Mère Marie Louise Angélica Clarac 6 avril juin 1887 d’après « Une femme courageuse » (Antonio M. Alessi)
Événements de son enfance Échange de vêtements (p. 3 et 4) (Qu’est-il arrivé?, Quelles sont ses attitudes?) Fuite de la cour du roi (p. 5) (Qu’est-ce qu’elle retient de cet épisode?) Admission au collège (p. 5) (Quel est son obstacle?, Comment réagit-elle?)
Premier obstacle Devenue religieuse, une classe de gamins de la rue lui est confiée. (p. 11 à 13) Ils sont turbulents, paresseux, batailleurs et indisciplinés! Quelles sont ses attitudes dans cette situation? Qu’est-ce qui l’aidera à ne pas abandonner?
Missionnaire! En août 1848, Sœur Clarac arrive en Algérie. (p. 13 à 15) Elle s’occupe des orphelins. Elle ouvre un atelier pour les jeunes filles dans la rue afin de leur apprendre un métier Qu’arrive-t-il à Mère Clarac qui l’oblige à repartir en France?
L’Italie, seconde maison Sœur Marie-Louise arrive à Turin le 21 mai Elle se dévoue aux causes sociales de son milieu. (p. 15 à 24) Classes pour les enfants pauvres et les adultes Dispensaire pour les malades Laboratoire pour apprendre un métier ou de petites tâches garderie orphelinat
Plusieurs petits problèmes! (p. 18 à 35) Manque d’argent Manque d’espace, de bâtiments Manque de ressources humaines Lois exigeantes Beaucoup d’enfants dans la rue Analphabétisme Pauvreté, guerre Conflits avec les autorités civiles et les voisins Vers qui Mère Clarac ira demander conseil? Quelle solution cette personne lui proposera-t-elle? Mortalité de bienfaiteurs Conflits avec ses supérieures immédiates
Une nouvelle communauté ! (p. 36 à 40) Mère Clarac se rendit à Rome pour plaider sa cause. Le 3 mai 1871, elle se sépara, bien malgré elle, de sa communauté religieuse pour en fonder une nouvelle: « les Sœurs de Charité de Sainte Marie ». Elle continua à travailler pour les pauvres, les malades et les négligés jusqu’à sa mort, le 21 juin 1887.