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Sortie : 22 octobre 2008
Rabah Ameur-Zaimeche
Au fond d'une zone industrielle à l'agonie, Mao, un patron musulman, possède une entreprise de réparation de palettes et un garage de poids- lourds. Il décide d'ouvrir une mosquée et désigne sans aucune concertation l'imam... Mao le patron Rabah Ameur-Zaimeche
Abel Jafri Christian Milia-Darmezin Salim Ameur-Zaïmeche (pas de photo) Mamadou Kebe Mamadou Koita (pas de photo) Larbi Zekkour (pas de photo) Sylvain Roume (pas de photo) Sotigui Kouyate
Critique de la presse TéléCinéObs XXXX L'Humanité XXXX Les Inrockuptibles XXXX Studio Magazine XXXX Cahiers du Cinéma XXXX La Croix XXX Télérama XXX Metro XXX Libération XXX 20 Minutes XXX Le Monde XXX Ouest France XX MCinéma.com XX Elle XX Ciné Live X Paris Match X Le Figaroscope X Le Parisien X L'Express
Télé Ciné Obs La force de «Dernier Maquis» réside dans sa manière de circonscrire toute la violence du rapport de forces social à travers, entre autres, le prisme de la religion. Une réflexion incarnée par des personnages crédibles dont la complexité déjoue sans cesse le piège de la simpliste dichotomie salaud/victime. Et servie par une mise en scène dont la puissance tient à la fois du réalisme documentaire et de la force symbolique Libération Le Dernier Maquis est le plus beau gouffre dernièrement cartographié par le cinéma. Ca fout un peu la trouille, mais ça nous va très bien comme ça. 20 Minutes Une réflexion passionnante sur les rapports entre politique, travail et religion. Ouest France Une réflexion inquiète sur les manipulations de l'innocence et de la foi, par le biais de l'Islam. PRESSE
« Bravo, enfin un film qui ne nous prend pas pour des idiots finis... Juste, sensible, intelligent... du bon quoi. On nous montre la véritable classe ouvrière de la France d'aujourd'hui et c'est un peu la lutte des classe à l'épreuve de l'islam... Ce film nous pose de vraies questions et n'a jamais la prétention de venir nous donner des leçons. Une démarche, un point de vue, une mise en scène qui existe... tout ça n'est pas si courant dans le cinéma français d'aujourd'hui. Merci Rabah ! » « Au sein d’une entreprise, la lutte des classes se matérialise. Au sein d’une entreprise, la religion peut être matérialisée. C’est que qu’a voulu démontrer le réalisateur avec son Dernier Maquis. J’ai beaucoup aimé l’aspect « révolution » du film dans lequel les inégalités sociales se ressentent. Le patron exploite ses salariés. Le film est plutôt beau visuellement, ses empilements de palettes rouge en mettent plein la vue ». avis de spectateur
Photos du net Textes de allociné Musique : Erik Satie « Le cinéma, c'est l’écriture moderne dont l‘encre est la lumière » Jean Cocteau DIRE-Bloc-Note de FRANCE JEAN -