Qui est qui sur le Gohonzon

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Qui est qui sur le Gohonzon
Transcription de la présentation:

Qui est qui sur le Gohonzon 1 - Namu Myoho Renge Kyo 2 - Les bouddhas 3 - Les bodhisattvas Surgis de Terre 4 - Les bodhisattvas provisoires 5 - Les Vidya-rajas 6 - Les Grands disciples shravakas 7 - Les devas – Divinités védiques Bonten Taishaku Dairokuten Ma-o Nittenno Gattenji Myojo Tenji 8 - Quatre rois célestes 9 - Sous les Ciels 10 - Kami - Les divinités shintoïstes 11 - La succession 12 - Nichiren

Disposition sur le Shutei Gohonzon (Nichiren Shu) Bonten Taishaku Nittenno Gattenji Myojo Tenji Dairokuten Ma-o

Disposition sur le Gohonzon de la Nichiren Shoshu (Nittatsu) et de la Soka Gakkaï (Nikan)

Sur le mandala inscrit par Nichiren se trouvent plusieurs devas, divinités de la cosmologie védique de l’Inde ancienne intégrés dans le bouddhisme en tant qu’habitants célestes, personnifications des forces de la nature et de phénomènes mentaux, êtres sensitifs bienveillants ayant besoin des enseignements du Bouddha, protecteurs de son Dharma, et jouant même le rôle de différents bodhisattvas.

La plupart du temps leur nature et leur fonction ont été tellement transformées qu’il est préférable de distinguer, dans les écrits de Nichiren, les agissements des devas et ceux des tenbu. Ces derniers apparaissent en tant que gardiens du Dharma, protecteurs de l’humanité et même en tant qu’incarnation de certains aspects de la bodhéité. Les tenbu

Bonten 梵天 ou Daibonten ou Baramon-ten (Grand Roi du Ciel) Bonten 梵天 ou Daibonten ou Baramon-ten (Grand Roi du Ciel). Divinité protectrice inspirée du Brahma indien dont il garde un certain nombre d'attributs. Brahma

Dans le bouddhisme, Brahma n'est pas considéré comme le créateur du monde mais comme le roi des dieux ; il est comme toute créature - en dehors des bouddhas et des arhats - soumis au cycle du samsara.

Sa vie dure 36 000 de ses jours, chacun d'eux valant environ 8,64 milliards d'années des mortels. Brahma est un agent du Brahman, le « Soi Suprême » de l'hindouisme.

Shakyamuni, après avoir atteint l‘Éveil, hésita à exposer au monde une doctrine si subtile. Brahma intervint alors pour le convaincre d'enseigner, puisque certains seront assez sages pour comprendre un tel enseignement.

Nichiren dit : « Je préférerais de beaucoup être persécuté par les gouvernants de ce pays en raison de ma foi dans le Sutra du Lotus et me libérer ainsi des souffrances de la naissance et de la mort. Alors, je pourrais vérifier si Tensho Daijin, le grand bodhisattva Hachiman, les divinités Nitten et Gatten, Taishaku et Bonten honorent leur serment, prononcé devant le Bouddha. Et en tout premier lieu, je leur demanderais de protéger chacun d'entre vous. (Réponse à un croyant Minobu, 1278 ; peut-être à Shijo Kingo)

Il invoque souvent Bonten en même temps que d’autres tenbu : « Le Bouddha lui-même ne pourrait pas désavouer les paroles qu'il a prononcées "parmi tous les sutras que j'ai enseignés, que j'enseigne et que j'enseignerai... le Sutra du Lotus est le plus élevé"  .Comment des maîtres bouddhistes, des moines ou des gouvernants pourraient-ils le faire ? Cette déclaration, Bonten, Taishaku, les divinités Nitten, Gatten et les quatre Rois du Ciel l'ont entendue et l'ont enregistrée dans leurs palais respectifs.

« Si le Bouddha Shakyamuni de la Terre pure du Pic du Vautour, le bouddha Taho du monde du Trésor de pureté, les bouddhas des dix directions, émanations du Bouddha Shakyamuni, les bodhisattvas Surgis-de-Terre, Bonten, Taishaku, les divinités Nitten, Gatten et les quatre Rois du Ciel ne m'accordent pas, de manière visible ou invisible, leur aide et leur protection, ils ne connaîtront plus un seul jour, plus une seule heure de paix ou de sécurité. (Le choix en fonction du temps, Minobu, 1275 à Yui)

« Soyez certains que rien, pas même une personne possédée par un puissant démon, ne peut vaincre Nichiren parce que Bonten, Taishaku, Nitten, Gatten et les Quatre Rois du Ciel, Tensho Daijin et Hachiman le protègent.» (Sur les persécutions subies par le Bouddha, Minobu,1279, à Shijo Kingo)

