(1) Guillaume Pitel - 17/09/2004 La notion de construction située pour un modèle d'interprétation et de traitement de la référence pour le dialogue finalisé

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Mais vous comprenez qu’il s’agit d’une « tromperie ».
Advertisements

Le Nom L’adjectif Le verbe Objectif: Orthogram
ORTHOGRAM PM 3 ou 4 Ecrire: « a » ou « à » Référentiel page 6
LES NOMBRES PREMIERS ET COMPOSÉS
Ma surprise du Zoo.
Licence pro MPCQ : Cours
Additions soustractions
Distance inter-locuteur
Les numéros 70 –
Les numéros
Les identités remarquables
Le, la, les words Possessive Adjectives MINE!!. 2 My in french is mon, ma,mes... Le word/ begins with a vowel: Mon La word: Ma Les word: Mes.
Sirop de Liège « industriel »
Introduction à la logique
LES TRIANGLES 1. Définitions 2. Constructions 3. Propriétés.
1 7 Langues niveaux débutant à avancé. 2 Allemand.
Le Concours de Conaissance II Francais I decembre 2012.
Mr: Lamloum Med LES NOMBRES PREMIERS ET COMPOSÉS Mr: Lamloum Med.
SERABEC Simulation sauvetage aérien avec un Hercule C130. Départ de St-Honoré le 4 octobre Durée de vol 3 heures. Premier vol en Hercule pour les.
Niveau 6ème Calcul mental Exercices Vrai / Faux Q. C. M.
1 5 octobre 2011 / paw Présentation du 7 octobre 2011.
La méthodologie………………………………………………………….. p3 Les résultats
Interagir avec un objet mixte Propriétés physiques et numériques Céline Coutrix, Laurence Nigay Équipe Ingénierie de lInteraction Homme-Machine (IIHM)
Le Concours de Conaissance III Francais I fevrier 2013.
1 Cours numéro 3 Graphes et informatique Définitions Exemple de modélisation Utilisation de ce document strictement réservée aux étudiants de l IFSIC.
Jack Jedwab Association détudes canadiennes Le 27 septembre 2008 Sondage post-Olympique.
Vuibert Systèmes dinformation et management des organisations 6 e édition R. Reix – B. Fallery – M. Kalika – F. Rowe Chapitre 1 : La notion de système.
Le soccer & les turbans Sondage mené par lAssociation détudes canadiennes 14 juin 2013.
Présentation générale
1 Guide de lenseignant-concepteur Vincent Riff 27 mai 2003.
GRAM 1 CE2 Je sais transformer une phrase affirmative en phrase négative.
Le drapeau canadien comme symbole de fierté nationale : une question de valeurs partagées Jack Jedwab Association détudes canadiennes 28 novembre 2012.
Session 7 1 IST/VIH/SIDA.
Le Concours de Conaissance Francais I novembre 2012.
Si le Diaporama ne s'ouvre pas en plein écran Faites F5 sur votre clavier.
Titre : Implémentation des éléments finis sous Matlab
1 Journée de regroupement des correspondants "Egalité et genre" - 21 novembre 2011 Rectorat de Rouen - SAIO - CD-HD Résultats scolaires, appréciations.
Projet poker 1/56. Introduction Présentation de léquipe Cadre du projet Enjeux Choix du sujet 2.
LES NOMBRES PREMIERS ET COMPOSÉS
Tolérances géométriques
VOC 1 CE2 Je sais utiliser des mots de la vie quotidienne.
Vuibert Systèmes dinformation et management des organisations 6 e édition R. Reix – B. Fallery – M. Kalika – F. Rowe Chapitre 7 : Les méthodes de conception.
Logiciel gratuit à télécharger à cette adresse :
Les chiffres & les nombres
1 Délégation FSA 2008: Cycle de formations prédépart __ Quest-ce que la mondialisation ?
RACINES CARREES Définition Développer avec la distributivité Produit 1
Représentation des systèmes dynamiques dans l’espace d’état
Représentation des systèmes dynamiques dans l’espace d’état
Représentation des systèmes dynamiques dans l’espace d’état
DUMP GAUCHE INTERFERENCES AVEC BOITIERS IFS D.G. – Le – 1/56.
Année universitaire Réalisé par: Dr. Aymen Ayari Cours Réseaux étendus LATRI 3 1.
Titre : Implémentation des éléments finis en Matlab
Jean-Marc Léger Président Léger Marketing Léger Marketing Les élections présidentielles américaines.
MAGIE Réalisé par Mons. RITTER J-P Le 24 octobre 2004.
1 INETOP
Aire d’une figure par encadrement
Équipe 2626 Octobre 2011 Jean Lavoie ing. M.Sc.A.
Comment rendre une femme heureuse…
P.A. MARQUES S.A.S Z.I. de la Moussière F DROUE Tél.: + 33 (0) Fax + 33 (0)
MAGIE Réalisé par Mons. RITTER J-P Le 24 octobre 2004.
Traitement de différentes préoccupations Le 28 octobre et 4 novembre 2010.
1/65 微距摄影 美丽的微距摄影 Encore une belle leçon de Macrophotographies venant du Soleil Levant Louis.
Comenius 1 Projet européen Analyse de film euroculturelle Humanisme dans le nouveau cinéma européen.
Equation différentielle de 2ème ordre
Formation des commissaires sportifs
Nom:____________ Prénom: ___________
Discussion autour du référentiel
Commission paritaire de suivi des opérations de reclassement repositionnement dans le cadre du droit d’option Statistiques novembre 2010.
La formation des maîtres et la manifestation de la compétence professionnelle à intégrer les technologies de l'information et des communications (TIC)
Transcription de la présentation:

