La fluoration de l’eau: une erreur scientifique Par Gilles Parent, ND.A.
Les grandes lignes de la présentation Démonstration que la fluoration N’est PAS éthique N’est PAS nécessaire N’est PAS efficace N’est PAS sans danger N’offre PAS de marge de sécurité pour protéger toute la population contre les effets secondaires potentiels reconnus Est TOXIQUE pour l’environnement
Les endossements versus la science Depuis toujours, on fait la promotion de la fluoration en s’appuyant sur l’approbation des autorités dentaires et de santé publique, mais citer des «autorités» sur ce sujet n’est pas suffisant Il est fondamental d’examiner la science qui sous-tend leurs prétentions d’«innocuité» et d’«efficacité» En tant que scientifique, cela fait 40 ans que je fouille la question et que je vois que cette mesure de santé publique ne s’appuie pas sur la rigueur scientifique.
La plupart des pays ont rejeté la notion d’utiliser l’eau de l’aqueduc pour la distribution d’une médication
Désormais, 98% de l’Europe de l’Ouest boit de l’eau non fluorée Autriche Belgique Ex-Tchécoslovaquie Danemark Finlande France Allemagne Grèce Islande Italie Luxembourg Hollande Irlande du Nord Norvège Pologne Écosse Suède Suisse Pays de Galles
Désormais, 98% de l’Europe de l’Ouest boit de l’eau non fluorée Autriche* Belgique Ex-Tchécoslovaquie Danemark Finlande France* Allemagne* Grèce Islande Italie Luxembourg Hollande Irlande du Nord Norvège Pologne Écosse Suède Suisse* Pays de Galles *Toutefois certains pays fluorent le sel
Seulement huit pays ont plus de 50% de leur population qui boit de l’eau fluorée l’Australie, la Colombie, l’Irlande, Israël, la Malaisie, la Nouvelle Zélande, Singapour et les États-Unis, où la fluoration a débuté en 1945 et où elle a été endossée par le Public Health Service en 1950, ceci bien avant qu’un seul essai n’ait été complété ou qu’une étude sérieuse n’ait été finalisée
Situation au Canada Le Canada est fluoré à moins de 30 % L’Ontario l’est à plus de 60 % Le Québec est présentement fluoré à 7 % mais en avril, ce ne sera plus qu’à 4 %, la ville de Québec cessera alors la fluoration La ville de Sherbrooke n’est pas fluorée Mais les villes de Windsor et de Richmond le sont
Les grandes lignes de la présentation Démonstration que la fluoration N’est PAS éthique N’est PAS nécessaire N’est PAS efficace N’est PAS sans danger N’offre PAS de marge de sécurité pour protéger toute la population contre les effets secondaires potentiels reconnus Est TOXIQUE pour l’environnement
1. La fluoration NE respecte PAS l’éthique On permet aux conseils municipaux de faire à tout le monde ce qu’un médecin n’a le droit de faire à personne d’imposer une médication aux gens sans leur «consentement en connaissance de cause»
1. La fluoration N’EST PAS éthique Administrer un médicament ou même une vitamine à une personne sans son libre consentement est contraire à la Charte canadienne des droits de la personne. Prescrire un médicament sans voir le «patient» est contraire à l’éthique professionnelle. Le lui prescrire et le lui administrer sans connaître ni son âge, ni son poids, ni son état de santé, ni l’apport total en fluorure (issu de sources multiples) va à l’encontre des codes de déontologie de toutes les professions de la santé. Déléguer aux membres des conseils municipaux la décision et la responsabilité d’administrer un médicament aux “patients” sans expertise ni compétence à les traiter, est contraire à toute éthique professionnelle.
La fluoration, c’est de la bien MAUVAISE médecine Vous pouvez contrôler la CONCENTRATION ajoutée à l’eau (mg/litre), mais Vous ne pouvez pas contrôler la DOSE (mg/jour) parce que Vous ne pouvez pas contrôler la quantité d’eau consommée par les gens ni combien de fluorures ils ingèrent des autres sources De nombreuses données démontrent que bien des gens sont aujourd’hui surexposés aux fluorures (taux élevés de fluorose dentaire – voir plus loin)
L’éthique ne permet pas aux médecins et dentistes de prescrire un produit qui N’est PAS homologué par Santé Canada ni par la US Food and Drug Administration un produit qui N’est PAS de qualité pharmaceutique, NI de qualité alimentaire un produit de qualité industrielle, qui est en fait un DÉCHET INDUSTRIEL et un POLLUANT issus de la production des engrais chimiques phosphatés un produit qui est CONTAMINÉ par des métaux lourds tels le plomb, l’arsenic, le cadmium un produit de SUBSTITUTION à ce qui a été véritablement testé lors des expérimentations, le fluorure de sodium Tel est le FLUOSILICATE DE SODIUM!
