Linéaire B (1) 59 signes: 5 voyelles (a, e, i, o, u) 12 consonnes suivies de ces 5 voyelles: ▪ 8 consonnes suivies des 5 voyelles (d, k, m, n, p, r, s, t); ▪ j, q et w suivis de 4 voyelles (ja, je, jo, ju; qa, qe, qi, qo; wa, we, wi, wo), ▪ z de trois voyelles (za, ze, zo).
Linéaire B (2) Syllabaire
Linéaire B (3) Tablette d’argile de Pylos
Linéaire B Problèmes: consonnes finales de mot supprimées: pat»r «père» noté pa-te groupes de consonnes avec voyelle non prononcée: patroj noté normalement pa-to-ro, (mais aussi pa-ta-ro)
Amharique (1) présente 7 colonnes de 26 signes, qui étaient nécessaires pour écrire le guèze. "les grammaires européennes, et certains syllabaires récents en Abyssinie même, ajoutent <7 signes graphiques> pour noter les 7 consonnes que possède l'amharique et que ne possède pas le guèze classique" (Cohen, 1970, 18). Ces lettres se distinguent par "deux points au sommet du caractère", qui, reliés entre eux, constituent une sorte de chapeau. Elles "se rangent dans les syllabaires à la suite des mêmes lettres guèzes sans «chapeau»" (Cohen, 1970, 18).
Amharique (2) La première colonne présente le tracé fondamental de chacune des syllabes ouvertes, lequel correspond à une consonne prononcée avec une voyelle de timbre [a] central, sorte d'"intermédiaire entre l'a français de «part» et l'e caduc de «le» ou «probablement»" (Cohen, 1970, 43). "Les autres ordres comportent un signe qui complète la forme fondamentale; toutefois ce signe n'apparaît pas toujours comme une addition au tracé: en raison de diverses circonstances graphiques, il se produit parfois une simple modification du trait, ou même un retranchement apparent" (Cohen, 1970, 19).
Amharique (3)
Amharique (4)
Amharique Extrait d'un parchemin mettant en scène un samedi saint où se déroule l'enseignement de l’Amharique
Amharique (6) « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité »
Guèze La première colonne présente le tracé fondamental de chacune des syllabes ouvertes, lequel correspond à une consonne prononcée avec une voyelle de timbre [a] central, sorte d'"intermédiaire entre l'a français de «part» et l'e caduc de «le» ou «probablement»" (Cohen, 1970, 43). "Les autres ordres comportent un signe qui complète la forme fondamentale; toutefois ce signe n'apparaît pas toujours comme une addition au tracé: en raison de diverses circonstances graphiques, il se produit parfois une simple modification du trait, ou même un retranchement apparent" (Cohen, 1970, 19).
Guèze
Guèze caractère du premier ordre ba "les caractères du deuxième ordre <c'est-à-dire avec voyelle u >, sont munis d'un petit trait horizontal au milieu et à droite: bu ceux du troisième ordre <c'est-à-dire avec voyelle i> d'un petit trait en bas et à droite: bi ceux du quatrième <c'est-à-dire avec voyelle ā > prolongent le jambage de droite: bā , ou, quand elles n'en ont qu'un, l'inclinent à gauche: qā ceux du cinquième <c'est-à-dire avec voyelle ē> ont une petite boucle en bas et à droite: bē ceux du septième <c'est-à-dire avec voyelle ō> ont souvent un prolongement du jambage gauche: bō ou encore une boucle en haut hō. Quant aux caractères du sixième ordre <c'est-à-dire avec voyelle e >, ils subissent les modifications les plus diverses sans qu'on puisse donner à leur sujet de règle universelle: parfois un jambage est brisé he ; d'autres fois, on accroche un trait à gauche: be , etc." (Février, 1959, 377).
Guèze