perché sur une colline aux pentes escarpées et de vaste superficie, L’oppidum d’Ensérune, perché sur une colline aux pentes escarpées et de vaste superficie, offre une protection naturelle idéale pour un village fortifié. Ce type d’habitat en hauteur est caractéristique du monde indigène de la Gaule méridionale, de l’âge du bronze à la conquête romaine.
Arrivée des plus vaillantes avec notre organisateur au sommet de la colline
Un alignement de pièces le long d’une rue borde le rempart.
Dolia (jarres à provisions) encastrés dans le sol
La maison à la colonne
Silo creusé dans le sol et son bouchon de pierres qui l’obstruait
Rue bordant le rempart
Point de vue sur l’étang de Montady.
Les pauses tchatche sont importantes
Et tchatche et tchatche …
Le temps superbe nous met en forme ! Maïté, friponne !
Dolium
Restes d’habitation
L’antique voie Domitienne est encore visible dans le paysage.
Colonnes parmi la floraison printanière des arbres de Judée
Visite du musée d’Ensérune
Reconstitution d’un habitat néolithique
Thérèse admire les dolia.
Amphore rhodienne IIIe s -60 av. J-C
Céramique grecque VIe s av. J-C
Brûle-parfums
Boîtes à sceau 1er s av. J-C
Verrerie romaine 1er s av. J-C
Cruches d’époque romaine découvertes dans la nécropole à incinération Fin IIe – Ier S av. J-C découvertes dans la nécropole à incinération
La série de vases qui servaient d’ossuaires est impressionnante
Moment de détente après la visite du musée
Avant de nous quitter, je vous présente dominant tout l’oppidum Ludovicus, dit Loulou, dominant tout l’oppidum
Un grand merci Nous nous séparons aux organisateurs avec le bleu de ces iris. Réalisation Syl 86