Logiciel De Visu INRP IFE (2004-2011)
Travail sur un modèle de cône Au lancement Un modèle de cônes est chargé On peut changer la réponse de chaque cône Réponse des cônes et des voies visuelles pour la valeur pointée des images Pour chaque longueur d’onde il existe un triplet de réponse… 87 43 qui est consigné dans ce tableau 16 537 Les longueurs d’ondes ambigües pour lesquelles il y a le même triplet de réponse sont dans ce tableau 537[43 87 16] Réponse des voies visuelles
Suppression du cône sensible au vert Pour ces deux longueurs d’onde, la même réponse, donc ambigüité vert-rouge Ambigüités vert-rouge Ambigüités vert-rouge Les ambigüités sont nombreuses 575 646 [0 0 62] 2 longueurs d’onde et une même réponse Suppression du cône sensible au vert
Suppression du cône sensible au vert En passant la figure d’ Ishihara par ce modèles L’ambigüité n’est pas complète, mais le vert n’est plus perçu comme différent du rouge On obtient ces figures
Suppression de 1 à 3 cônes La suppression des 3 cônes se traduit par une vision en noir et blanc naturellement
Création d’un modèle de sensibilité à la couleur Création d’un modèle à 2 cônes (click droit, créer des points puis bouton cone1, cone2, cone3) Il existe des longueurs d’ondes ambigües …et des longueurs d’ondes non couvertes …et que tout le spectre lumineux doit être couvert Il ne doit pas y avoir deux longueurs d’ondes différentes de la lumière qui provoquent les mêmes triplets de réponse
Création d’un modèle de sensibilité à la couleur En déplaçant les points de façon à couvrir tout le spectre et en faisant chevaucher les sensibilités, on élimine toutes les ambigüités Donc la vision des couleurs est possible avec seulement 2 cônes. D’ailleurs en avons nous eu toujours 3 ???
Les voies visuelles et le pouvoir discriminant En rouge, variabilité de la réponse des voies aux différentes fréquences. Le traitement ganglionnaire (Konio, Parvo, Magno) permet d’augmenter le pouvoir discriminant des fréquences.
Les opsines et le nombre de récepteurs Déplacer la référence Click droit pour la comparaison Information sur la ligne pointée L’arbre est accessible si la matrice est correctement remplie Sélection de la référence La comparaison apparaît au bout de la souris et est posée dans la matrice La matrice est corrigée et si le résultat est correct, l’arbre devient accessible
Les opsines et le nombre de récepteurs Une fois l’arbre rendu accessible, on place avec la souris les mots au bout des branches On constate que le nombre de photorécepteur n’a pas toujours été de 4, on peut donc supposer qu’il était possible de voir les couleurs avec deux cônes seulement, ce qui avait été supposé en créant un modèle à 2 cônes.
Le test de Farnsworth-Munsell Il faut ranger ces pastilles en prenant toujours la plus proche de la dernière posée
Le test de Farnsworth-Munsell Pastilles rangées correctement, le trajet est continu
Le test de Farnswoth-Munsell Axe tritanope Axe deuteranope Pastilles qui correspondent à une confusion rouge-vert En fonction de l’axe de la confusion il est possible de déterminer la nature du récepteur déficient. Axe protanope
Pour aller plus loin avec le test de Farnsworth-Munsell Cet angle nous permet de connaître le type d’anomalie http://www.merione.net/templates/akomojo/categories/damien/daltonisme/daltonisme.htm
On choisit le phénotype des parents Et le nombre de descendants Aspects génétiques On choisit le phénotype des parents (d)altonien ou non (D)altonien Et le nombre de descendants Le génotype de chaque individu sera tiré aléatoirement parmi les génotypes possibles produisant le phénotype choisi
Aspects génétiques En partant des mêmes phénotypes choisi, les génotypes sont tirés aléatoirement
Aspects génétiques Résultat d’un de ces « croisements » Tous les descendants sont non daltoniens. Donc le daltonisme est récessif Les descendants peuvent être croisés à leur tour On choisit le phénotype du conjoint Le génotype du conjoint sera tiré aléatoirement en fonction du phénotype
Aspects génétiques On choisit un conjoint non daltonien Les filles sont porteuses de l’anomalie de leur père L’information sur le génotype est en option. On croise la fille non daltonienne dont le père est daltonien On constate que dans ce cas le daltonisme « saute une génération » selon l’expression consacrée, qu’il touche 1 garçon sur 2 et pas les filles. Les filles ne sont pas atteintes alors que les garçons le sont. Le gène de ce type de daltonisme se trouve sur le chromosome X Mais ce sont les filles qui ont transmis le daltonisme Le gène se trouve donc sur un chromosome sexuel (X ou Y ?)