Aspects positifs du bilan : « Satisfactions » Amélioration de l’activité aménagement Qualité des restitutions cartographiques Développement des possibilités d’analyse Qualité et finesse des descriptions Gains de productivité Une nouvelle dimension pour le secteur conventionnel Nouvelle dimension de certaines études Valorisation dans le domaine « arbre conseil » Des apports intéressants dans d’autres domaines Possibilités de développer des partenariats Intérêt de certaines couches générales sur le territoire Constitution de certaines bases de données
Aspects négatifs du bilan : « Frustrations » Dimension « Système d’Information » peu développée Pas de valorisation des données au-delà de la réalisation de l’aménagement Hétérogénéité dans la structuration des données et les couches Pas de politique générale de constitution de bases de données Difficulté du travail avec les aménagistes Organisation du travail difficile entre les aménagistes et la cellule SIG Travail en sous-traitance sans démarche de structuration et d’harmonisation Aménagistes pas toujours sensibilisés et parfois non spécialisés Sous exploitation de l’outil Parfois utilisé pour des travaux de dessin Capacités d’analyse assez peu valorisées Divers Difficultés organisationnelles (disponibilité, priorités, formations) Manque de moyens (matériels, données exogènes)
Synthèses et perspectives : « Souhaits » Préciser les modes opératoires avec les aménagistes Améliorer la structuration et la codification des données Définir une politique de réalisation de base de données Développer l’accessibilité aux données (Services, UT) Développer les prestations d’études Engager des partenariats d’échanges de données Faire régulièrement évoluer les matériels Mettre en place une formation continue des « Sigistes »
SIG et « élaboration des aménagements » Quasi totalité des aménagements faits avec le SIG Utilisations : foncier, analyse, restitution cartographique Satisfaction assez générale des aménagistes Principaux thèmes traités avec une base de donnée Parcellaire, Stations, peuplements, « aménagement », parfois infrastructure Autres thèmes traités sans véritable base de donnée Paysages, équipements, milieux remarquables, habitats, risques, chasse … Données attributaires en général gérées sous Excel Pas d’expériences de structuration des données Quelques réflexions liées à l’utilisation d’AIDAM Pas d’approches transversales sur plusieurs forêts Quelques éléments dans certaines DILAM
SIG et « élaboration des aménagements » Processus SIG aménagements les plus opérationnels Gestion de la base de données peuplement/UA/UG Valorisation des photographies aériennes dans les descriptions Qualité des restitutions cartographiques Inventaires des stations par grilles de points Processus SIG aménagements les moins opérationnels Analyse foncière préalable, périmètre, parcellaire surfaces de référence Détermination et stabilisation du périmètre Difficultés de gestion des données cadastrales Problématique de la surface de référence : « cadastrale au CA » Difficulté d’organisation du travail avec les aménagistes Problématique du référentiel topographique et des incohérences
SIG en dehors de l’élaboration des aménagements Peu de demandes en gestion et suivi d’aménagement Données aménagement peu ou pas valorisées ensuite Pas d’expérience d’articulation avec les outils gestion Liens avec le terrain limités à quelques tirages papier Cartographies générales assez limitées Périmètres, parcellaires, organisation, arbres remarquables, mares, … PNR, Réserve de Biosphère, Cartographie des dégâts de la tempête Domaine « études » assez limité mais diversifié Arbre Expert, Plans Simples de Gestion, mise à disposition d’information MIG : environnement, accueil du public, archéologie, communication Études foncières, gestion parcellaire, concessions Quelques actions de partenariat en échange de données DIREN, IAURIF, PNR, AGGLOMERATION, ….
