Espace: sueurs froides dans l'ISS après une panne de l'ordinateur russe
Etat d'avancement de l'ISS avant la mission STS-117
Une panne sans précédent a interrompu plusieurs heures dans la nuit de mercredi à jeudi les communications entre le centre de contrôle spatial de Moscou et l'ordinateur central russe de la Station spatiale internationale (ISS), vital pour l'oxygène, l'eau et la stabilité du vaisseau. Une panne sans précédent a interrompu plusieurs heures dans la nuit de mercredi à jeudi les communications entre le centre de contrôle spatial de Moscou et l'ordinateur central russe de la Station spatiale internationale (ISS), vital pour l'oxygène, l'eau et la stabilité du vaisseau. un deuxième jeu de panneaux solaires
L'oxygène dans la Station est produite par une machine russe dont le fonctionnement dépend des ordinateurs défaillants. Lorsque celle-ci s'arrête, il reste une réserve de 56 jours dans l'ISS. L'oxygène dans la Station est produite par une machine russe dont le fonctionnement dépend des ordinateurs défaillants. Lorsque celle-ci s'arrête, il reste une réserve de 56 jours dans l'ISS. La Nasa va procéder vendredi à la réparation d'une couverture thermique de la navette, lors d'une troisième sortie orbitale de la mission d'Atlantis, prolongée de deux jours, jusqu'au 21 juin, en raison de ce problème. La Nasa va procéder vendredi à la réparation d'une couverture thermique de la navette, lors d'une troisième sortie orbitale de la mission d'Atlantis, prolongée de deux jours, jusqu'au 21 juin, en raison de ce problème.
Côte à côte Les astronautes Patrick Forrester (laissé) et Steven Swanson participent spacewalk de STS-117 à la mission quatrième et final. Parmi autre charge, Forrester et Swanson activation continue des nouveaux segments de la botte (S3/S4) du tribord 3 et 4 de la station ; vérifié le bloc de verrou d'entraînement 2, un de deux mécanismes qui conduiront la rotation du joint rotatoire d'alpha solaire de la botte S3/S4 (SARJ) ; et, enlevé les contraintes finales de lancement sur le SARJ. Côte à côte Les astronautes Patrick Forrester (laissé) et Steven Swanson participent spacewalk de STS-117 à la mission quatrième et final. Parmi autre charge, Forrester et Swanson activation continue des nouveaux segments de la botte (S3/S4) du tribord 3 et 4 de la station ; vérifié le bloc de verrou d'entraînement 2, un de deux mécanismes qui conduiront la rotation du joint rotatoire d'alpha solaire de la botte S3/S4 (SARJ) ; et, enlevé les contraintes finales de lancement sur le SARJ.
Backdropped par une partie nuage-couverte de la terre, navette spatiale l'Atlantide a été photographié par l'expédition 15 servent d'équipier après lui a fait sortir de la station spatiale internationale le 19 juin 2007, en vue de la maison de voyage. Les astronautes STS-117 ont accompli environ huit jours d'opérations communes avec la station servent d'équipier. Le vaisseau spatial accouplé de Soyuz est évident à la gauche Backdropped par une partie nuage-couverte de la terre, navette spatiale l'Atlantide a été photographié par l'expédition 15 servent d'équipier après lui a fait sortir de la station spatiale internationale le 19 juin 2007, en vue de la maison de voyage. Les astronautes STS-117 ont accompli environ huit jours d'opérations communes avec la station servent d'équipier. Le vaisseau spatial accouplé de Soyuz est évident à la gauche
Hôtel spatial
Lancement d'un satellite pour un futur hôtel gonflable dans l'espace | 12:13 La Russie a lancé un satellite américain qui devrait servir de prototype à un possible hôtel de l'espace gonflable, ont annoncé des responsables russes de l'espace, cités par l'agence Interfax. La Russie a lancé un satellite américain qui devrait servir de prototype à un possible hôtel de l'espace gonflable, ont annoncé des responsables russes de l'espace, cités par l'agence Interfax. Le satellite Genesis-2, qui a été mis sur orbite jeudi par une fusée Dniepr conçue sur la base d'un missile balistique intercontinental, est une version plus petite de la station orbitale Nautilus, imaginée par le magnat de l'hôtellerie de Las Vegas Robert Bigelow pour des touristes désirant passer un moment dans l'espace, a indiqué Interfax. Le satellite Genesis-2, qui a été mis sur orbite jeudi par une fusée Dniepr conçue sur la base d'un missile balistique intercontinental, est une version plus petite de la station orbitale Nautilus, imaginée par le magnat de l'hôtellerie de Las Vegas Robert Bigelow pour des touristes désirant passer un moment dans l'espace, a indiqué Interfax. Le projet d'hôtel, qui serait composé de plusieurs modules gonflables, pourrait être monté en 2015, pour un coût estimé à 500 millions de dollars. Le projet d'hôtel, qui serait composé de plusieurs modules