L’éthique professionnelle ne permet pas de promouvoir un remède ou une mesure de santé publique qui n’est pas fondé scientifiquement de prescrire un tel remède ou une telle mesure à une personne ou à toute une population de mentir de cacher sciemment les faits scientifiques de cacher les effets secondaires du médicament de nuire sciemment à la santé d’un patient de l’intoxiquer
La toxicité du fluorure SOURCE: données s’appuyant sur la dose létale (DL50) de Robert E.Gosselin et al, 1984. Clinical Toxicology of Commercial Products 5th ed., Williams and Wilkins, Baltimore. La toxicité relative 1 Pratiquement non toxique Légèrement Toxique 3 Modérément toxique Très toxique 5 Extrêmement Fluorure Arsenic Plomb
La toxicologie et la science démontrent que les fluorures sont TRÈS TOXIQUES
Cette dose n’est pas recommandée pour un enfant !
CECI EST UN PRODUIT TRÈS DANGEREUX À NE PAS LAISSER ENTRE LES MAINS D’UN ENFANT. VOIR L’AVERTISSEMENT AU DOS.
LES FLUORURES SONT PRESQUE AUSSI TOXIQUES QUE L’ARSENIC LES FLUORURES SONT PRESQUE AUSSI TOXIQUES QUE L’ARSENIC. Voici l’avertissement obligatoire sur les tubes de dentifrice aux États-Unis:
La Concentration Maximale Acceptable (CMA) d’un contaminant dans l’eau: • CMA du plomb = 15 ppb • CMA du fluorure = 1500 ppb • CMA de l’arsenic = 10 ppb Pourquoi une CMA de 1500 ppb pour le fluorure si la toxicité aiguë se situe entre le plomb et l’arsenic? Pas de réponse scientifique de la part d’Environnement Canada! Il se peut que la toxicité chronique du fluorure soit proportionnellement légèrement moins grande que celle du plomb ou de celle de l’arsenic.
Lettre du Dr Sheldon à la Chambre des Lords (2001)
Lettre du Dr Sheldon à la Chambre des Lords (2001) I O N F Ç S E À titre de président du Groupe Consultatif pour la révision systématique sur les effets de la fluoration récemment menée par le NHS Centre for Reviews and Dissemination de l’Université York et en tant que directeur fondateur, je suis préoccupé par le fait que les résultats de la revue ont été largement déformés. La révision était exceptionnelle sur ce sujet par le fait qu’elle était conduite par un groupe indépendant ayant les standards scientifiques internationaux les plus élevés et qu’un résumé a été publié dans le British Medical Journal. Il est alors particulièrement inquiétant que les déclarations qui ont trompé le public au sujet des conclusions de la révision ont été faites dans des communiqués et notes de presse par la British Dental Association, la British Medical Association, la National Alliance for Equity in Dental Health and the British Fluoridation Society. J’aimerais corriger certaines de ces erreurs. Quoiqu’il y a lieu de croire que la fluoration est efficace à réduire la carie dentaire, la qualité des études était généralement moyenne et l’ampleur du bénéfice, que de l’ordre de 15 %, est loin d’être «énorme». La révision a trouvé que la fluoration de l’eau était fortement associée à des taux élevés de fluorose dentaire, problème qui ne peut être qualifié que de «purement esthétique». La révision n’a pas démontré que la fluoration est sans danger. La qualité de la recherche était trop pauvre pour établir avec confiance s’il y a de effets nuisibles potentiels importants, en plus des taux élevés de fluorose dentaire. Le rapport recommande que davantage de recherches soient menées. Il y avait peu de preuves pour démontrer que la fluoration de l’eau réduit l’inégalité sociale en santé dentaire. La révision n’est pas parvenu à une conclusion relativement au rapport coût-efficacité de la fluoration ou s’il y a des effets distincts entre la fluoration naturelle et artificielle. À cause de la rigueur avec laquelle cette révision a été menée, les résultats de cette recherche sont plus prudents et moins concluants que dans la plupart des révisions antérieures. L’équipe de la révision a été surprise qu’en dépit du grand nombre d’études menés durant plusieurs décennies, il y a un pauvreté de preuves fiables à partir desquelles on peut établir une politique. Jusqu’à ce que des études de bonne qualité soient effectuées fournissant des preuves plus évidentes, une controverse scientifique légitime persistera sur le réel rapport coût-efficacité de la fluoration de l’eau. Signé T.A. Sheldon, Professeur Trevor Sheldon, MSc, MSc, DSc, FMedSci.
