Présentation Salon Economique du 10 au 12 Septembre 2014
CHIFFRES-CLE A TITRE ILLUSTRATIF
Chiffres Clé AUGMENTATION DES DEPOTS DE LA CLIENTELE BANQUES
ENCOURS DE CREDITS BANCAIRES Chiffres Clé
TAUX DE BANCARISATION Chiffres Clé
POINTS D’EXPLOITATION Chiffres Clé
TAUX MOYEN /AN DE FINANCEMENT DE L’ECONOMIE Chiffres Clé
TAUX DE MOBILISATION DE L’EPARGNE Chiffres Clé
TOTAL BILANTAIRE DE LA PROFESSION Chiffres Clé
TOTAL BILANTAIRE DE LA PROFESSION (En millions de dollars USD) Chiffres Clés Source : CITY GROUP
CONTRIBUTION A L’ECONOMIE
CONTRIBUTION DES CRÉDITS BANCAIRES DANS LE SECTEUR AGRICOLES, ÉLÉVAGE ET SYLVICULTURE Source : Banque Centrale du Congo – Rapport annuel 2012 et projection 2013
CONTRIBUTION DES CRÉDITS BANCAIRES DANS LES ACTIVITÉS INDUTRIELLES
CONTRIBUTION DES CRÉDITS BANCAIRES DANS LE SECTEUR DES SERVICES
EVOLUTION DE FINANCEMENT DES BANQUES PAR SECTEUR Source : Banque Centrale du Congo – Rapport annuel 2012 et projection 2013
ROLES
Rôles Vis-à-vis du Secteur Economique et des Entreprises 1.18 banques opèrent actuellement contre 9 il y a 10 ans 2.Elle assure le rôle d’intermédiation en soutenant la bancarisation du pays par la transformation de l’économie informel vers le formel ; Plus de 900,000 fonctionnaires bancarisés avec comme objectif un « fonctionnaire un compte en banque » 3.Création de la richesse et réduction de la pauvreté par le financement aux particuliers et aux PME/PMI; 4.Participe au financement du secteur économique et des entreprises ;
CONTRAINTES ET PERSPECTIVES
Contraintes Environnement sécuritaire / juridique / judiciaire / fiscal / douanier problématique ; Faiblesse du système légal des suretés ; Qualité de la sureté Micro et petites entreprises, mal structurées /organisées ; Coût élevé de la ressource des banque, avec comme conséquence un taux élevé d’intérêt ; Absence de la ressource à moyen et long termes (4% de dépôts); Faible capitalisation des banques ; Absence d’un code d’investissement propre au système financier. L’absence de système d’assurance crédible; Un système comptable inadapté aux établissements financiers. Perspectives Une modernisation de la Centrale des Risques ; Une culture du respect des engagement par l’information et la formation; Un système de refinancement à moindre coûts Un taux de bancarisation à 2 chiffres Un Système de Garantie de Dépôts mis en place également en collaboration avec l’ACB.
Composition du taux débiteurs Le coût des dépôts supportés pour soutenir l’activité de crédit (ressources, frais BCC, réserves obligatoire) Le coût du crédit qui équivaut aux provisions spécifiques et pertes sur crédit et l’impacte fiscale (non déductibilité fiscale des provisions sur crédit litigieux) Le coût du loyer des fonds (CT/MT & LT) Les coûts d’exploitation (la marge nécessaire à couvrir nos frais généraux, coûts exacerbés par le manque d’infrastructures, les déficiences en fourniture énergétique, tracasseries administratives, la parafiscalité et les pesanteurs divers ) Les coûts liés aux créances litigieuses ( frais administratifs et juridiques) La marge minimale sur fonds propres (rémunération des fonds propres) la prime de risque (amplifiés par l’incertitude de l’environnement politico-économique du pays et la faible qualité de la contre partie) La marge commerciale
Conséquences Limitation de la propension des banques à accroitre leurs investissements Limitation de prise de risque plus large et plus adapté au besoin de développement. Un seuil du taux d’intérêts minimum moyen au dessous duquel nous prêterions à perte aux différents secteurs. Le taux de contribution des intérêts bancaires au PIB se situe à moins de 5% CONSEQUENCES
MERCI