gonflables, pourrait être monté en 2015, pour un coût estimé à 500 millions de dollars. Les satellites de type Genesis, dont le premier a été lancé l'an dernier, ainsi que des satellites Guardian, devraient tester la résistance des structures gonflables, ainsi que le mode de construction, avant qu'un prototype grandeur nature, dénommé BA330, soit mis sur orbite. Les satellites de type Genesis, dont le premier a été lancé l'an dernier, ainsi que des satellites Guardian, devraient tester la résistance des structures gonflables, ainsi que le mode de construction, avant qu'un prototype grandeur nature, dénommé BA330, soit mis sur orbite. Si tous ces essais sont concluants, la compagnie Bigelow Aerospace pourrait commencer la construction de l'hôtel en 2011, a-t-on indiqué de même source. Si tous ces essais sont concluants, la compagnie Bigelow Aerospace pourrait commencer la construction de l'hôtel en 2011, a-t-on indiqué de même source. La Russie a lancé un satellite américain
Deux semaines après son Lancement, le Genesis I de Bigelow Aerospace continue de tourner autour de la Terre en toute quiétude. Les principaux objectifs de la mission de prototype à échelle réduite d'un module habitable gonflable, à savoir le déploiement en orbite de la structure et la démonstration de son étanchéité sont remplis. Celle-ci a en effet bien résisté à l'environnement spatial, et c'est après plusieurs mois passés en orbite qu'on saura si le concept retenu par Bigelow Aerospace est viable. Deux semaines après son Lancement, le Genesis I de Bigelow Aerospace continue de tourner autour de la Terre en toute quiétude. Les principaux objectifs de la mission de prototype à échelle réduite d'un module habitable gonflable, à savoir le déploiement en orbite de la structure et la démonstration de son étanchéité sont remplis. Celle-ci a en effet bien résisté à l'environnement spatial, et c'est après plusieurs mois passés en orbite qu'on saura si le concept retenu par Bigelow Aerospace est viable.
DIAGRAMME DE CROISSANCE DE BA : MODULES CLASSANT VERS LE HAUT
A quand un tourisme de masse dans l'espace ? Actuellement, 60 Américains parmi les plus riches à se déclarer prêts à débourser plus de 25 millions de dollars pour tenter l'aventure spatiale. Mais à ce jour, la Russie reste la seule nation à offrir des vols touristiques vers la Station Spatiale Internationale. Actuellement, 60 Américains parmi les plus riches à se déclarer prêts à débourser plus de 25 millions de dollars pour tenter l'aventure spatiale. Mais à ce jour, la Russie reste la seule nation à offrir des vols touristiques vers la Station Spatiale Internationale.
À l'horizon 2010, la FAA serait totalement libre de réglementer les vols habités commerciaux. Ce projet de loi a fait dans un premier temps l'objet d'une opposition de la part du Comité des Transports et de l'Infrastructure qui jugeait que la question de la responsabilité en cas d'accident devait être approfondie. Le Comité a finalement revu sa position, mais le projet de loi doit encore être approuvé par le Sénat. Plusieurs sociétés, qui ont d'ores et déjà prévu de proposer des vols suborbitaux sur le marché commercial, comme Virgin Galactic sont directement concernées par ce projet de loi. À l'horizon 2010, la FAA serait totalement libre de réglementer les vols habités commerciaux. Ce projet de loi a fait dans un premier temps l'objet d'une opposition de la part du Comité des Transports et de l'Infrastructure qui jugeait que la question de la responsabilité en cas d'accident devait être approfondie. Le Comité a finalement revu sa position, mais le projet de loi doit encore être approuvé par le Sénat. Plusieurs sociétés, qui ont d'ores et déjà prévu de proposer des vols suborbitaux sur le marché commercial, comme Virgin Galactic sont directement concernées par ce projet de loi. Le Xerus
Astrium dévoile un avion-fusée dédié au vol sub-orbital En concurrence directe avec l'entreprise Virgin Galactic qui exploitera pour le tourisme spatial un engin dérivé du Scaled de Composites, Astrium a dévoilé un nouvel engin destiné au tourisme spatial en prélude du salon du Bourget. Cet appareil, de la taille d'un jet d'affaires, a été conçu pour les vols atteignant une altitude de plus de 100 km marquant la frontière entre la Terre et l'Espace. En concurrence directe avec l'entreprise Virgin Galactic qui exploitera pour le tourisme spatial un engin dérivé du Scaled de Composites, Astrium a dévoilé un nouvel engin destiné au tourisme spatial en prélude du salon du Bourget. Cet appareil, de la taille d'un jet d'affaires, a été conçu pour les vols atteignant une altitude de plus de 100 km marquant la frontière entre la Terre et l'Espace.
Les passagers pourront profiter de la vue sur l'espace et la Terre en apesanteur.