« Daibonten est le plus respecté des Rois-célestes du monde des trois plans. Il réside au sommet du monde de la forme. Le Démon du sixième Ciel et Taishaku sont à son service, et un système majeur de mondes tient dans la paume de sa main. Après avoir pratiqué des méditations encore entachées d'illusions, Daibonten a cultivé les quatre vertus infinies - l'amour-empathie [qui incite à faire du bien aux autres], la compassion [qui pousse à les soulager de leurs souffrances], la joie partagée [ressentie en les voyant devenir heureux] et l’équanimité [l'indifférence à l'amour ou à la haine, qui permet d'agir en toute impartialité]. (Lettre à Horen (Minobu, avril 1275 à Soya Kyoshin)

Chez Nichiren, Bonten est généralement associé à Taishaku Chez Nichiren, Bonten est généralement associé à Taishaku. Leur protection peut s’exprimer par le mécénat ou des appuis auprès du gouvernement. « Grâce à la protection de Bonten et de Taishaku, le temps viendra où la population du Japon tout entière se mettra à croire dans le Sutra du Lotus. A ce moment-là, beaucoup prétendront qu'ils ont cru, eux aussi, depuis le début. (La protection de Bonten et de Taishaku , Minobu, 1277 à Nanjo Tokimitsu)

Taishaku, 帝釈天 , Shakra Devanam Indra L’Indra de mythologie indienne est incorporé par le bouddhisme et devient une des divinité tutélaire du Japon. Sa demeure est le palais de la Vue Correcte au Mont Sumeru d'où il gouverne, assisté de quatre grands rois du ciel, sur les trente deux autres divinités de ce séjour. On l’appelle aussi « dieu aux mille regards »

Taishaku-Indra se manifesta sous différents aspects au cours de l’ascèse de Shakyamuni pour éprouver son esprit de recherche. Un jour, Taishaku décida de mettre à l'épreuve la résolution de Sessen Doji. Il apparut devant lui sous la forme d'un démon affamé et récita la moitié d'un verset d'un enseignement bouddhique : "Tout change, rien n'est constant / Telle est la loi de la naissance et de la mort" En entendant cela, Sessen Doji supplia le démon de lui dire la seconde partie. Le démon n'accepta qu'à condition qu'il lui donne sa chair et son sang en paiement. Sessen Doji y consentit avec joie et le démon lui enseigna la seconde partie du verset : "En mettant un terme au cycle de la naissance et de la mort / un être entre dans la joie du nirvana."

Taishaku est également le dieu de la santé et défend les dieux et les hommes contre le mal. Il est même capable de faire revivre les guerriers tombés dans une bataille.

Il est particulièrement sévère avec les traitres.

L'une des métaphores dont se sert la philosophie bouddhique est le Filet d'Indra. C'est un «filet» multidimensionnel. A chaque nœud formé par les fils il y a un joyau qui se reflète dans les autres. Chaque joyau contient la réflexion de tous les autres joyaux, sans fin. Les fils sont invisibles. Nous ne les voyons pas et nous ne comprenons donc pas que tout dans ce filet influe sur tout ce qui existe d'autre dans le cosmos.

Nichiren dit : « Le principe central de l'école Hokke est celui d'ichinen sanzen qui révèle que le bien et le mal restent inhérents à la vie de tous, y compris de ceux qui sont parvenus à l'étape la plus élevé, celui de l'Éveil parfait sans supérieur. La nature fondamentale de la bodhéité se manifeste sous la forme de divinités bouddhiques telles que Bonten et Taishaku, l'obscurité fondamentale se manifeste sous la forme du Démon du sixième Ciel. » (Traitement de la maladie, Minobu, 1278 à Toki Jonin)

« Comment devrions-nous interpréter les grandes épidémies qui ont sévi au Japon l'année dernière et cette année ? Dans certains cas, elle sont l'œuvre de bons démons qui dévorent les ennemis du Sutra du Lotus avec l'approbation de Bonten, de Taishaku, des divinités Nitten, Gatten et les quatre Rois du Ciel. Mais, dans d'autres cas, elles sont l'œuvre de démons maléfiques qui se nourrissent des pratiquants du Sutra du Lotus sur l'ordre du Démon du sixième Ciel ». (Grandes lignes du chapitre Zokurui et d'autres, Minobu, 1278, à Dame Nichinyo)

Dairokuten no Ma-o, 第六天魔王, Roi-démon du sixième ciel Dairokuten no Ma-o, 第六天魔王, Roi-démon du sixième ciel. Force démoniaque qui règne sur les 6 premiers mondes et tout spécialement sur le monde du désir. Ce "démon" empêche les êtres d'accéder aux mondes supérieurs en les aliénant à la jouissance des biens matériels ou à l'espoir de réaliser leurs espérances.

