Mise en place de translation d’adresses NAT/PAT Soutenance TP Réseau Mise en place de translation d’adresses NAT/PAT COLLEAUX Mathieu – LE GRESSUS Emmanuel
Introduction Mettre en place et tester trois configurations de translation d’adresses: NAT Statique NAT dynamique PAT
Plan Définition du NAT Le NAT statique Le NAT dynamique Le PAT Conclusion
Définition NAT : Network Address Translation But : pallier le manque d’adresses IPv4 La RFC 1918 spécifie des classes d’adresses privées Principe : remplacer à la volée les champs d’adresse dans les paquets destinés à d’autres réseaux
Configuration à mettre en place :
Configuration du routeur : Il faut attribuer une adresse IP à chaque interface suivant qu’elle fait partie du réseaux public ou privé : > conf t >eth 0/0 >ip address <@IP> <masque> >no shut >ip nat <inside ou outside>
Le NAT statique Le routeur attribue automatiquement une adresse IP à une autre Définition d’une table de correspondance entre @publiques et @privées Problème : il faut autant d’adresses publiques que de machines
Le NAT statique (suite) Configuration du routeur : >conf t >ip nat inside source static 192.168.90.1 148.60.211.100 La station locale d’@IP privée 192.168.90.1 se voit attribuer l’@IP publique 148.60.211.100
Le NAT statique (suite) Plusieurs façons de tester la configuration : Commande « debug ip nat » sur le routeur On test le fonctionnement par ping de la station privée vers l’adresse IP publique (148.60.211.101 dans notre exemple) Observation de la configuration du routeur avec les commandes : « sh ip nat statistics » et « sh ip nat translations »
Le NAT dynamique On ne définit plus une adresse publique à chaque adresse privée Pool d’adresses >conf t >ip nat pool <nom> <@début> <@fin> <masque> Nécessité de définir un timeout pour les adresses >ip nat translation timeout <tps_en_s>
Le NAT dynamique (suite) Gestion des access-list Création des access-list avec les droits associés >conf t >access-list 1 permit <@IP> <masque inversé> Liaison du routage NAT avec les acces-list >ip nat inside source list 1 pool <nom_du_pool> Problème : il faut autant d’adresses publiques que privées
PAT ou Overloading Une seule adresse public Translation à l’aide des ports TCP/UDP ou le champ « identifiant » d’un message ICMP Deux variantes : Port forwarding Port mapping
PAT ou Overloading (suite) Mise en œuvre >conf t >ip nat pool <nom> <@début> <@fin> <masque> overload dans ce cas ci nous n’avons qu’une seule adresse public, donc @début=@fin Gestion des access-list >ip nat inside source list 1 pool <nom> overload
Conclusion Possibilité de combiner NAT dynamique, NAT statique NAT statique : pour les serveurs NAT dynamique : pour les stations On peut également implémenter PAT avec le NAT dynamique lorsque l’on dispose de peu d’adresses publique
Conclusion (suite) Autres solutions : NAT via Windows (NT ou 9x) Masquerading sous Linux Serveur proxy