Fig. 5.1 Fig. 5.1 Règles d’assemblage d’une communauté représentées sous forme de filtres emboités (Lortie et al., 2004)
Fig. 5.2 Fig. 5.2 Structure fonctionnelle de trois communautés théoriques décrites par les distributions de valeurs de traits et statistiques associées
Fig. 5.3 Fig. 5.3 Les trois composantes de la diversité fonctionnelle définies par Mason et al. (2005) le long d’un axe de valeur de trait
Fig. 5.4 Fig. 5.4 Comparaison de la distribution des traits dans une communauté et dans l’arbre phylogénétique correspondant aux espèces de cette communauté selon l’échelle spatiale considérée
Fig. 5.5 Fig. 5.5 Schématisation des règles d’assemblage régissant la structure fonctionnelle des communautés. Dans une première étape, la gamme de valeurs de traits qui caractérise le pool régional est restreinte par l’effet filtre de l’habitat. Puis, les gammes de traits obtenues peuvent être distribuées de façon convergente ou divergente selon que la variabilité des valeurs soit faible ou forte par rapport à une distribution obtenue selon un modèle neutre (absence d’effet du milieu). D’apres Bernard-Verdier et al. (2012)
Fig. 5.6 Fig. 5.6 Décomposition d’un trait d’une espèce le long d’un gradient environnemental à partir des notions de niche α et β (Pickett et Bazzaz, 1978), la niche α correspond aux différences de niche entre espèces qui coexistent, la niche β exprime les différences de niche observées entre milieux.
Fig. 5.7 Fig. E5.1.1 Modèles théoriques de distribution d’abondance des espèces.
Fig. 5.8 Fig. Fig. E.5.1.2 Distribution d’abondance des espèces dans trois types de communautés : (a) parcelle fertilisée avec très forte pression de paturage, (b) parcelle non fertilisée et paturée modérément, (c) parcelle non fertilisée et non paturée depuis 30 ans. S : richesse spécifique ; H : indice de Shannon ; E : indice de Simpson ; EH : Indice d’équitabilité de Pielou. Données tirées de Fayolle (2008)