(1) Guillaume Pitel - 17/09/2004 La notion de construction située pour un modèle d'interprétation et de traitement de la référence pour le dialogue finalisé MICO Thèse effectuée sous la direction de Jean-Paul Sansonnet au LIMSI-CNRS

(2) Guillaume Pitel - 17/09/2004 Sommaire I.Cadre : Dialogue finalisé et référence II.Modèle de résolution fonctionnelle de la référence III.Modèle d'interprétation constructionnelle IV.Conclusion : Perspectives de recherche

(3) Guillaume Pitel - 17/09/2004 Sommaire I.Cadre : Dialogue finalisé et référence II.Modèle de résolution fonctionnelle de la référence I.Imprécision et relativité dans la référence concrète II.Représentation unifiée des prédicats référentiels extracteurs de référence III.Mise en œuvre III.Modèle d'interprétation constructionnelle IV.Conclusion : Perspectives de recherche

(4) Guillaume Pitel - 17/09/2004 Sommaire I.Cadre : Dialogue finalisé et référence II.Modèle de résolution fonctionnelle de la référence III.Modèle d'interprétation constructionnelle I.Aspects topologiques et modèles linguistiques II.Théorie des points de vue III.Modèle d'interprétation constructionnelle IV.Conclusion : Perspectives de recherche

(5) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé

(6) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé Acteurs du dialogue finalisé – un humain – un ordinateur exécutant une ou plusieurs applications (messagerie électronique) Caractéristiques – un nombre fini de tâches possibles (envoyer message, chercher message, + sous-tâches) – un domaine fini (texte/mise en forme, fichiers, messagerie)

(7) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé - messagerie

(8) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé – Pourquoi faire ? Limites des interfaces actuelles : – choix entre plus de fonctions ou plus d'ergonomie – nécessite une formation – multiplication des applications disponibles Intégration de fonctions d'assistance – anticipation des objectifs de l'utilisateur – utilisation des capacités combinées de plusieurs applications

(9) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé – Comment ? Limites des approches modulaires : – hétérogénéité des principes qui dirigent les modules – difficile à faire évoluer – réutilisabilité partielle uniquement Direction choisie – approche unifiée, reposant sur un principe unique – modèle d'exécution fondé sur les systèmes de production associés à des contraintes

(10) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Références objets concrets – Messages (les derniers messages de X) – X = Expéditeur (chef) Références objets linguistiques – Destinataire (lui) Transfère-lui les derniers messages du chef Stéphanie reçoit un courrier de Sarkis où il pose une question....

