Notre thème est le suivant. Le front pionnier du Rondônia. Louise Ponce Charline Garreau Sacha Birski Diaporama EPI 5E.

Voici notre photographie, notre image d’un paysage qui représente les activités comme la déforestation au front pionnier du Rondônia, au Brésil. GN?KTKTLTUFKJCSGT GF

Cette photographie représente un paysage au front pionnier du Rondônia Cette photographie représente un paysage au front pionnier du Rondônia. Cela se situe dans la forêt amazonienne, à la frontière ouest du Brésil, un pays moyennement pauvre d’Amérique latine ; ce pays se trouve dans le foyer de population du sud-est américain et compte plus de 209 millions d’habitants. Il est victime de la déforestation. Les premiers colons à s’y être installer sont des paysans ne possédant aucune terre venant de l’État du Paraná, au sud du Brésil. Voici nos cartes qui permettent de le localiser. Voici une carte qui permet de localiser l’État de Rondônia à l’échelle d’un pays, du Brésil. Voici une carte qui délimite le front pionnier à l’échelle d’un état, celui de Rondônia. Voici une carte (un globe) qui permet de localiser ce lieu à l’échelle mondiale.

Les plans de la photographie sont les suivants. On distingue trois plans sur cette photographie aérienne. Le premier plan représente les exploitations agricoles, les entreprises, les bâtiments, les axes et les voies de communication en terre et les zones déforestées et défrichées il y a longtemps (en pâturage). Le deuxième plan représente la forêt amazonienne et la forêt dense avec un petit plan d’eau en bas à droite. Enfin, le troisième et dernier plan ou arrière-plan représente des zones déforestées et défrichées récemment ainsi que quelques bâtiments agricoles accompagnés d’un espace de pâturage.

La description détaillée de chaque plan est la suivante. Le premier: Sur le premier plan, des entreprises et des exploitations agricoles possèdent de nombreux bâtiments qui leur permettent d’entreposer et de stocker le bois coupé durant leur activité principale, l’abattage d’arbres, ce qui entraîne la déforestation qui est le plus gros problème du Brésil car le cycle du bois n’est pas respecté parce qu’elles ne replantent pas, en majeure partie, de jeunes et nouvelles pousses d’arbres. Ils ont établi leurs locaux sur des zones déforestées et défrichées il y a longtemps. On transforme ensuite ces dernières en pâturages, des espaces pour les animaux d’élevage. Des axes de communication en terre favorisent une circulation et une liaison correctes pour les moyens de transports.

Le deuxième: Sur le deuxième plan, la forêt dense amazonienne est présente. Elle est naturelle et vierge, mais elle est en train d’être dégradée. Elle abrite, en bas à droite de la photographie, un petit point d’eau ; ce plan d’eau permet d’abreuver les animaux en petite partie. Le plus grand réservoir de biodiversité au monde fait connaître cette forêt qui le détient. En effet, cette immense biodiversité comporte plus de 390 milliards d’arbres incluant environ 16 000 espèces différentes. Elle comporte également environ 2,5 millions d’espèces d’insectes et des milliers d’autres comme les oiseaux, les poissons, les amphibiens, des reptiles ou encore des mammifères. Cette luxuriante faune et flore comprend environ 40 000 espèces de plantes. Malheureusement, l’être humain détruit cela. Ce territoire est au Brésil, au Pérou, en Colombie et dans six autres pays. Le fleuve Amazone traverse cet endroit.

Le troisième : Sur le troisième plan, on distingue de nouveau des bâtiments agricoles et des pâturages. Deux zones défrichées et déforestées récemment se trouvent à gauche et à droite du paysage. Ces zones vont devenir comme celles où se trouvent les entreprises : les pâturages. Lors de l’abattage des arbres, on coupe au niveau du sol à l’aide d’une abatteuse ou tout simplement, avec une tronçonneuse. On enlève ensuite les branches, les branchages, les feuillages et les souches car ces derniers ne servent à rien. On transporte ensuite les troncs grâce à de puissantes machines sur les quelques axes de circulation. Celui-ci est ensuite utilisé pour fabriquer des meubles ou même des charpentes ; pour la menuiserie , on utilise également ce bois pour se chauffer. Pour qu’il soit plus facile à utiliser, on l’emmène à la scierie pour l’avoir en plus petits morceaux.

Voici notre croquis simplifié avec titre et légendes qui représente un paysage du front pionnier du Rondônia.

