des résidus domestiques La Gestion intégrée
Intégrer les préoccupations environnementales au quotidien Activités humaines industrielle, minière, artisanales, commerciale, domestique contamination des milieux de vie approvisionnement en ressources Choix des individus rétroaction Avantages production de richesse collective et individuelle Désavantages atteintes au patrimoine biophysique et socioculturel
1998
0 0,5 1 1,5 2 Canada Australie États-Unis Allemagne Suisse Pays-Bas Royaume-Uni Japon Suède La production de déchets domestiques Kg/hab/j
L’origine des matières résiduelles Industries, commerces et institutions Industrie de la construction, rénovation et démolition
Les rejets urbains rejets solides rejets liquides rejets dans l’air eaux grises et «usées» neiges «usées», terres contaminées carcasses d’auto, pneux domestiques, municipaux, commerciaux, institutionnels et industriels, incluant les résidus encombrants (électroménagers) et les matériaux de rénovation essences, huiles, peintures, etc.. bruit, ondes électromagnétiques, fréon des réfrigérateurs, gaz et poussières du traffic automobile et de la combustion, etc. boues d’épuration, calories (valorisables), etc. Le rejet devient un déchet (à éliminer) s’il est impossible de le valoriser (techniquement ou financièrement)
Réduire RéparerRéemployer Récupérer RecyclerValoriser Techniques (Innovation): efficacité, adaptabilité, valorisation de particularités locales Sciences études des processus, interrelations impacts Sociétés changements de comportements d’attitudes de valeurs Éduquer Éliminer les risques La démarche des (5)R V.(2)E
La mise en œuvre du concept des RVE réduction réutilisation récupération réparation recyclage valorisation éducation récupération recyclage valorisation élimination éducation À la source Au collectif Actions Sensibilisation pour des changements de comportements Lois et réglements Incitation financières Partenariats Moyens Consigne Associations locales, friperies et ressourceries Compostage domestique Collecte sélective Centre de tri Éco-centre Centre de compostage Bourse des rejets dangereux Centre de traitement des DDD Site d’enfouissement Incinération
Québec: Le « sac vert » plastiques: 6,51% autres matières: 14,93% bois: 2,33% résidus dangereux: 0,7% papiers et cartons: 31,2% verres: 6,15% métaux ferreux: 3,72% résidus de jardin: 9,32% matières putresibles: 24,47% métaux non ferreux: 0,7% 458 kg/hab/an
Communauté périurbaine d’environ hab. tonnage Enfouissement 494,6 kg/hab /an
Communauté périurbaine d’environ hab. Collecte sélective 36 kg/an/hab Garage municipale Gros rebuts tonnage
Le « sac vert »: des alternatives à l’enfouissement recyclable: 33% papiers et cartons (24%) verre (5,5%) plastiques (1,5%) métaux ferreux (2,15%) métaux non ferreux (0,1%) compostable: 67% papiers et cartons (31,2%) mati;eres putrescibles (24,5%) résidus de jardin (9,5%) bois (2,5%) résiduel: 18,5% combustion: 40% dangereux: 0,7% un potentiel de réduction de 70%
Des cycles à imaginer ! Ressources naturelles: énergies eau matières premières production de biens et services consommation rejets Responsabilisation des individus et des collectivités afin de limiter les quantités et la toxicité des rejets: changement de comportement innovation technologique Impacts nocifs des rejets: `court terme: air, eaux, sols, écosystèmes moyen terme: atteintes aux (4) biodiversités long terme: changements climatiques, etc..
Quoi faire avec les résidus solides ? domestiques et municipaux industriels, commerciaux et agricoles consigne collectes adaptées, récupération & recyclage bourse des résidus chimiques ressourcerie économie sociale (communauté) centre de tri compostage enfouissement sanitaire incinération
Les alternatives à l’enfouissement 1. La cueillette des résidus domestiques dangereux 2. Le compostage des résidus domestiques putrescibles 3. La collecte des résidus domestiques récupérables et recyclables Actions intégrées dans le cadre d’une stratégie de gestion environnementale du milieu urbain (démarche des 5RV2E) des collectes sélectives appropriées 4. La consigne des contenants à remplissage unique
avantages: petites quantités, environ 4kg/hab/an désavantages: coûts élevés en comparaison avec l’enfouissement 1: La collecte des résidus dangereux ils ont un fort potentiel de pollutin des eaux souteraines de la région des sites d’enfouissement: métaux lourds, huiles, médicaments, pesticides, etc.. divers: acides, aérosols, piles, bases, médicaments, oxydants, réactifs, etc..
2. Le compostage des matières organiques putrescibles Avantages: forte réduction de la collecte des résidus à l’enfouissement minimise la formation de lixiviat dans les sites d’enfouissement: évite la pollution des eaux souterraines de la région du site évite la production de GES (gaz à effet de serre, méthane) est de coût comparable à l’enfouissement production de compost, amendement des sols (support à la serriculture) atténue l’attraction de rats et goélands sur le site
2. Le compostage des matières organiques putrescibles matièrefréquece et durée des collectes contenant brins de gazon rejets de table feuilles branches arbre de noël semaine (4 mois/ans) semaone (année) 3 /ans (automne) 2/ans (printemps et automne) 1 /an compostainer sacs biodégradable ou en vrac Déchiqueteuse (copeaux pour paillis)
3. Les collectes sélectives des matières sèches Avantages: base à des activités d’économie sociale réduction de la collecte des résidus à l’enfouissement économies d’énergie et de matières premières vierges Désavantages: coûts plus élevés que l’enfouissement matièresfréquence textiles, jouets, gros objets (électroménagers, mobilier, matériaux de rénovation) matières sèches: papier et cartons, plastiques, métaux, verres, etc.. occasionnelle régulière
Québec: les engagements Plan d’action québécois sur la gestion des matières résiduelles Objectifs de réduction des municipalités: réduction de 80% des contenants à remplissage unique réduction de 75% des résidus dangereux réduction de 60% pour les fibres, contenants et matières organiques putrescibles réduction de 50% des textiles consigne collecte régulière collectes occasionnelles
moyenne 14,5% La Presse, 29/01/2003 objectif 60%
Le recyclage au Québec? La Presse, janvier 2003 entre 1998 et 2000, les résidus éliminés au dépotoir et à l’incinération ont augmenté de 23% pour la même période le recyclage a progressé de 14% la conséquence est que le pourcentage de matières recyclées a globalement reculé de 2%
Journal de Montréal, 25/05/ 1999 Le Devoir,23/12/99 La malbouffe! Le Devoir, 02/2000
millions d’hectares OGM la croissance des surfaces plantées
Le symbole international «radura» doit être sur l’étiquette Blé, farine, pomme de terre, oignons, épices, assaisonnements déshydratés sont des aliments qu’on peut irradier et vendre au Canada les ajouts demandés: boeuf, volaille, crevettes, mangues Métro, 26/11/2002 La malbouffe!
Les POP et la féminisation des mâles?
Les pesticides la tendance
Les pesticides
Les risques associés aux pesticides industriels sont mal connus Le prix à payer pour des légumes et des fruits de belle apparence, la présence possible et fréquente de pesticides
La Presse,