Ansari X-Prize: les nouveaux aventuriers de l'espace Ce qui se cache derrière le concours Ansari X-Prize est bien entendu l'exploitation commerciale de vols habités avec notamment le tourisme spatial. Les constructeurs les plus avancés dans la compétition promettent des tarifs d'environ $ par vol, prix qui seraient baissés à $ après l'amortissement des coûts fixes (conception, fabrication et tests de l'engin). Ce qui se cache derrière le concours Ansari X-Prize est bien entendu l'exploitation commerciale de vols habités avec notamment le tourisme spatial. Les constructeurs les plus avancés dans la compétition promettent des tarifs d'environ $ par vol, prix qui seraient baissés à $ après l'amortissement des coûts fixes (conception, fabrication et tests de l'engin).
Premier transfert autonome de matériel entre deux satellites Les deux satellites de la mission Orbital Express de la DARPA (Defense Advanced Research Project Agency), lancés le 8 mars dernier, ont réalisé pour la première fois des opérations de transfert de matériel en orbite. ASTRO (Autonomous Space Transport Robotic Operations) développé par Boeing, et NextSat de Ball Aerospace se sont en effet arrimés afin d'effectuer pour la première fois un échange automatique d'ergols et de matériel. Les satellites ASTRO et NextSat Les deux satellites de la mission Orbital Express de la DARPA (Defense Advanced Research Project Agency), lancés le 8 mars dernier, ont réalisé pour la première fois des opérations de transfert de matériel en orbite. ASTRO (Autonomous Space Transport Robotic Operations) développé par Boeing, et NextSat de Ball Aerospace se sont en effet arrimés afin d'effectuer pour la première fois un échange automatique d'ergols et de matériel. Les satellites ASTRO et NextSat Deux systèmes de transfert d'hydrazine utilisant une pompe puis un système pressurisé ont ainsi été testés avec succès, ASTRO livrant près de 16 kilogrammes à NextSat. ASTRO a ensuite utilisé un bras robotique pour installer une batterie sur NextSat, celle-ci ayant fonctionné correctement depuis lors. Ces opérations étaient les premières d'une série qui va durer trois mois et destinée à valider la fonctionnalité du système. La première phase a été menée avec l'appui du sol, envoyant des confirmations lors de chaque instruction, cet appui étant néanmoins appelé à disparaître afin de tester l'autonomie complète des deux satellites. Deux systèmes de transfert d'hydrazine utilisant une pompe puis un système pressurisé ont ainsi été testés avec succès, ASTRO livrant près de 16 kilogrammes à NextSat. ASTRO a ensuite utilisé un bras robotique pour installer une batterie sur NextSat, celle-ci ayant fonctionné correctement depuis lors. Ces opérations étaient les premières d'une série qui va durer trois mois et destinée à valider la fonctionnalité du système. La première phase a été menée avec l'appui du sol, envoyant des confirmations lors de chaque instruction, cet appui étant néanmoins appelé à disparaître afin de tester l'autonomie complète des deux satellites.
Durant ce test, le satellite ASTRO a suivi un protocole totalement automatisé de trois phases distinctes: la première a été un éloignement de NexSat à une distance de 120 mètres ; la seconde a vu ASTRO tourner autour de NexSat en utilisant ses capteurs de navigation basés sur l'utilisation des caméras embarquées ; enfin la troisième phase consistait en une approche de NexSat qui s'est achevée par une capture, le tout sans interférer avec les antennes et les capteurs de ce dernier. La prochaine phase de tests prévoit un éloignement des deux satellites d'une distance de quatre kilomètres avant une nouvelle approche automatisée et une capture avec l'aide du bras robotique d'ASTRO. Durant ce test, le satellite ASTRO a suivi un protocole totalement automatisé de trois phases distinctes: la première a été un éloignement de NexSat à une distance de 120 mètres ; la seconde a vu ASTRO tourner autour de NexSat en utilisant ses capteurs de navigation basés sur l'utilisation des caméras embarquées ; enfin la troisième phase consistait en une approche de NexSat qui s'est achevée par une capture, le tout sans interférer avec les antennes et les capteurs de ce dernier. La prochaine phase de tests prévoit un éloignement des deux satellites d'une distance de quatre kilomètres avant une nouvelle approche automatisée et une capture avec l'aide du bras robotique d'ASTRO.
Le succès européen de Hubble Le succès européen de Hubble En mai 2007, plus de 17 ans après que le lancement de Hubble, de scientifiques européens de Hubble rencontrés dans les Pays Bas pour discuter et partager leurs accomplissements. Ce rassemblement a eu lieu juste quelques semaines avant la signature de l'accord officiel entre l'ESA et la NASA sur le télescope de l'espace de James Webb, considérés par beaucoup comme successeur de Hubble. En mai 2007, plus de 17 ans après que le lancement de Hubble, de scientifiques européens de Hubble rencontrés dans les Pays Bas pour discuter et partager leurs accomplissements. Ce rassemblement a eu lieu juste quelques semaines avant la signature de l'accord officiel entre l'ESA et la NASA sur le télescope de l'espace de James Webb, considérés par beaucoup comme successeur de Hubble. Hubble
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