Epidémiologogie 10000 déçés par an(2000) Héréditaire 5-10% (x10) Familiale 5-25% (x3) 50% des cas sont Dc après 74 ans 40.000 Nx cas / an Incidence plus.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Cancer du sein de la femme jeune phase précoce
Advertisements

LA COQUELUCHE EN 2007 Dr MESBAH Smail EHS Maladies Infectieuses
Cancer de prostate Dr J. Schlosser Octobre 2007.
TUMEURS ET KYSTES DE L’OVAIRE
Le rationnel du dépistage organisé
Cancer du sein de la femme âgée
Cancer de la Prostate Options thérapeutiques Stratégies thérapeutiques (Cancer localisé et Espérance de vie > 10 ans) Cancer de la Prostate du Dépistage.
Le dépistage des cancers
Cancer du Col : Dépistage
Rééducation périnéale Incontinence urinaire d’effort femme
Surveillance des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Dépistage du cancer de la prostate
Mr B. Michel, 39 ans ATCD Myéloméningocele opéré à la naissance
Il a été mis en évidence que le risque de fracture du col du fémur à
pour pour Quels sont les facteurs de risque?
L’antigène prostatique spécifique (P.S.A) et cancer de la prostate
CHIRURGIE DES CANCERS DE LA THYROIDE
Médecine et prévention
Cancer du sein à un stade précoce Mai 2007
Cancer de la Prostate Adénome Prostatique Prostatite
Anapath : Adénocarcinome
Cancer colorectal 1 Epidemiologie Problème majeur de santé publique
Le dépistage organisé des cancers 79 rue Saint Eloi POITIERS
D. B.Foglia/Journées validation Nancy les 26 et 27 Avril Les recommandations de pratique clinique dans la surveillance post-professionnelle.
Pourquoi le nombre de cancers augmente-t-il ?
Service de radiothérapie Dr alain MARRE
ENQUETE MORBIDITE/MORTALITE
IFSI Saint-Egrève, Octobre 2009
Quoi de neuf dans le dépistage du cancer de la prostate
Dépistage du cancer de la prostate
TRAITEMENT DU CANCER LOCALISE DE LA PROSTATE PAR HIFU(ABLATHERM)
CANCER DU SEIN: GENERALITES
OPPORTUNITE D’ UN DEPISTAGE SYSTEMATIQUE DU CANCER DE LA PROSTATE PAR LE DOSAGE DU PSA ; HAS , janvier 2009 étude faite à la demande de la CNAMTS DEUX.
Quand ? Pour qui ? Pourquoi ?
Augmentation de taille de la prostate 1 à 2 % par année
Cancer du SEIN Le programme de dépistage organisé AMMPPU 17 janvier 2008 F. Deshayes.
Épidémiologie et facteurs de risque
Dépistage du cancer colorectal par l’hémoccult
Prévention des cancers
Les chiffres clés Douleur et cancer
Recommandations sur la prise en charge des cancers colorectaux des personnes âgées Dr Duc Sophie 28/06/2013.
La ROCHELLE : le 21 Novembre 2013
Rubéole D Aussel.
QCM Cancer de la prostate
Cancer de la prostate 1 Un homme du 58 ans souhaite un bilan prostatique. Il a entendu parler de tests pour le cancer de la prostate et souhaite un dépistage.
Curiethérapie des cancers infiltrants de vessie
DÉPISTAGE ORGANISÉ DES CANCERS DU SEIN : FAUX RÉSULTATS, SURDIAGNOSTIC, SURTRAITEMENT J-L. GUILLET CLINIQUE INTERNATIONALE DU PARC MONCEAU MARDI.
REFERENTIEL NATIONAL ACTIVITE PHYSIQUE ET CANCER
Activité physique et santé
FAUT IL ENVISAGER UN TRAITEMENT CHIRURGICAL pour les T3 CLINIQUES ?
ATELIER ANNECY DU Neuro-urologie Le 11 mai 2012.
Bichat C.Bernard et Beaujon
Centre Hépato-biliaire Hôpital Paul Brousse, Villejuif
Dépistage du cancer du sein
Cancer de la prostate mise au point
HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE
Cancer Broncho pulmonaire
V2, janvier ère consultation = consultation d’information
CANCERS DES FEMMES JEUNES
CANCER DE PROSTATE.
DEPISTAGE DU CANCER DE LA PROSTATE : ETAT DE LA CONTROVERSE
Dépistage du cancer de la prostate : pourquoi la controverse ?
Que faites-vous ? Mr G., 78 ans, est adressé aux urgences pour anurie
Chirurgie Urologique Polyclinique de Navarre.  le plus fréquent: 65000/ an  2ème cause de mortalité: 9000/an  un homme sur huit risque de se voir diagnostiquer.
Cancer de la prostate 1 Un homme du 58 ans souhaite un bilan prostatique. Il a entendu parler de tests pour le cancer de la prostate et souhaite un dépistage.
« Stop à l’holocauste prostatique » D’après B. Tombal, 21 mars 2009 à l’UOAD.
Prévention des cancers Pr GANRY. Pourquoi mettre en place une politique de prévention? Cancers de mauvais pronostic: ORL, œsophage, estomac …. effet connu.
Prévention des cancers Pr GANRY. Pourquoi mettre en place une politique de prévention? Cancers de mauvais pronostic: ORL, œsophage, estomac …. effet connu.
CANCERS DU RECTUM: expérience de service de chirurgie viscérale B CHU HASSAN II FES. A-propos de 180 cas. A.ZERHOUNI, A.ELMAROUNI, K.AZIZI, M.OUSSAID,
Dépistage du cancer de la prostate
Transcription de la présentation:

Epidémiologogie déçés par an(2000) Héréditaire 5-10% (x10) Familiale 5-25% (x3) 50% des cas sont Dc après 74 ans Nx cas / an Incidence plus élevé en Europe et USA /Asie Pas dinfluence des facteurs alimentaires ni des relations sexuelles ATCD cancers de lovaire ou du sein PIN haut grade Histo Pas de prévention possible de son apparition

Dépistage Doit être individuel basé sur le risque familial ou A la demande du patient (explications) PSA > 4 ng/ml et Toucher rectal suspect Biopsies prostatiques décidées par lurologue et après informations et réflexions du patient

PSA PSA > 4 ng/ml ( contexte infectieux, TR volume prostatique, geste chirurgical) : 3/10 biopsie positive PSA < 4 : 9/10 biopsie négative PSA<4 et TR Nx on rassure le patient, ne pas refaire de PSA avant 2 ans( en fonction âge et ATCD)

Biopsie Une biopsie négative avec un TR aNL ou PSA qui augmente doit faire répéter les biopsies éventuellement sous AG et très nombreuses Antibioprophylaxie, Lavement, ECBU Ambulatoire Risque infectieux, Hémospermie, rectorragie, Hématurie

Avantages et inconvénients PSA Si Nl rassure le patient Dépistage (non validé) Faux négatif Anxiété Cancer dévolution lente Efficacité? Qualité de vie dégrader par le traitement

Traitement(localisé) Abstention surveillance Prostatectomie radicale Radiothérapie Curithérapie HIFU(Ablatherm)

Traitement(2) Radiothérapie et analogue de la LHRH pendant 3 ans (localement avancée)pT3 Radiothérapie de rattrapage après échec de la prostatectomie ou traitement hormonal HIFU après échec de la radiothérapie (risque faible ou intermédiaire) Traitement hormonal en cas de maladie métastatique Chimiothérapie en cas déchappement

surveillance Après traitement, le plus souvent les patients sont revus tous les six mois avec PSA et TR Pb de prise en charge après le traitement chirurgical+++conséquences physiques et psychiques souvent négligées

En pratique Avant Traitement (1) Pas de dépistage systématique, mais uniquement à la demande du patient et/ou en cas dantécédents familiaux ou facteurs de risques Léchographie transrectale non obligatoire pour le dépistage Le TR est obligatoire Les dosages de PSA doivent être espacés dau moins 6 mois ou 1an

En pratique avant traitement (2) PSA > 4 seuil de biopsie ( VPP=30%), 3/10 ont le cancer PSA < 4 Deuxième PSA dans un an(VPN =90%) et donc 9/10 patient nont pas de cancer PSA < 4 TR Anl 14 à 30 % de cancers PSA < 2 Deuxième PSA dans 3 ans Pas de PSA libre en première intention Pas de dépistage après 75ans (bien portant) Pas de dépistage si espérance de vie < 10 ans Vélocité du PSA > 2 ng/ml/an(Mauvais Pc)

En post-thérapeutique(1) Après Chirurgie : 4-39% fuites urinaire et 20 à 80% de troubles de lérection : ¾ des troubles évoluent favorablement Séance de Kinésithérapie en cas de fuite importante et si échec sphincter artificiel ou système Advance IPD-5 ou IIC pour les troubles de lérection

En post-thérapeutique (2) Après Radiothérapie :0-13% pour les fuites urinaires et 4-55% pour les troubles de lérection, 1-36 % pour les troubles digestifs, le traitement des rectorragies par plasma argon ou par laser est efficace; en cas dhématurie réçidivante avec déglobulisation la cystectomie dhémostase est indiquée (exceptionnelle)

En post-thérapeutique (3) Après curithérapie : 6 –15% dincontinence urinaire, 5-19% de troubles digestifs, 5-70% de troubles de lérections Après Ablatherm: lincontinence urinaire et la fistule vésico-rectale(rare)

En post-thérapeutique (3) Surveillance biologique: échec de la chirurgie PSA >0.1. PSA /6mois échec de la radiothérapie : augmentation régulière du PSA à trois dosages successives. (le temps de doublement du PSA +++à 3 dosages successives à 3 mois dintervalle)

Conclusions La littérature ne permet pas de répondre si un traitement immédiat à un stade précoce améliore le pronostic individuel, ni au bénéfice supérieur de lune ou lautre des options thérapeutiques en particulier dans le cadre dun diagnostic à un stade précoce