Chapitre 28: Casimir le Maudit
Stanislas est à Montréal, et il va à l’université McGill…
…mais il a reçu des nouvelles que son père avait été volé par…
Casimir le maudit!
Stanislas voulait retourner au Manitoba pour l’été, pour aider son père, qui a presque perdu la ferme.
Jan comprend bien, et veut aider son frère, mais il sait que Jerzy ne l’accepterait jamais de lui. Perdu dans ses pensées, et son inquiétude…
Jan consulte les lunettes de son père!!!!
Mon cher père, tu sais comment Jerzy et moi ne nous sommes pas parlés depuis 18 ans. Même si je lui envoie une lettre, il va la déchirer et dire que c’est trop tard, et qu’il n’a pas besoin de son cadet.
Jerzy a accepté que son fils habite avec moi, parce que je suis son parrain, et Jerzy respecte sa parole. Mais, mon père, Jerzy a vu ses rêves de retourner en Pologne s’envoler en fumée.
Père, peut-être Jerzy voulait retourner en Pologne pour se rapprocher de toi, parce qu’il n’a pas d’autres membres de la famille avec lui.
Qu’en penses-tu????
Le printemps était arrivé, mais Stanislas pensait de plus en plus à Casimir.
«Ne t’en fait pas, Stanislas», lui dit Jan. «Tu vas aider ton père cet été.»
«Je ne veux pas aider mon père…. »
Je veux la revanche!! !!!!!!!!!!!!!
Nicolas était frustré avec Jan, qu’il pensait compliquait l’affaire en n’envoyant pas de l’argent à son frère.
Après tout, il exigeait que chacun de ses épiceries donne des produits défraîchis à la charité, pendant que son frère se trouvait en besoin.
« Papa », dit Nicolas, « Toi qui a vu la guerre n’est même pas capable de sortir le drapeau blanc. Envoie un drapeau blanc à ton frère.»
Jan possède maintenant 22 épiceries du nom Aucoin. Il est dans une réunion avec tous ses gérants, à laquelle il a invité M.Cohen, le frère survivant juif dont il avait acheté l’entrepôt.
Leur mission est d’offrir les prix plus pas, ou de convaincre les clients que s’ils paient plus cher, c’est pour acheter un meilleur produit.
Jan est fier de son origine polonais, dont il est connu. Il s’excuse pour rencontrer un nouvel employé qui est aussi polonais.
Stanislas court à l’entrepôt, ayant fini son dernier examen à McGill, pour saluer son oncle Jan. Sa secrétaire lui dit d’attendre un couple de minutes, car son oncle est dans une réunion.
Stanislas s’assois sur une chaise pour attendre, mais sort de la chaise en panique un moment après, par le son d’un rire familier. Il se lève et écoute à la porte du bureau.
« Es-tu correct? », demande la secrétaire. Stanislas recule et ordonne à la secrétaire, d’une voix sèche, de téléphoner à Jan, dans son bureau.
Jan répond au téléphone. -C’est lui, mon oncle. Quoi?
C’est Casimir le maudit!
Jan s’excuse un moment. Stanislas décrit parfaitement l’homme dans son bureau, qui a donné son nom comme Josef. Jan se fâche profondément, et demande à la secrétaire de téléphoner Jerzy et de le garder en ligne.
Jan attend le coup de téléphone, nerveux. -«C’est Jerzy», dit le secrétaire. Jerzy lui parle: -«Stanislas me dit que Casimir est avec toi.» Jan lui répond calmement: «Oui, notre entrepôt a tout ça.» Jan chuchote à Casimir que c’est un appel interurbain, et continue à parler.
«J’imagine que vous ne voulez pas attendre, alors nous réglons l’affaire tout de suite. Ne quittez pas, monsieur. » Jan pose le combiné, et d’un bond, se retrouve derrière Casimir, et le tapote sur l’épaule.
Casimir se tourne et Jan lui donne un direct à la mâchoire, et un coup de poing dans le ventre.
Jan pousse un cri de rage et crie à haute voix: «Je l’ai, Jerzy!!»
Casimir comprend immédiatement la situation et saisit Jan et le frappe contre la porte avec une force énorme.
Jan met ses doigts dans sa bouche et déchire la chair de la lèvre inférieur de Casimir.
La secrétaire crie que la police est en route, et Casimir crie à Stanislas de déverrouiller la porte.
Stanislas se rend compte que son oncle avait emprisonné Casimir dans le bureau avec lui.
Stanislas comprend la force ← herculéenne ← du Maudit et s’inquiète pour son oncle.
Casimir donne un grand coup de pied et dit au téléphone: «J’espère que tu es toujours là, Jerzy, parce que c’est un beau spectacle. Il a la bouche en sang.»
Casimir lui donne encore des coups et le tient dans l’air par le cou. Jerzy crie au téléphone: «Il va te tuer, Jan. C’est Goliath!»
Tout devient noir et Jan s’évanouit de manque d’oxygène et n’entend plus rien.
Casimir crie en victoire: « He! Pawulski! Je pense que c’est ton frère qui vient de mourir. Il te ressemble. Écoute ce que je vais faire de son cadavre.»
Casimir tient le téléphone dans une main, et de l’autre, lance le corps de Jan contre la fenêtre…
Jan tombe sur la terre et Casimir lui donne trois coups de pied dans les côtes. «Kurwa! Sang de chien de putain de mûre!» Casimir attaque la porte pour échapper… et à la 5 e fois, elle cède et……..
…il se trouve en face de la secrétaire, Stanislas, et les hommes de l’entrepôt qui bloquent l’entrée.
Casimir attaque plusieurs hommes, et au milieu de cette violence, arrive….
la POLICE!!!
La fin