Architecture d’application CNAM
Le mode Client/Serveur Le programme n’a besoin d’être compatible qu’avec l’ordinateur sur lequel il est installé. Le terminal (T) est géré par l’ordinateur central (OC). Il s’agit de terminaux passifs. L’OC sait à quelle partition mémoire est affecté le T, afin de savoir l’évolution du programme en cours. Les accès à la base de données (BDD) se font selon le processus propre à la BDD et que le programme connaît.
Application traditionnelle
Exemple d’Internet (1/2) Le T peut être de nature quelconque pourvu qu’il soit compatible avec les protocoles d’Internet. Le T pilote entièrement le serveur en terme d’application. Les programmes de l’application sont exécutés sur le T (même s’ils sont téléchargés depuis le serveur).l’application Les données sont situés sur le serveur. Le serveur dispose de routines standard ou spécifiques à un service, mais celles-ci sont « télécommandées » par le T.
Exemple d’Internet (2/2) Le serveur répond aux requêtes qui lui sont adressées sous un format compatible avec le standard Internet. Les utilisateurs sont identifiés en terme de profils (pour leur attribuer des droits habilitations) et non en terme de « users » personnels (sur le plan strictement application). PS : Une application Intranet ou Extranet, même si elle est basée sur les mêmes principes de programmation identifie chaque « user » à chaque transactions.
Les types de transaction (1/4) La transaction de consultation simple : Le T fait une interrogation de données préparées dans le serveur. Il n’y a d’autre traitement que l’envoi au terminal du fichier tout prêt. Il s’agit d’une consultation statique des pages HTML. La transaction de consultation élaborée : Le T fait une requête, mais le serveur, pour le satisfaire doit modifier légèrement les documents préparés à l’avance. Il s’agit de la combinaison HTML composé de CSS et Javascript ou de HTML dynamique (DHTML).
Les types de transaction (2/4) La transaction avec échange de données : Le T présente au serveur une requête contenant des données d’applications qui devront être traitées par le serveur. Le traitement sera exécuté par le serveur au moyen de programmes : –CGI (Common Gateway Interface)CGI –API (Application Programming Interface). Ces mêmes programmes construiront pour la réponse, dynamiquement, une page HTML qui sera ensuite détruite (<>DHTML). Ces données seront transmises au serveur grâce aux formulaires HTML.
Les types de transaction (3/4) Les contrôles Active X (Microsoft) et JAVA permettent d’éviter toute formulation de saisie afin de trouver automatiquement les données.JAVA Les données transmises au serveur peuvent être de toute nature (multimédia), leur interprétation est le rôle du navigateur, qui lorsqu’il ne sait pas les lire pour les exploiter, fait appel à des programmes externes que l’on appelle des Plug-in (« Real Player » pour la musique).
Les types de transaction (4/4)
Les types MIME Multipurpose Internet Mail Extensions (MIME) est un standard internet qui étend le format de données des courriels pour supporter des textes en différents codage de caractères autres que l'ASCII, des contenus non textuels, des contenus multiples, et des informations d'en-tête en d'autres codages que l'ASCII. Les courriels étant généralement envoyé via le protocole SMTP au format MIME, ces courriels sont souvent appelés courriels SMTP/MIME.format MIME
Les organismes de Normalisation (1/5) Internet Society (ISOC) constitue un organisme de coordination, sous forme d’un groupement de professionnels et d’experts qui supervise et garantit la viabilité et le dimensionnement de l’Internet. L’ISOC développe principalement des normes et protocoles Internet en collaboration avec d’autres organisations. Internet Architecture Board (IAB) représente le groupe de conseiller techniques de l’ISOC. Il se compose de deux groupe de travail principaux : l’IETF et l’IRTF.
Les organismes de Normalisation (2/5) L’Internet Engineering Task Force et Internet Engineering Steering Group (IETF et IESG). L’IETF est un groupe d’étude et de développement des protocoles Internet contribuant à l ’évolution technique de l’Internet. Ils affinent les normes existantes et en développent de nouvelles, puis font des recommandations à l’IESG qui travaille avec l’IAB. L’IETF est structuré en 9 domaines de compétences : applications, services Internet, gestion des réseaux, spécifications opérationnelles, routage, sécurité, applications de services, transport et services utilisateur.
Les organismes de Normalisation (3/5) L’IRTF est un groupe d’intervention de l’IAB. Il se divise en divers groupe de recherche qui travaillent dans le domaine des protocoles Internet, des applications, de l’architecture et de la technologie. Même si les tâches de l’IETF et de l’IRTF semblent similaires, l’IRTF tend à se concentrer sur les thèmes de recherche à long terme.
Les organismes de Normalisation (4/5) L’Internet Network Information Center (InterNIC) tient les registres des noms de domaines Internet et gère la base de données de ces noms. L’Internet Assigned Numbers Authority (IANA) tient à jour les adresses IP (Internet Protocol) l’Internet, vérifiant que chaque domaine est unique. Le World Wide Web Consortium (W3C) a été fondé au départ par des sociétés commerciales, qui travaille avec des fabricants et éditeurs, et d’autres organisations de normalisation, pour développer les protocoles relatifs au web, tels que HTTP, HTML et URL. Tim Berners-Lee a inventé le WWW et est directeur du W3C.
Les organismes de Normalisation (5/5) En dehors de l’ISOC et de ses organismes apparentés, d’autres organisations de normalisation exercent une influence sur Internet, comme : –L’ISO (International Organization for Standardization) –L’ANSI (American National Standards Institute) –L’ECMA (European Computer Manufacturers Association) –L’IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) –L’Open Group –L’OSF(Open Software Foundation)