L’adaptation au changement global est la suivante. Les risques liés au changement climatique et global et les conséquences dans cette région du monde sont nombreux. Les arbres de cette forêt dense captent une grande partie de CO2 déversée dans l’air à cause de la pollution produite dans les grandes villes du Brésil par les transports et l’activité industrielle. Ils renouvèlent également les gaz à effets de serre produits par les exploitation agricoles forestières et par les entreprises de coupes d’arbres qui se trouvent dans la forêt amazonienne. La biodiversité que l’on y trouve est exceptionnelle ; les animaux, tels que les félins, reculent dans leur territoire car cela les contraint à le faire à cause de la déforestation. On risque de perdre des espèces d’arbres très rares. Les végétaux absorbent beaucoup d’eau, en particulier celle des pluies tropicales et équatoriales ; on coupe énormément d’arbres et on arrache de nombreux végétaux. Par conséquent, le sol regorge de ce liquide et les inondations et les crues se font plus fréquentes. Le Brésil est un pays émergent ; sa population augmente de 1,2 % tous les ans. A l’heure actuelle, il fait partie des dix pays les plus peuplés au monde. Cette population de plus de 209 millions d’habitants augmente et doit être nourrie. Cette nourriture qui doit être produite rend légèrement vulnérable ce pays car ce dernier souffre de la malnutrition.

Le développement durable et les actions pour faire face au changement global sont les suivants. Si rien n’est fait, une grande perte d’espèces rares ainsi que la destruction de cette magnifique forêt sont entièrement possible. Les crues font fuir les habitants et les touristes tout autant que la pollution et la chaleur (réchauffement à cause de l’absence de l’absorption du CO2 par les arbres). Les déplacements de population se font vers des pays pauvres, tels que la Bolivie, la Colombie ou encore le Mexique. Cela accroît la pauvreté des grandes villes que l’on y trouve comme Bogota ou Mexico. Ces pays étant démunis, on appelle ce phénomène la paupérisation. Une liaison entre cela est l’exode rural.

Les actions pour l’avenir sont les suivantes. Pour l’avenir, plusieurs actions sont nécessaires. Une délimitation des grandes réserves naturelles dans cette forêt afin de préserver ce qu’elle contient et de rattraper le temps perdu doit être établie. On n’y pratique pas l’abattage des arbres ainsi que la chasse (et quelques fois le braconnage, déjà défendu). Il faut pratiquer le reboisement pour permettre de remettre aux arbres d’éviter les crues, les inondations, la pollution, les gaz à effets de serre et le réchauffement climatique (la chaleur). Cela doit être fait également pour les plantes. La déforestation doit cesser mais presque la totalité de la production de bois du Brésil vient de cette forêt. Pour cela, on peut continuer à couper les arbres mais il faut replanter la même espèce au même endroit pour respecter le cycle des arbres ; en quelques sortes, la pratique de la sylviculture doit être choisie et utilisée. Des associations pour lutter pour cette cause doivent et peuvent intervenir.

Le développement durable et les actions pour faire face au changement global sont les suivants. Le pilier économique. Le respect de ce pilier du développement durable est excellent. Un front pionnier est un site naturel en train d’être occupé et mis en valeur par l’être humain. Cela crée des emplois, rapporte de l’argent avec la vente des arbres, permet de pratiquer la menuiserie et sert de chauffer pour les habitations ou même sert à faire rouler certains moyens de transports grâce à la biomasse. Donc, Dans certains domaines, il sert d’énergies.

Le pilier social. Le respect de ce pilier du développement durable est partiel car on permet de proposer des produits à base de bois à la population brésilienne. La partie qui n’est pas favorable pour la société est celle de quelques délogements, bien qu’infiniment peu nombreux, d’habitants vivant dans cette zone ; des gens doivent déménager.

Le pilier environnemental. Au niveau du pilier environnemental, aucun respect aide l’environnement à se développer car on détruit la nature, en particulier les arbres. Lorsque l’on utilise le bois pour l’énergie, on produit de CO2 et d’autres gaz à effets de serre lors de sa combustion. Néanmoins, cette énergie est renouvelable lorsque l’on utilise pour la biomasse, par exemple. L’absence du respect de la biodiversité n’est pas conforme à ce pilier. Des animaux, chassés par la coupe des arbres, obligés de se déplacer, migrent et doivent donc cohabiter avec les êtres humains dans les villes. Mais les actions proposées peuvent supprimer ces problèmes.

La conclusion et le point de vue du groupe est positive. Notre conclusion et notre point de vue personnel du groupe sont les suivants. La conclusion et le point de vue du groupe est positive. Notre bilan et/ou impressions personnelles (le pour/contre avec nos argumentations avec une synthèse) sont intéressant, constructif, éducatif et jovialité. Ce diaporama a été réalisé par Louise Ponce, Charline Garreau et Sacha Birski. Nos sources sont le manuel d’histoire-géographie Hatier de 5ème, à la collection Martin Ivernel de 2010, aux pages 212 et 213 et internet, sur les sites web suivants. https://www.assistancescolaire.com/eleve/5e/geographie/reviser-une-notion /5_geo_04, http://www.maxicours.com/se/fiche/9/9/377799.html, https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Forêt_amazonienne, https://www.etudier.com/dissertations/Le-Front-Pionnier-Au-Rondônia/6622 8922.html et quelques autres.

La présentation sur le front pionnier du Rondônia est terminée.