Lettre du Dr Sheldon à la Chambre des Lords (2001) I O N F Ç S E À titre de président du Groupe Consultatif pour la révision systématique sur les effets de la fluoration récemment menée par le NHS Centre for Reviews and Dissemination de l’Université York et en tant que directeur fondateur, je suis préoccupé par le fait que les résultats de la revue ont été largement déformés. La révision était exceptionnelle sur ce sujet par le fait qu’elle était conduite par un groupe indépendant ayant les standards scientifiques internationaux les plus élevés et qu’un résumé a été publié dans le British Medical Journal. Il est alors particulièrement inquiétant que les déclarations qui ont trompé le public au sujet des conclusions de la révision ont été faites dans des communiqués et notes de presse par la British Dental Association, la British Medical Association, la National Alliance for Equity in Dental Health and the British Fluoridation Society. J’aimerais corriger certaines de ces erreurs. Quoiqu’il y a lieu de croire que la fluoration est efficace à réduire la carie dentaire, la qualité des études était généralement moyenne et l’ampleur du bénéfice, que de l’ordre de 15 %, est loin d’être «énorme». La révision a trouvé que la fluoration de l’eau était fortement associée à des taux élevés de fluorose dentaire, problème qui ne peut être qualifié que de «purement esthétique». La révision n’a pas démontré que la fluoration est sans danger. La qualité de la recherche était trop pauvre pour établir avec confiance s’il y a de effets nuisibles potentiels importants, en plus des taux élevés de fluorose dentaire. Le rapport recommande que davantage de recherches soient menées. Il y avait peu de preuves pour démontrer que la fluoration de l’eau réduit l’inégalité sociale en santé dentaire. La révision n’est pas parvenu à une conclusion relativement au rapport coût-efficacité de la fluoration ou s’il y a des effets distincts entre la fluoration naturelle et artificielle. À cause de la rigueur avec laquelle cette révision a été menée, les résultats de cette recherche sont plus prudents et moins concluants que dans la plupart des révisions antérieures. L’équipe de la révision a été surprise qu’en dépit du grand nombre d’études menés durant plusieurs décennies, il y a un pauvreté de preuves fiables à partir desquelles on peut établir une politique. Jusqu’à ce que des études de bonne qualité soient effectuées fournissant des preuves plus évidentes, une controverse scientifique légitime persistera sur le réel rapport coût-efficacité de la fluoration de l’eau. Signé T.A. Sheldon, Professeur Trevor Sheldon, MSc, MSc, DSc, FMedSci.
Lettre du Dr Sheldon à la Chambre des Lords (2001) I O N F Ç S E À titre de président du Groupe Consultatif pour la révision systématique sur les effets de la fluoration récemment menée par le NHS Centre for Reviews and Dissemination de l’Université York et en tant que directeur fondateur, je suis préoccupé par le fait que les résultats de la revue ont été largement déformés. La révision était exceptionnelle sur ce sujet par le fait qu’elle était conduite par un groupe indépendant ayant les standards scientifiques internationaux les plus élevés et qu’un résumé a été publié dans le British Medical Journal. Il est alors particulièrement inquiétant que les déclarations qui ont trompé le public au sujet des conclusions de la révision ont été faites dans des communiqués et notes de presse par la British Dental Association, la British Medical Association, la National Alliance for Equity in Dental Health and the British Fluoridation Society. J’aimerais corriger certaines de ces erreurs. Quoiqu’il y a lieu de croire que la fluoration est efficace à réduire la carie dentaire, la qualité des études était généralement moyenne et l’ampleur du bénéfice, que de l’ordre de 15 %, est loin d’être «énorme». La révision a trouvé que la fluoration de l’eau était fortement associée à des taux élevés de fluorose dentaire, problème qui ne peut être qualifié que de «purement esthétique». La révision n’a pas démontré que la fluoration est sans danger. La qualité de la recherche était trop pauvre pour établir avec confiance s’il y a de effets nuisibles potentiels importants, en plus des taux élevés de fluorose dentaire. Le rapport recommande que davantage de recherches soient menées. Il y avait peu de preuves pour démontrer que la fluoration de l’eau réduit l’inégalité sociale