La population du Cambodge atteint un peu plus de 12,5 millions d’habitants. 80% vit pauvrement en secteur agricole, de la culture du riz.

A la campagne, les maisons sont le plus souvent sur pilotis, pour les protéger des inondations durant la période de mousson.

Les enfants sont très jeunes au travail. Ici, ils mènent les animaux à la corde.

Cette photo est prise en pleine ville, dans un quartier résidentiel….

Maisons dans les rizières.

Orchestre d’handicapés en bord de chemin. Ces handicapés, amputés ou aveugles, sont omniprésents au Cambodge, à cause des nombreuses mines.

Seuls sur le Mékong.

Danse traditionnelle khmère rappelant les Asparas de la période cambodgienne. Ces danses sont considérées comme un rite sacré. Les mouvements des danseuses reproduisent ceux du Grand Nâga, serpent créateur du Cambodge.

90% des danseuses ont disparu pendant le génocide; Actuellement, les danseuses sont formées à leur art, majoritairement dans les orphelinats.

Maison des Esprits. On les observe à l’extérieur des habitations. Les Esprits y trouvent nourriture, encens et fleurs pour que, s ’y trouvant bien, ils ne pénètrent pas à l’intérieur.

Jarres servant à conserver l’eau, notamment celle provenant de la pluie.

Sous la maison de droite, le bétail, sous celle de gauche, un atelier de tissage est installé sauf en période d’inondation.

Les charrues sont traînées par des bœufs ou des buffles. Au premier plan, le riz fraîchement repiqué.

Une étable peu conventionnelle...

L’Inde, surtout du sud,a eu une grosse influence sur la population. C’est ainsi que les temples angkoriens furent d ’abord dédiés au culte hindouiste. Ce n ’est que vers la fin du XII° siècle que le brahmanisme puis le bouddhisme s’imposèrent. Ce dernier est, maintenant, religion d’Etat. La population est très attachée à ses pagodes et aux bonzes qui les animent. C ’est elle qui les nourrit, car tout travail rémunéré leur est interdit. Tôt le matin, on peut souvent voir des bonzes se promener avec une sorte de grande marmite pour recueillir de la nourriture.

A l’heure de la prière, dans les monastères, un bonze appelle ses confrères à l’aide d’un énorme gong.

Le Wat Phnom a été construit par une riche veuve qui avait trouvé 4 statues de bronze dans un tronc d ’arbre. Il est situé sur une colline de 30 mètres au centre de Phnom Penh.

On ne se contente jamais d’un seul bouddha !

Le grand escalier d’accès au temple est bordé de nagas, serpents mythiques à 7 têtes.

Les stupas constituent les monuments funéraires de défunts dont ils contiennent les cendres.

Jeunes bonzes attendant l’heure de la prière.

Durant la prière.

Le naga à sept têtes à l’entrée d’une riche pagode.

Toutes ces pagodes ont été fortement détériorées durant la période des Kmers Rouges. La plupart sont maintenant restaurées.

Photos et texte : Marie-Jo Farizy-Chaussé Musique : flûte indienne Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Site :