(11) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Le dernier : facile Les derniers ? – de la journée ? – de la semaine ? – les 5 derniers ? Transfère-lui les derniers messages du chef Stéphanie reçoit un courrier de Sarkis où il pose une question....

(12) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Autres dimensions de référence – Temporelle : pendant les vacances, avant le 7 juin, – Spatiale : au-dessus de, à côté, au-dessus à droite de, – Autres : avec moins de destinataires, beaucoup plus petit.

(13) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Prise en compte de ces dimensions – Soit dans des modules ad hoc : Approche Modulaire [Trains, DenK, SmartKom] Modules hétérogènes, communication difficile, Phénomènes transversaux impossibles à modéliser, – Soit différentes structures de l'information gérées par principe unique : Approche Unifiée [Soar] Difficile de trouver le principe adapté à tous les problèmes, Difficile d'implémenter toutes les approches dans ce principe

(14) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-1. Résolution de la référence concrète Référence concrète dépend de – rôle de l'imprécision (couleurs, formes), – rôle des prédicats relationnels (taille, position), – représentation des entités référençables, Caractéristiques courantes – distinctions entre prédicats sur caractères typologiques, intrinsèques ou relationnels, – les expressions référentielles ont une extension

(15) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-1. Résolution de la référence concrète Cas de la référence spatiale « le rond le plus à droite de X »

(16) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-1. Résolution de la référence concrète Extracteurs – rôle d'un prédicat participant à la sélection des entités, – s'oppose au rôle de producteur ou d'opérateur de reconnaissance. Exemples – Donne-moi le crayon blanc : extracteurs, – Dessine-moi un mouton noir : producteurs, – Est-ce que cet animal est un chat : opérateur de reconnaissance.

(17) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Catégories d'extracteurs Typologie courante pour les prédicats dans les ER: Typologiques – concernent le type de l'entité cible, – généralement lié à un nom. Intrinsèques – concernent une caractéristique propre à l'entité cible, – accède uniquement à la représentation de l'entité. Relationnels – concernent au moins deux entités, – nécessitent d'accéder à une représentation de niveau supérieur.

(18) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Cas limites : les extracteurs ont le même comportement. Typologiques – les formes non parfaites sont catégorisées en fonction du contexte. les extracteurs typologiques peuvent être relationnels. Contexte AContexte B Efface le carré

(19) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Extracteurs Intrinsèques – dans certains contextes les couleurs sont associées différemment. les extracteurs intrinsèques peuvent être relationnels, phénomène de groupement non spatial tri des entités sur une échelle continue. Contexte AContexte B Choisis les carrés rouges

(20) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Conclusion : Méthode logique prédicative insuffisante prédicats référentiels relationnels - grand(x) : évidemment inapplicable sauf cas exceptionnel, intrinsèques - rouge(x) : apparemment applicable, mais en réalité permet seulement de représenter le rôle d'opérateur de reconnaissance, typologiques - carré(x) : apparemment applicable, mais présuppose la perfection des catégories.

(21) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs La représentation des entités par une approche prédicative, et la résolution de la référence par cette même approche, ne fonctionne que dans des cas très restreints. les cas imprécis ou relationnels doivent être traités de manière ad hoc, dans des modules hétérogènes approche non générique

(22) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Cas général et cas particuliers – le cas général pour tous les extracteurs semble être le type relationnel – cas particuliers : normes (carré parfait, couleur parfaite, taille de certaines entités) et leurs variations inter-personnelles Il faut trouver un modèle général pour les extracteurs relationnels et ensuite intégrer les cas particuliers des autres extracteurs

(23) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution S'appuie sur Domaines de Référence – [Corblin, Reboul, Salmon-Alt] Fondé sur une fonction de comparaison – la base de la représentation des extracteurs est une fonction de comparaison entre deux éléments. – la fonction est propre à l'extracteur, mais peut être composée à partir d'une autre (petit = inverse grand) insuffisant pour répondre à les X ou des X insuffisant pour répondre à tous les X car il faut exclure les éléments hors-jeu

