E-gouvernement Exposé sous thème: Université sidi Mohammed Ben Abdelah École Supérieure de Technologie Fès Licence Professionnelle Management Internationale Exposé sous thème: E-gouvernement Préparé par : M. Reda LHIMER Mlle. Hind SAIDI Encadré par: M. Adil Hachmoud
PLAN Introduction Chapitre I: Présentation de e-gov I- Définition II- TIC en gouvernement électronique III-Les applications de gouvernement électronique Chapitre II: Processus d’implantation du e-gov I- Les étapes d’implantation de e-gov II- Schéma d’implantation
Chapitre III: Opportunités et freins du e-gov I- E-gov et sécurité II- Oportunité III- Freins Chapitre IV: e-gov au Maroc I- Projets E-Gov au Maroc II- La politique du E-gov au Maroc III- Modèle de développement IV- Exemple de portails de e-gov: CRI, Idarati
Conclusion Bibliographie
Introduction Le secteur public est comme le secteur privé, confronté à l'évolution rapide des nouvelles technologies qui modifient les moyens de communication et d'échange du monde économique, mais également celles des individus. Internet, Extranet, Intranet, Wap, telles sont quelques-unes des composantes qui forment les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) et qui permettent de créer de nouveaux moyens d'échange.
Introduction…. L'objectif de cet exposé est de présenter une vue cohérente des perspectives qui s'ouvrent au secteur public en matière de nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC).
Chapitre I: Présentation de e-gov
I- Définition du E-gov L‘ e -Gouvernement est l'adoption par les collectivités publiques des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans son rapport avec le Souverain, et dans sa relation avec les administrés, collaborateurs et partenaires du service public.
L’expression « e-Gouvernement » englobe généralement deux notions : • La dématérialisation des procédures publiques et la numérisation intégrale de l’accès aux services publics de l’Etat et des administrations locales.
• L’utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication dans les administrations, établissements publics et collectivités locales. Il s’agit ici de la mise en place de systèmes d’information « métiers » permettant un traitement électronique des procédures publiques, indépendamment de leur mise en ligne (arrière guichets informatisés).
II- TIC en gouvernement électronique Les principales technologies de l’information et de la communication (TIC) qui sont susceptibles d’améliorer la prestation des services publics
Amélioration des services administratifs
III- Les applications de gouvernement électronique
Exemple d’un formulaire Portail Service administratif Utilisateur Formulaire téléchargeable Formulaire rempli manuellement Impression Envoi par la poste Formulaire rempli électroniquement
Chapitre II: Processus d’implantation du e-gov
III- Processus d’implantation du e-gov Étape 1 : Diffusion de l’Information: développement et mise en place des sites Web qui fournissent au public des informations sur Les différents services gouvernementaux Étape 2 : Transactions dans les deux sens. La validation légale des signatures numériques et la sécurisation accrue des sites Web Étape 3 : Portails Universels. Basé sur le fait que les besoins du client peuvent toucher divers départements avec un même portail Permettant d'utiliser un seul point d'accès pour envoyer et recevoir l'information
Étape 4 : Personnalisation de portail Dans le but d’améliorer les services électroniques selon les besoins de chaque client Étape 5 : Regroupement des services communs À ce stade, les clients ont une perception nouvelle de la prestation des services publics. Ils vont même devenir des acteurs principaux des processus de livraison des services électroniques. Étape 6 : Intégration et transformation globale de l’entreprise À cette dernière phase de transformation, la gestion et la technologie sont intégrées selon la nouvelle structure de gouvernement
II- Schéma d’implantation
Chapitre III: Opportunités et freins du e-gov
I- E-gov et sécurité la vie privée et la confidentialité (le secret des données médicales, par exemple) l’intégrité des données transmises (impossibilité de procéder à des modifications indésirables) la preuve de l’identité (pour rappel, la Belgique est un des premiers pays à envisager une carte d'identité électronique)
la preuve qu’une transaction a eu lieu (un virement au service des contributions directes, par exemple) les systèmes d’autorisation (pour éviter que n'importe qui ne pénètre les secrets d'Etat ou pour réserver un service aux seules personnes habilitées) l'exposition aux virus
II- Opportunité du e-gov rendre les services disponibles par Internet 7 jours sur 7, 24 heures sur 24; étendre l’accessibilité à de nouveaux canaux d'accès comme l'ordinateur personnel connecté à Internet, les bornes digitales dans les lieux publics, la télévision interactive, le téléphone portable...; améliorer le confort d'utilisation (pas de files d'attente, plus d'informations, pas besoin de se déplacer...) offrir de nouveaux services personnalisés aux citoyens et aux entreprises (par exemple le calcul en ligne des impôts);
assurer une plus grande transparence de l'administration; offrir une information mieux ciblée et plus rapidement; simplifier les procédures administratives notamment en diminuant le nombre de formulaires et d'attestations à remplir; servir d'exemple pour l'ensemble des agents économiques et les inciter à s'approprier les nouvelles technologies
II- Freins risque de fracture numérique par l'exclusion de certaines catégories de la population (les classes les moins favorisées, personnes mal voyantes, personnes agées...) manque de protection de la vie privée et de confidentialité des données crainte pour la sécurité des transactions ou la perreinité des données
transfert de certains coûts vers le citoyen (achat de l'ordinateur, la connexion Internet, imprimante...) insuffisance des infrastructures de communication et d'un accès bon marché à la large bande barrières culturelles et manque de compétences informatiques
Chapitre IV: e-gov au Maroc
I- Projets e-gov au Maroc Dès février 2003, le comité eGouvernement a été crée afin d’établir un plan d’action à court terme ayant pour objectif de réaliser un nombre significatif de projets tel : e-Finance e-justice e-Transport
e-Foncier de l’Agence Nationale de le Conservation Foncière projet DAMANCOM de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale. Le système BADR (Base Automatisée des Douanes en Réseau)
II- La politique du e-gov au Maroc Le comité e-gov marocain utilise trois concepts : concertation et communication : entre différents acteurs (Séminaires et journées de l’Administration électronique) Emulation : expériences réussies accroissent la demande Mutualisation : rentabiliser les investissement déjà consentis & réutilisation des applications génériques
III- Modèle de développement le cas Marocain Technologique Promotion et développement de l’utilisation de l’Internet 1 Educatif 2 Numérisation des procédures publiques et mise en ligne de certaines procédures E-justice E- finances E-transport … 3 Comité E-Gov Coordination entre différentes administrations permettant l’apparition des guichets uniques 4
IV- Exemple de portails de e-gov: CRI Agadir Idarati IV- Exemple de portails de e-gov:
conclusion La vitesse à laquelle évoluent les nouvelles technologies implique pour les collectivités publiques de réagir afin de ne pas se trouver en total décalage avec leur environnement. Pour ce faire, les collectivités publiques peuvent entreprendre diverses actions: Favoriser la mise en oeuvre d'infrastructures NTIC sur son territoire (câble, réseau…) et développer un plan d'urbanisation en ce qui concerne les nouvelles technologies;
Favoriser la formation et l'éducation aux nouvelles technologies; Intégrer ces nouvelles technologies dans ses propres processus; Promouvoir l'établissement d'un cadre législatif adapté aux nouvelles technologies.
Merci pour votre attention