Dans le bouddhisme du Lotus, il diffère assez des démons Mara et Papyas connus principalement pour être des tentateur s

Nichiren distingue Dai Rokutenno Mao et Yama (Enma), le dieu de la mort : « Et ceux qui étaient dans les six ciels du monde du désir et dans les quatre ciels de la méditation, tous les êtres du monde de la forme comme ceux du monde du sans-forme, y compris Bonten, Taishaku, le Roi-Démon du sixième Ciel et le roi Yama, furent également témoins de leur destin ». (Le Daimoku du Sutra du Lotus, 1266 à une femme d'Amatsu).

« Vos paroles et votre cœur sont en discordance « Vos paroles et votre cœur sont en discordance. N’est-ce pas là le signe de votre appartenance au démon du Ciel ? » (Renjo sho - Dialogue avec les écoles du Zen 1255) Hokusai

« Le Roi-Démon du sixième Ciel, complotant pour empêcher les personnes de ce monde de se rendre dans les Terres pures qui se trouvent ailleurs, saisit chaque occasion de perpétrer de mauvaises actions. Il semblerait que ses intrigues aient pour but ultime d'empêcher le Bouddha d'enseigner le Sutra du Lotus. Il est en effet dans la nature de ce Roi-Démon du sixième Ciel de se réjouir du spectacle d'une personne prisonnière des trois mauvaises voies, et de se désoler d'en voir d'autres créer le karma qui conduit dans les trois bonnes voies. » (Les quatre sortes de reconnaissance -Izu, 1262 à Kudo Yoshitaka)

« Au sommet du monde du désir, réside le Roi-Démon du sixième Ciel qui gouverne le monde des trois plans. » (Lettre à Horen -Minobu, 1275 à Soya Kyoshin )

Dai Nittenno, ou Nitten no, 日天 ou Nikko Divinité japonaise de la Lumière du Soleil, inspirée du dieu solaire védique Suryaprabha (ou Aditya), l'une des 33 divinités des 33 ciels. Suryaprabha représente la bodhicitta, l’aspiration de tous les êtres à l’Éveil.

Gatten no 月天 (Lumière de la lune) ou Gakko Gatten no 月天 (Lumière de la lune) ou Gakko . Dans la mythologie indienne, Candraprabha était un deva lunaire mâle, frère de Suryaprabha Nitten no. Chandraprabha représente la pureté universelle de la nature, l’univers de pureté de la buddha-dhatu (nature de bouddha) qui apaise les trois poisons.

Dans le bouddhisme japonais, Nitten et Gatten sont considérés comme des bodhisattvas. Tous les deux assistent l’Ainsi-Venu Yakushi (Maître des Remèdes, Bhaishajya-guru) le bouddha de la médecine.

Le Hokke Mongu de Zhiyi identifie Nitten au bodhisattva Kannon. Yumedono Kannon par le Prince Shotoku

Myojo-tenno ou Dai Myojo tenno ou Myojo Tenji, Grand roi céleste des Étoiles, divinité des étoiles empruntée à la mythologie indienne où Aruna conduit le char du Soleil. Aruna (mâle et femelle) symbolise le passage de l’obscurité à l’Éveil.

Le Hokke Mongu identifie Myojo au bodhisattva Kokuzo (Akasagarbha). Lors du séjour de Nichiren au Seicho-ji, la divinité titulaire du temple était Akasagarbha, Kokuzo

« Moi, Nichiren, j'ai vécu au temple Seicho-ji sur le Mont Kiyosumi, dans le village Tojo de la province d'Awa. Dans mon enfance, j'ai adressé au bodhisattva Kokuzo la prière de devenir la personne la plus sage du Japon. Le bodhisattva Kokuzo s'est changé sous mes yeux en un vénérable moine qui m'a confié un joyau de sagesse aussi étincelant que l'étoile du matin. Sans doute est-ce pourquoi maintenant je comprends, pour l'essentiel, les enseignements des Huit Écoles ainsi que ceux du Zen et du Nembutsu. » (Le savant maître Chan-wou-wei, Kamakura, 1270 à Joken-bo et Gijo-bo)

« Je voulais exprimer ma reconnaissance envers le bodhisattva Kokuzo « Je voulais exprimer ma reconnaissance envers le bodhisattva Kokuzo. Aussi, le 28e jour du 4e mois de la 5e année de Kencho (1253), je l'ai publiquement déclaré pour la première fois devant une petite assemblée dont faisait partie Joen-bo, du côté sud de la salle de pratique de Dozen-bo, au temple Seicho-ji, dans le village de Tojo, de la province d'Awa. » (Lettre aux moines du Seicho-ji, Minobu, 1276) Seicho-ji

Nichiren voue une dévotion particulière aux Trois divinités luminaires (san kotenji). C’est bien un phénomène céleste qui le sauve à Tatsunokuchi.