mondialisation et management
augmenter le pouvoir d’achat … s’obtient par détruire les ressources car détruire le gratuit fabrique la croissance des capitaux financiers moins de savoir vivre civil pour davantage de sécurité civile et protection civile, moins d’eau propre pour davantage d’eau salie et assainie, moins de bonnes écoles publiques pour davantage d’écoles privées, c’est moins de gratuit pour davantage d’argent, vouloir acheter de plus en plus cher ce qui hier m’était gratuit , c’est augmenter mon pouvoir d’achat et mes échanges pour diminuer mes richesses et mes ressources. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
le pouvoir de ressources N’est pas le pouvoir d’achat, d’acheter par l’argent, C’est la richesse en ressources économiques à disposition, matérielles (écologiques) et immatérielles (sociales, culturelles) La croissance non pas du pouvoir d’achat mais du pouvoir de ressources, s’obtient par la promotion des capitaux collectifs et du préventif : la culture du GRATUIT. et diminue ce qui a besoin d’être acheté, monétarisé, donc diminue le pouvoir d’achat. Le pouvoir de ressources est aux antipodes du pouvoir d’achat, puisqu’il augmente par le gratuit alors que le pouvoir d’achat ignore, méprise, occulte et nie le gratuit. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
une collectivité localise son être dans ses médias Au même titre que l’individu (in-dividu = pas-divisible) se localise dans son système nerveux, central (cerveau) et périphérique (nerfs, synapses) Au même titre toute collectivité se localise dans son système médiatique, central (mass-médias) et périphérique (micro-médias). ©deddy, par BMV, mondialisation et management
chaque individu est média-actif c’est son travail principal, là où il fabrique ou détruit sa principale valeur ajoutée pour sa collectivité. Il est média-actif par ses choix de récepteur, car il y fait vivre ou mourir ses émetteurs et leurs émissions. Il est média-actif par ses choix d’émetteur, car par ses choix en thèmes et sujets qu’il propage, commente et propose autour de lui, il construit (contribue, affaiblit ou renforce) la nature et les contenus des thèmes et messages proposés et cultivés par sa collectivité (foot, sexe, objets, ma maison, mon corps, mon argent …ou bien … mes et nos richesses). ©deddy, par BMV, mondialisation et management
choisir ce qui vaut de l’argent, là est la conception, le pilotage 50% du PIB est fiscal par les normes le pouvoir politique privilégie la fabrication de richesses ou de l’argent au lieu du tout curatif il s’agit de prioriser le préventif, au lieu du tout payant il s’agit de prioriser le gratuit, là sont nos choix économiques et sociaux, qui quitteront la culture de la croissance des catastrophes pour dé-couvrir un développement durable. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
Le pilotage se fait par nos médias 1/ observer, les faits, et la déformation des faits par nos lunettes culturelles et nos systèmes médiatiques 2/ analyser, comprendre, relier, nos modèles, lunettes et repères culturels, 3/ faire son choix, prévoir, concevoir nos exigences citoyennes et programmes électoraux 4/ contrôler, les résultats et pas seulement les moyens Nos collectivités sont nos médias, le pilotage de nos collectivités se fait par nos médias ©deddy, par BMV, mondialisation et management
V – compétitivité économique 38-complexité, 39-vitalité démographique, 40-scyzophrénie, 41-dividende citoyen, meilleur fournisseur, 42-meilleur fourtnisseur, 43-plus et mieux, 44-guerre économique, 45-bibliographie ©deddy, par BMV, mondialisation et management
La complexité, c’est la croissance de nos mensonges qui se contredisent entre eux. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
La vitalité démographique est à la baisse démographique ©deddy, par BMV, mondialisation et management
La schyzophrénie client / fournisseur Chacun : en tant que client aime en « avoir davantage pour son argent », le mieux possible le moins cher possible par productivité, et à la limite « tout pour rien » par préventif. en tant que fournisseur déteste préventif et productivité car ils « diminuent les emplois » et «ils diminuent les marchés» nous manifestons autant d’aplomb et de certitudes, consommateurs pour exiger « + et mieux pour moins cher » et travailleurs pour exiger « davantage d’emplois ». ©deddy, par BMV, mondialisation et management
l’enrichissement individuel et sa sécurité économique nécessitent précarisation des emplois et diminution des salaires de base pour cultiver croissance des richesses et des ressources à disposition de chacun avec en sus des emplois un revenu monétaire pour chacun sans la condition vicieuse de ne mériter « solidarité » que par ses problèmes (vieux, surnatalistes, malades, études ratées, handicapés… ), un « dividende citoyen » d’ ½ SMIC correspond déjà à nos redistributions actuelles et seulement au delà de 25 ans d’âge pour ne PAS inciter à la surnatalité des populations les plus pauvres ©deddy, par BMV, mondialisation et management
le meilleur fournisseur vu des fournisseurs est celui qui augmente suffisamment son volume financier pour bombarder dans les médias les mérites de « moins pour davantage », moins de richesses et moins de préventif pour davantage de problèmes et davantage d’argent. mais vu d’un client est celui qui agit pour faire disparaître ses marchés et diminuer à zéro les volumes financiers de ses activités du jour en oeuvrant pour fournir « tout pour rien », en cultivant préventif et productivité pour ses clients. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
©deddy, par BMV, mondialisation et management produire 2 fois plus et mieux nécessite 2 fois moins d’emplois et d’argent C’est accessible dans chaque secteur d’activité, mais à la croissance de nos richesses par préventif et productivité nous préférons la croissance de l’argent par destructions, complications et problèmes pour nos marchés curatifs : la croissance des complications pour la croissance de nos emplois d’experts (juristes, fiscaux, …) la croissance des coûts externalisés pour la croissance de nos emplois de réparations (santé, transports, écologie, …) la croissance des budgets inefficaces pour la croissance des Nièmes chances (solidarité, éducation) partout, nous maltraitons le préventif pour la croissance du curatif ©deddy, par BMV, mondialisation et management
dans la guerre économique un fournisseur peut être compétitif … vers pire et + d’argent, ou vers mieux et + de gratuit. un fournisseur de curatif fait bien plus d’argent en externalisant ses problèmes et avec des solutions incomplètes et éphémères. Pour et par cet argent il oriente nos médias vers complications et destructions. pour que le client reçoive plus et mieux pour moins cher, c’est au client de cultiver des médias en faveur du préventif. pour rendre vertueuse la pompe à finance, tout secteur d’activité doit être éclairé par des médias indépendants des fournisseurs de curatif, et mieux payer les fournisseurs de préventif à faire diminuer puis disparaître le marché par des fournitures de plus en plus gratuites. ©deddy, par BMV, mondialisation et management
bibliographie : échantillons John Kenneth GALBRAITH : les mensonges de l’économie Daniel YERZIN : the prize Noam CHOMSKY : media control Hernando DE SOTO : mystery of capital Christina BORJESSON : Black List Eva JOLY : est-ce dans ce monde là que nous voulons vivre ? Fernand BRAUDEL : civilisation matérielle, économie et capitalisme Alvin TOFFLER : la troisième vague … ©deddy, par BMV, mondialisation et management