en santé dentaire. La révision n’est pas parvenu à une conclusion relativement au rapport coût-efficacité de la fluoration ou s’il y a des effets distincts entre la fluoration naturelle et artificielle. À cause de la rigueur avec laquelle cette révision a été menée, les résultats de cette recherche sont plus prudents et moins concluants que dans la plupart des révisions antérieures. L’équipe de la révision a été surprise qu’en dépit du grand nombre d’études menés durant plusieurs décennies, il y a un pauvreté de preuves fiables à partir desquelles on peut établir une politique. Jusqu’à ce que des études de bonne qualité soient effectuées fournissant des preuves plus évidentes, une controverse scientifique légitime persistera sur le réel rapport coût-efficacité de la fluoration de l’eau. Signé T.A. Sheldon, Professeur Trevor Sheldon, MSc, MSc, DSc, FMedSci. Il est alors particulièrement inquiétant que les déclarations qui ont trompé le public au sujet des conclusions de la révision ont été faites dans des communiqués et notes de presse par l’Association dentaire britannique, l’Associaton médicale britanni- que, l’Alliance nationale pour l’équité en santé dentaire et la Société britannique pour la fluoration. J’aimerais corriger certaines de ces erreurs. L’éthique professionnelle défend de mentir de cacher sciemment les faits scientifiques de cacher les effets secondaires du médicament
Lettre du Dr Sheldon à la Chambre des Lords (2001) I O N F Ç S E À titre de président du Groupe Consultatif pour la révision systématique sur les effets de la fluoration récemment menée par le NHS Centre for Reviews and Dissemination de l’Université York et en tant que directeur fondateur, je suis préoccupé par le fait que les résultats de la revue ont été largement déformés. La révision était exceptionnelle sur ce sujet par le fait qu’elle était conduite par un groupe indépendant ayant les standards scientifiques internationaux les plus élevés et qu’un résumé a été publié dans le British Medical Journal. Il est alors particulièrement inquiétant que les déclarations qui ont trompé le public au sujet des conclusions de la révision ont été faites dans des communiqués et notes de presse par la British Dental Association, la British Medical Association, la National Alliance for Equity in Dental Health and the British Fluoridation Society. J’aimerais corriger certaines de ces erreurs. Quoiqu’il y a lieu de croire que la fluoration est efficace à réduire la carie dentaire, la qualité des études était généralement moyenne et l’ampleur du bénéfice, que de l’ordre de 15 %, est loin d’être «énorme». La révision a trouvé que la fluoration de l’eau était fortement associée à des taux élevés de fluorose dentaire qui ne peut pas être qualifiée comme étant «seulement une question esthétique». La révision n’a pas démontré que la fluoration était sans danger. La qualité de la recherche était trop pauvre pour établir avec confiance s’il y avait de possibles effets nuisibles importants en plus des taux élevés de fluorose dentaire. Le rapport recommande que davantage de recherches soient requises. Il y avait peu de preuves pour démontrer que la fluoration de l’eau ait réduit l’inégalité sociale en santé dentaire. La révision n’est pas parvenu à une conclusion relativement au coût-efficacité de la fluoration ou s’il y a des effets différents entre la fluoration naturelle ou artificielle. À cause de la rigueur avec laquelle cette révision a été menée, les résultats de cette recherche sont plus prudents et moins concluants que dans la plupart des révisions antérieures. L’équipe de la révision a été surprise qu’en dépit du grand nombre d’études menés durant plusieurs décennies, il y a un pauvreté de preuves fiables à partir desquelles on peut établir une politique. Jusqu’à ce que des études de bonne qualité soient effectuées fournissant des preuves plus évidentes, une controverse scientifique légitime persistera sur le réel rapport coût-efficacité de la fluoration de l’eau. Signé T.A. Sheldon, Professeur Trevor Sheldon, MSc, MSc, DSc, FMedSci. La révision de la littérature scientifique a permis de trouver que la fluoration de l’eau est fortement associée à des taux élevés de fluorose dentaire, problème qui ne peut pas être qualifié que de «purement esthétique». L’éthique professionnelle défend de cacher les effets secondaires du médicament de nuire sciemment à la santé d’un patient de l’intoxiquer