Alteration de l'état général et dyspnée CH Blois ARCO juin 2007
Scan lettre med traitant
Monsieur D. Jean date de naissance:13/04/1950 antecedants: artérite des membres inférieurs extrasystolie antécédants chirurgicaux: stents menbres inférieurs traitement à domicile: aas beta bloquant statines fonsilane
Monsieur D. Jean date de naissance:13/04/1950 anamnèse: difficile Dysphagie anorexie malnutrition contexte alcoolotabagisme (très) actif dyspnée progressive s'aggravant depuis le matin
Monsieur D. Jean date de naissance:13/04/1950 altération état général insuffisance respiratoire aigue dyspnée grade 3-4 pas expectorations pas de température marbrures menbres inférieurs syndrome septique grave
Monsieur D. Jean date de naissance:13/04/1950 examen clinique: moins de 50 kg pour 1m75 t.a.=140/120 mmhg Température tympanique:37° marbrures membres inférieurs deshydratation sévère jugulaires plates dyspnée majeure sans foyer auscultatoire
Monsieur D. Jean date de naissance:13/04/1950 biologie:ph 7.25 paO2 55 mmhg O2 9 l paCO2 25 mmhg B.E. -5 G.B (85%) G.R Hb 17.4 Hc Plaq 396 Prot 86 CRP: 416 BNP:229 PCT: 2.73 (.50) lactates:4.20 urée 7.20 mmol/l créat 84
Monsieur D. Jean date de naissance:13/04/1950 scan rp
Imagerie scan
Monsieur D. Jean date de naissance:13/04/1950 intervention le jour de l'admission: laparotomie drainage collection accès: piliers diaphragmatiques drain +pleurevac ss vide geste endoscopique: mise en place endoprothèse non couverte à 33 cm de l'arcade dentaire
LOUVAIN MED. 117: , LE DIVERTICULE ÉPIPHRÉNIQUE DE L’OESOPHAGE REVUE DE LA LITTÉRATURE À PROPOS DE DEUX CAS E. KETELSLEGERS, M. REZAI MONFARED et L. GONCETTE1 Mots clefs: diverticule épiphrénique, oesophage, symptômes, complications, traitement, physiopathologie 1 Département de Radiologie et d’Imagerie Médicale (Pr B. Maldague), Cliniques Universitaires St-Luc (UCL), 10, avenue Hippocrate, 1200 Bruxelles. RÉSUMÉ Le diverticule oesophagien épiphrénique est une entité rare.. Une investigation plus systématique des diverticules épiphréniques par l’examen radiologique, l’endoscopie et la manométrie devrait préciser la place respective des différents éléments pathogéniques, et dès lors définir une stratégie thérapeutique appropriée.
B. SYMPTÔMES Les symptômes associés au diverticule épiphrénique sont multiples, d’intensité variable et difficilement prédictibles. Il ne semble pas y avoir de corrélation entre la taille du diverticule et la sévérité des symptômes (1, 2, 10-12). La majorité des patients sont asymptomatiques. D’autres patients ne se plaignent que de symptômes mineurs, le plus souvent une dysphagie modérée.
ENDOSCOPIE La sensibilité de l’endoscopie quant à la détection des diverticules épiphréniques n’est pas absolue; elle se situe entre 72.7 % et 90.9% dans les deux études mentionnées au tableau III. La raison principalement évoquée est un spasme du collet diverticulaire non identifié parmi les plis muqueux de l’oesophage.