Création d’une application complète Le projet La structure d’un VI Création d’un sous-vi Le menu d’exécution Les nœuds de propriétés Personnalisation d’une commande Exemple d’application
a) Le projet Lorsqu’on créé une nouvelle application, on commence par créer un projet (Nouveau/Projet vide) Puis on définit où l’application va être déployée en ajoutant le programme principal sur le périphérique souhaité: Poste de travail = ordinateur Système déporté = compact rio
b) La structure d’un VI Trois étapes : Initialisation Application Fermeture Initialisation Application principale Fermeture On parle d’instruments virtuels car leur apparence et leur fonctionnement sont semblables à ceux d’instruments réels, tels que les oscilloscopes et les multimètres. La face Avant : On place sur la face avant: - des commandes pour la saisie des données : entrées - des indicateurs pour l'affichage des résultats : sorties Dans la face-avant nous trouverons tous les éléments interactifs du VI (commandes et indicateurs). Le diagramme : On réalise dans le diagramme le câblage des opérations à effectuer en plaçant des fonctions. Dans le diagramme nous trouverons tous les éléments propres au code développé (structures, fonctions, constantes,…). Icône et connecteur : Chaque VI affiche une icône, dans le coin supérieur droit des fenêtres de la face-avant et du diagramme. Une icône est une représentation graphique d’un VI qui permet de l’identifier au sein d’un autre VI. Un connecteur est un ensemble de terminaux correspondant aux commandes et aux indicateurs du VI qui sont accessibles
c) Les sous VI Un sous VI est un VI qui peut être utilisé dans un autre VI de plus haut niveau. Sous VI Avantages : Modularité (création de blocs de base réutilisable pour diverses applications : gain de productivité) Facilite le débogage Nécessite une seule création de code. Icône représentative du sous VI VI principal Icône représentative du VI de plus haut niveau Sous VI
Icônes et connecteurs Un icône représente un VI dans un autre diagramme d’un VI de plus haut niveau Un connecteur montre les terminaux disponibles pour le transfert de données 3 cases en entrées pour les commandes Les entrées sont en traits fins et la couleur représente le type de variable à connecter (DBL) Les sorties sont en gras et la couleur représente aussi le type de variable a connecter (DBL) 1 case en sortie pour l’indicateur
Palette d’outils d’édition du dessin Créer une icône Double cliquez avec le bouton droit sur l’icône de la face avant ou sur l’icône du diagramme La personnalisation de l’icône est tout à fait facultative et ne changera rien au fonctionnement du sous VI. Palette d’outils d’édition du dessin
Connecteurs Cliquez avec le bouton droit sur l’icône blanche puis choisir le modèle de connecteurs souhaité et assigner les terminaux En général on choisira de mettre les entrées à gauche et les sorties à droite
Terminaux « nécessaires », «recommandées » ou « optionnels » Lorsque l’on assigne les connecteurs, on peut définir leur importance à l’aide des trois termes suivants « Nécessaire », « Recommandée » ou « Optionnelle ». En gris : terminaux optionnels (X et commentaires) En normal : Terminal recommandé (Graphe XY) En gras : Terminal nécessaire (Y) Icône: 2 entrées 2 sorties Avec ces options, ce sous VI est exécutable lorsqu’on créé simplement les terminaux nécessaires dans notre cas Y
d) Le menu d’exécution Il permet de décharger une face avant qui est très encombrée : On choisit « Edition » -> « Menu d’exécution » On choisit menu « Personnalisé On créer le menu en complétant le nom de l’élément (le tag correspond au texte qui sera testé dans le vi principal) puis on ajoute et décale les différents éléments. La ligne aperçu permet de visualiser comment sera le menu de l’exécutable.
e) Les nœuds de propriétés Les nœuds de propriétés permettent de modifier via le diagramme (lors de l’exécution du programme) toutes les propriétés des éléments de la face avant en changeant le mode d’accès : « Changer en écriture ». Ici, la propriété « Visible » permettra d’afficher le graphe si c’est à True, ou de masquer l’élément si c’est à False.
f) Personnalisation des commandes Modification de la taille : des couleurs : du texte: double clique sur le texte à Modifier masquer l’étiquette: Couleur transparente
Les propriétés : On retrouve les propriétés précédentes ainsi que d’autres suivant les onglets supérieurs:
Modifications des objets par défaut : Exemple : une jauge Rotation du 0 : l’outil s’affiche automatiquement dès que l’on s’approche du repère a modifier ici le 0 Superposition du 10 sur le 0 avec le même outil mais en le plaçant sur le 10 Modification du 10 en 12 Ajout de deux aiguilles Personnalisation
Pour modifier la commande, il faut passer en mode personnalisé : Puis on modifie l’élément que l’on souhaite : On redimensionne puis on passe en mode édition puis on sauvegarde. Cette commande pourra être réutilisée dans d’autres projets. (fichier .ctl).
Utilisation de la jauge :
g) Exemple d’application Nous allons créer une application complète qui permet de : Lire un fichier de mesures D'enregistrer un fichier de mesures D'imprimer les courbes lues ou acquises. De mesurer l'effort de la bielle et le couple moteur du portail lors de l'ouverture de celui-ci. Ces mesures seront faites à l'aide de deux entrées analogiques en mode différentielles et l'ouverture ou la fermeture du portail sera gérée par une sortie numérique d'un module DAQ (USB 6009 ou compacDAQ).