Cliquer pour changer de diapo Paris vu du ciel en 1950 Cliquer pour changer de diapo
Les Halles de Paris comptaient 10 pavillons métalliques édifiés par l'architecte Victor Baltard en 1851. Ils furent détruits en 1969 pour laisser place au complexe actuel, le forum des Halles.
La place de l'Etoile, point de convergence de douze avenues, comptait dans les années 50 beaucoup moins de trafic qu'aujourd'hui.
Avant les travaux de transformation des bâtiments, effectués dès 1981 par l'architecte sino-américain Pei, l'entrée du Louvre se faisait par les bâtiments. Aujourd'hui, on pénètre dans le musée par la pyramide de verre qui trône au centre de la cour Napoléon.
La construction de l'église de la Madeleine s'est étalée sur 85 ans, en raison des troubles politiques en France à la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème siècle. Depuis les années 50, elle n'a pas subi de grands changements.
En 1952, pour la première fois, une émission de télévision est retransmise directement à Londres depuis la Tour Eiffel. Elle est à l'époque très solitaire dans le ciel parisien : les immeubles du quartier Beaugrenelle sont encore à l'état de projet.
Dans la grande halle de fer du Grand Palais, symbole de l'Art nouveau, se succèdent manifestations et salons officiels. En 1950, les voies sur berge sont loin d'être les axes routiers majeurs qu'elles sont devenues aujourd'hui.
La place de la Concorde a peu changé depuis les années 50, mais les jardins des Tuileries ont été réaménagés et la grande galerie du Jeu de Paume restaurée.
L'usine Citroën de Paris, dans le XVème arrondissement, sur les rives de la Seine, a été transformée après sa désaffectation en un vaste parc public, le parc André Citroën, ceinturé d'un programme de logements et de bâtiments tertiaires.
Le bâtiment de la gare de Lyon a peu évolué jusqu'aux années 1960 et la construction de la ligne A du nouveau RER, pour laquelle la façade côté rue de Bercy et la halle Bercy (à droite de l'image) ont été détruites.
Le Palais Garnier, un monument particulièrement représentatif de l'architecture éclectique de la seconde moitié du XIXème siècle.
Paris vu du ciel Jean-Louis Schmidt a retrouvé dans les archives de son père une quantité de photos inédites de toute la France, dont cette superbe série sur Paris. Première photo aérienne La première photographie aérienne date de 1858, elle est l'œuvre du photographe et aéropostier Félix Nadar qui a pris un cliché du Petit Bicêtre, au sud de Paris, à proximité de Bièvres, depuis un ballon captif. Développement au début du XXème siècle Mais la photographie aérienne a pris réellement son essor lors de la première guerre mondiale avec le développement de l'aéroplane et des besoins en renseignements militaires. La Seconde Guerre mondiale va déclencher un développement considérable de la photographie aérienne toujours sous l'impulsion des militaires. Techniquement, il s'agit essentiellement de photographie oblique à basse altitude. Les appareils photographiques sont de divers types mais ont en commun un objectif lumineux et un temps de pose très court. En savoir plus : Vous pouvez commander le tirage sur papier d'un des clichés de Jean-Louis Schmidt sur son site internet www.pariskypictures.com