Méthodologie générale Évolutions diverses de l’arborescence d’origine Pas de normalisation des noms de fichiers des usages Gestion des données en SHAPE avec topologie vérifiée Système de coordonnées Lambert I en île de France Coexistence des systèmes LI et LIIe ailleurs Mode de Gestion des données attributaires variable Pas de réalisation de chartes graphiques
Méthodologie aménagement (1) Périmètre et parcellaire assez généralement synthèse des différentes sources sur IGN de plus en plus systématiquement extraction des routes publiques IGN privilégié pour les grandes forêts domaniales CADASTRE privilégié pour les forêts petites ou à enjeu foncier important expériences de recalage sur la BDORTHO à Rouen quelques expériences de levers GPS surfaces en générale mises en cohérence avec le cadastre (qq exceptions) Peuplements élémentaires En général à partir des photographies aériennes parfois croquis de terrain qualité et précision difficile à évaluer peu d ’utilisation de la stéréoscopie parfois cartographies indépendantes de différentes variables dendrométriques en général découpe du parcellaire (qq exceptions) Quelques expériences BDORTHO et levers GPS Certaines descriptions par points avec zonage ultérieur
Méthodologie aménagement (2) Stations forestières zonage direct ou après un inventaire par points exceptionnellement points sans zonage ultérieur (ex :fontainebleau) passage des points aux polygones pas toujours très bon digitalisation du travail du service de cartographie des sols de l ’Aisne parfois découpage direct du parcellaire pour éviter les croisements Unités d ’analyse souvent par l ’aménagiste à partir d ’analyses visuelles sans croisement SIG les peuplements élémentaires constituent souvent les unités d ’analyse parfois on passe des peuplements aux « sous-parcelles » sans notion d ’UA Unités de gestion : 3 différentes modalités découpage parcelles en sous-parcelles sans lien direct avec les peuplements copie des peuplements puis regroupement en UG par fusion maintien du détail géographique sans fusion, gestion attributaire
Méthodologie aménagement (3) Infrastructure à partir du parcellaire par transformation en lignes nature détail et données attributaires très variable selon les forêts assez variable selon les forêts, calculs de longueurs attributs : nom, nature, accessibilité... (variable d ’un projet à l ’autre) Habitats quelques cas à partir des cartes de station et peuplements et relevés Accueil du public thème de plus en plus développé sur certains sites, dessin sur d ’autres Autres thèmes variable selon les forêts, souvent cartographies simples voire « dessin » assemblages cadastraux si en jeu foncier (données numériques si possible) génération de grilles d ’inventaire selon l ’axe et le pas souhaité
Outils de saisie directe en forêt Workabout et GPS Utilisation des Workabout test de l ’utilisation d ’annafor sur Rouen situation très différente selon les agences (équipement, utilisation) interrogations sur la possibilité et l ’intérêt d ’informatisation des fiches amgt nécessité de : réflexions, informations et formation sur cet outil Utilisation des GPS Garmin avec ou sans Workabout utilisations terrain avec TOPOWIN et cartographies UA (Rouen,Alençon) démarrage d ’inventaires sur Compiègne (livraison récente) cartographies tempête et navigation sur points d ’inventaire (Créteil) intégration sous SIG en couche de fond pour travail écran Utilisation du GPS Trimble toutes les agences à l ’exception de Créteil et Lille ont l ’outil les utilisations sont multiples (aménagement, DTR, Equipemenst d ’accueil du public, arbres remarquables, foncier) utilisation et intégration SIG asse facile
Détail des évolutions méthodologiques souhaitables Normaliser les noms de fichier et l’arborescence Normaliser la structure, la codification et la gestion des données Etablir une charte graphique Mettre au point l’organisation du travail avec les aménagistes Formation continue des « sigistes » Réfléchir à la problématique des données partagées et accessibles Liens entre le SIG et les logiciels de gestion (sommier de la forêt) Intégration de l’outil dans les processus de l’établissement
Nouveaux besoins à satisfaire en priorité Développer le SIG en tant qu’outil de gestion Accessibilité du terrain en fonction des besoins Développer l’information sur les possibilités Référentiel foncier, assemblage cadastral Intégration du SIG dans le système d’information Essayer de bien gérer les aspects liés à l’aménagement
Bases de données cartographiques prioritaires Jeunes peuplements Etat d’assiette Aménagement Limites / Parcellaire Foncier / Concessions Accueil du public en forêt Parcellaire / UG Stations / Peuplements Habitats
Objectif vis à vis du terrain Développer l’accessibilité Dans un premier temps informer sur les possibilités Permettre l’accès au parcellaire avec quelques attributs D’abord mettre au point les méthodes de travail Développer la valorisation des bases en local Réaliser des formations sur le logiciel Arc Explorer Permettre un retour d ’information au niveau du terrain Développer la valorisation et la mise à jour par le terrain
Enjeux vis à vis du développement Développement de partenariats avoir des données de base permettant de s ’insérer dans des partenariats les partenaires s ’intéressent aux données couvrant tout le territoire pouvoir préciser la qualité et les limites de nos données (fiche métadonnées nécessité d ’un cadrage sur la gestion et la mise à disposition des données) Activité conventionnelle difficultés de vendre du SIG en tant que tel intérêt pour valoriser les travaux d ’études et d ’expertises informer sur les possibilités du logiciel ARC INFO (études, relief) peut être faut-il communiquer auprès de nos partenaires sur la question développer des prestation de sur régime forestier à partir du SIG des possibilités certaines dans le domaine environnemental (E ou P) valoriser les compétences d ’inventaire et ou d ’expertise des réalisations peut être à développer dans le domaine « arbre conseil »
DIVERS SIG : données milieu (connaissance) et données gestion (efficacité) le réseau est un moyen de donner du poids à des harmonisations avant tout un travail de fond au niveau du patrimonial SIG : moyen d ’homogénéiser pour avoir une vision plus générale compléter et enrichir les classeurs SIG
Exemples cités de valorisation concrète des bases de données Réflexion « objectifs » sur l ’agence d ’Alençon Suivi de l ’aménagement (état d ’avancement) Base de données « Jeunes Peuplements » Sommier de la forêt Préparation de l ’état d ’assiette Lotissement des coupes La programmation des travaux Autres remarques mieux préciser les besoins avant de définir les bases de données préciser le niveau de détail et la durée de validité des informations analyser les modalités de constitution et de mise à jour