La Première Guerre mondiale 1914-1918
Les monuments aux morts Narbonne Laure minervois Monument aux morts Carcassonne Les « monuments aux morts » sont des édifices érigés par les communes pour honorer la mémoire des citoyens « Morts pour la France ». Commémoration tous les 11 novembre. Nous ne les oublions pas … Nous devons commémorer la Première Guerre mondiale , pour rendre hommage aux soldats qui se sont battus et en donnant leur vie pour une France libre .
Les symboles et éléments militaires Le bleuet de la France est le symbole de solidarité, en France , envers les anciens combattants les victimes de guerre , les veuves et les orphelins . 1. L’uniforme bleu-horizon : la nouvelle tenue réglementaire du fantassin ne se généralise qu’à la fin 1915. La couleur est également utilisée pour les nouveaux modèles de vareuse et les bandes molletières (bande en drap de laine entourée autour du mollet avec une fixation par lacet et qui remplace les jambières depuis octobre 1914). 2. Le fusil Lebel (modèle 1896-calibre de 8 millimètres) : le fusil évolue peu entre 1914 et la fin de la guerre, à l’exception du nouveau modèle qui équipe l’armée française à partir de 1916 disposant d’un chargeur et susceptible d’atteindre une cadence de tir de vingt coups à la minute. Le fusil restait avant tout une arme rassurante car d’une efficacité limitée dans les conditions d’affrontement de la Grande Guerre. Il ne pouvait rivaliser avec l’efficacité d’une mitrailleuse dont la puissance de feu équivalait à celle d’une centaine d’hommes équipés d’armes individuelles. 3. Le casque Adrian : du nom du sous-intendant qui l’a créé. Le casque en tôle d’acier de couleur bleutée est distribué à partir de septembre 1915 aux fantassins français. Sur le devant du casque est placé un signe distinctif suivant l’arme d’appartenance (une grenade pour l’infanterie de ligne; deux canons croisés pour l’artillerie...).
Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 10 millions de morts.. La France est victorieuse mais meurtrie avec près de 1 400 000 soldats français et coloniaux décomptés morts soit 27 % des 18-27 ans, le deuxième taux le plus élevé après la Serbie. Parmi ces morts, on dénombre, selon les sources, entre 70 et 98 000 soldats coloniaux représentant entre 5 et 7 % du total des pertes militaires françaises .