Le livre s’intitule « J’ai 15 ans et je ne veux pas mourir» Il a été écrit par Christine ARNOTHY Et édité par « Le livre de poche Jeunesse »
Christine ARNOTHY Son nom de naissance est Christine Kovach de Szendro Elle utilise d’autres noms comme Christine Arnothy qu’elle utilise en tant que romancière et William Dickinson entant que journaliste Née le 20 novembre 1934 à Budapest (Hongrie) Elle utilise la langue française pour écrire ses livres et ses articles.
Biographie Christine Arnothy vient s’installer en France, après avoir quitté la Hongrie en passant la frontière à pied avec ses parents. Les seuls biens qu’elle emmène avec elle sont cousus dans son manteau. Il s’agit des feuilles sur lesquelles elle a écrit ce qu’elle vivait durant la guerre à Budapest. Elle publie durant les années 1980, 3 romans noirs sous le nom de plume de William Dickinson avec la complicité de Robert Esménard le propriétaire et président directeur général des éditions Albin Michel.
Autres romans de Christine Arnothy Il n’est pas si facile de vivre la suite de J’ai 15 ans et je ne veux pas mourir : La Hongrie est en feu. Les Allemands, qui y sont entrés en maîtres, se sont retranchés dans Budapest et entendent tenir la ville, qu'assiègent les Russes. C'est ce siège de deux mois, vécu dans la cave de leur immeuble pris, au bord du Danube, sous les feux croisés des belligérants, que raconte Christine Arnothy. Ils sont là, une douzaine à attendre l'avancée russe avec l'espoir qu'elle marquera la fin de l'oppression et de l'horreur. Mais bientôt, les parents de Christine décident de quitter le pays. Ils aboutissent dans un camp de réfugiés en Autriche, d'où Christine veut s'arracher à tout prix. Cette existence recommencée est le thème de Il n'est pas si facile de vivre, qui fait suite à J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir. « Jeux de mémoire »: autobiographie pleine de tendresse, d'humour, de chagrin et d'espoir : la confrontation d'un écrivain qui croyait ne « se sentir à l'aise que dans ses romans »
Résumé du livre Ce roman raconte le journal intime de la vie quotidienne et angoissante d’une jeune fille de 15 ans hongroise lors du siège de Budapest en 1945 pendant la seconde guerre mondiale. Elle et sa famille ont été forcés à vivre dans leur propre cave sans eau ni électricité à la lumière des bougies pendant plus de deux mois. Ils commencent un laborieux voyage pour essayer d’échapper à la guerre en traversant la frontière Autrichienne.
Avis personnel Phrases chocs C’est un livre intéressant, émouvant qui m’a montré que la vie durant la guerre était très difficile. Il est compliqué à lire car il y a des mots complexes. Phrases chocs « Il était vraiment étrange d’entendre prononcer ces mots « matin », « après-midi » ou « soir », car, dans l’obscurité perpétuelle des caves, nos yeux rougis et larmoyants, à cause de la maigre lumière jaune des chandelles de graisse, ne pouvaient mesurer les heures ni les jours. » « Je n’ai que 15 ans et j’ai affreusement peur de la mort. Je veux vivre encore. » « Mon père je suis prise d’horreur quand il faut sortir, on ne peut plus que marcher sur des morts de toutes parts, des yeux vitreux me jettent des regards interrogateurs et pleins de reproche, parce que je me trouve encore au nombre des vivants. »
Bombardement d’un pont