Baladorama non commercial De Bernard GEORGES 2011 Photos personnelles avec quelques emprunts au sieur Google Photos personnelles avec quelques emprunts au sieur Google
• Les murales habitent dorénavant nos villes pour y construire de nouveaux paysages. C’est un art public qui échappe aux musées et qui est souvent ignoré par les responsables des institutions artistiques. Il est purement gratuit, offert à tous, non suspect de valeur commerciale. • Il est le petit frère des fresques du Moyen-Age. Protestataire (mur de Berlin) ou simplement onirique il est un témoignage, un langage foisonnant qui est le « nouvel art vivant », un art libre qui s’affirme aux passants dans la vie quotidienne des quartiers, cités, des villes. Il n’est ni innocent, ni anodin dans la mesure où les maîtres du pouvoir s’efforcent parfois de les faire disparaître.
• Montréal est un des haut-lieux de cet art populaire. Les murs y murmurent des rêves, des préoccupations ou simplement la volonté de rendre moins tristes les murs de briques, comme pour retrouver d’autres paysages. • Les œuvres sont parfois anonymes, signées ou collectives. Voici que bruissent page après page les murmures alors que dans les boisés et les campagnes l’été indien y répond de toutes ses couleurs. • Regardez, les mots sont souvent inutiles……………..
Même endroit: il y a 15 ans et en 2011, le politiquement correct a du passer par là!
Le Bon Homme social arriv en VILLE EKI Accouche de la TERRE. (Murale au Carré St Louis avant la maison de Pauline Julien, la Léo Ferré ou Colette Renard québécoise. ( ).. Également maison du poète Gérald Godin…..
Sept heures et de mi de Montréal…..c’est plein d’immigrants Ça se lève de bonne heure, ce monde là… Le vieux cœur de la ville battrait-il encore grâce à eux… Ce vieux cœur de la ville avec ses spasmes, ses embolies, ses souilles au cœur Et tous ses défauts.. Et toutes les raisons du monde pour s’arrêter, renoncer… Le Tango de Montréal G. Godin 1983 Murale métro Mont-Royal
J’ai rencontré Adeline Lamarre en plein travail
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