Faut cliquer uniquement sur les longs textes Deuxième partie.

Les terres noires C’est un domaine acquis par association qui se trouve à plus d lh30 du village de Ouassa- Tokpa par la route et la piste. Il est prévu de travailler cette terre jusqu’à 100ha au moyen de tracteurs pour cultiver le maïs, le soja, ect…qui serviront dans un premier temps à la ferme d’élevage (poulets,lapins,cochons,dindons) et si ça marche, à vendre les produits pour améliorer l’ordinaire du village.

En bordure de la piste, abattage d’une vache,qui sera débitée sur place. Nous partons pour les terres noires bien encadré par les enfants du village voisin.

Les terres noires.

Le village qui jouxte les terres noires.

Ouidah. Comptoir portugais tout d’abord, la ville est devenue aux 17e et 18e siècles, le principal port de la côte du Bénin et l’un des grands centres de la traite négrière.Les européens y ont embarqué, dans le cadre du commerce triangulaire, des milliers d’esclaves pour l’Amérique. Ouidah est un des hauts lieux du Vaudou. Cette ville religieuse compte une cathédrale, un séminaire et de nombreux couvents animistes.

La cathédrale.

La photos avec une école en visite au musée.

Rien que des courageux.

Ouidah 92 – Rte des esclaves. ‘’Ouidah 92’’ est le nom qui a été donné aux cérémonies et manifestations culturelles organisées en février 1993 par l’état Béninois avec le soutien du centre de la villette de Paris, pour commémorer la découverte de l’Amérique (1492) et rappeler les liens qui, par le biais de l’esclavage, unissent aujourd’hui le Bénin au Brésil et aux Antilles. De nombreux artistes béninois, brésiliens et antillais y ont collaboré. Des sculptures ont été érigées le long de la ‘’Route des esclaves’’ qui conduit de Ouidah à la mer. Depuis le sommet de la Francophonie (déc 1995) le départ des esclaves y est symbolisé par la Porte du Non-Retour, œuvre de plusieurs artistes béninois. Ce projet a reçu le soutien de l’ UNESCO.

Stèle commémorative de l’esclavage.

La Porte du Non-Retour L’Arbre de l’Oubli.

Marché de Ouidah.

Crée par un prêtre afro-américain, c’est un exemple réussi de ferme expérimentale. Ce centre aujourd’hui autonome, est soutenu par de nombreuses O.N.G. et en particulier par le C.C.F.D. Crée par un prêtre afro-américain, c’est un exemple réussi de ferme expérimentale. Ce centre aujourd’hui autonome, est soutenu par de nombreuses O.N.G. et en particulier par le C.C.F.D. Les techniques agricoles enseignées sont peu coûteuses et parfaitement adaptées au milieu. Les techniques agricoles enseignées sont peu coûteuses et parfaitement adaptées au milieu. L’ A.D.R.P. et le G.A.D. sont en contact permanent avec le Centre Songaï, bénéficiant de son expérience et de nombreux conseils. L’ A.D.R.P. et le G.A.D. sont en contact permanent avec le Centre Songaï, bénéficiant de son expérience et de nombreux conseils. C’est au centre Songaï qu’ont été formés plusieurs techniciens agricoles de la ferme d’élevage de Ouassa-Tokpa. C’est au centre Songaï qu’ont été formés plusieurs techniciens agricoles de la ferme d’élevage de Ouassa-Tokpa. En voici la visite. En voici la visite.

Entrée du Centre

Parcelle d’expérimentation

Élevage de poissons.

Matériels fabriqués au Centre.

Sé. Le village des potiers.

Ils nous ont reçu Avec la bouteille. Démonstration de façonnage ( métier de femmes )

Cuisson en plein air des poteries.

Vente sur le bord de la route

Ce diaporama a été sonorisé avec la musique de François Houessou Le fondateur du G.A.D.ou nous logions, compositeur et musicien Qui m’a fait cadeau de ce C.D. Réalisé avec des photos de Geneviève et Michel. Fin de la deuxième partie.