(24) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Fonctions de partitionnement – à chaque extracteur une fonction de partitionnement : possibles/impossibles préférés/possibles Etapes de la résolution – tri – partitionnement possibles/impossibles – partitionnement préférés/possibles

(25) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Résolution – Extensionnelle (la liste des candidats) – Concrète (ne s'applique pas à des lambdas) – Fonctionnelle (fondé sur trois fonctions) – Différentielle (fonction de tri d'arité 2)

(26) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Schéma d'exécution d'un extracteur Liste des éléments Etapes pour calculer l'action de l'extracteur « carré » Tri Partition possibles/impossibles Partition préférés/possibles

(27) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Schéma d'exécution d'une expression référentielle contexte trié / carré contexte partitionné _1/ carré contexte partitionné _2/ carré contexte trié / grand contexte partitionné _1/ grand contexte partitionné _2/ grand Ce que voit l'utilisateur

(28) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II. Conclusion Mise en œuvre du modèle de résolution – Architecture d'interprétation support des topologies (surtout pour les extracteurs spatiaux et temporels), support de différentes modalités, support d'une grammaire, support des schémas cognitifs. – Modèle d'exécution Impossible avec une grammaire hors-contexte, approches alternatives : systèmes de production.

(29) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Modèle d'interprétation constructionnelle

(30) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Fondations Modèle intégrant langue et topologie Topologie – Logiques temporelles/spatiales [Allen, Ligozat] – Espaces Mentaux [Fauconnier, Turner] – Domaines de Référence [Corblin, Reboul, Salmon-Alt] Langue – Grammaire Cognitive [Langacker] – Grammaire de Construction [Fillmore, Kay] – Gr. Construction Incarnée [Chang, Bergen]

(31) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux

(32) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux Description des relations entre différents rôles d'une même entité – Structure les entités en différents espaces Dans ce film, Clint Eastwood joue un traître... le film Hollywood Acteur(Clint Eastwood) Rôle(traître)

(33) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux... Il a eu un oscar pour ce rôle le film Hollywood Acteur(Clint Eastwood) Rôle(traître)

(34) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux... Il se met toute la mafia sur le dos le film Hollywood Acteur(Clint Eastwood) Rôle(traître)

(35) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction

(36) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Principes de base – aucune distinction syntaxe/sémantique, – deux pôles : forme et sens, – construction : ce qui relie une forme donnée à son effet dans le pôle sens. Grammaire de Construction Incarnée – inclut les espaces mentaux – prolonge l'interprétation par une simulation mentale dynamique du sens

(37) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Principes de base – aucune distinction syntaxe/sémantique, – deux pôles : forme et sens (structures contenant des schémas pouvant représenter des schémas mentaux de la grammaire cognitive), – construction : ce qui relie une forme donnée à son effet dans le pôle sens. – forme : décrite par des contraintes sur les schémas

(38) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Grammaire de Construction Incarnée – inclut les espaces mentaux, – prolonge l'interprétation par une simulation mentale dynamique du sens, – quatre concepts : Schémas Construction Appariement Espace mental

(39) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Exemple : construction ditransitive – en anglais : Lih Juang bake Michael a cake, – la forme [ qqu'un VB qqu'un qqchose ] est porteuse du sens de donner, – cette relation est vraie pour un très grand nombre de verbes qui ne sont pas en soit porteurs du sens donner – on ne peut donc pas inscrire ce sens dans le lexique, ni prévoir un cas particulier pour chaque verbe.

(40) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction FormeSens Constructions Grammaire de Construction [Fillmore, Kay] Grammaire de Construction Incarnée [Chang, Bergen] FormeSens Constructions Espaces Mentaux Appariements

(41) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Objectif Forme linguistique Sens Forme visuelleForme temporelle

(42) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Moyens –espaces structurant l'information avec des informations d'ordre topologique, –constructions capables de décrire les formes dans ces espaces, – pas de distinction entre pôles forme et pôle sens / espaces mentaux.

(43) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue

(44) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Origine – référence à différents aspects d'une même entité, – inadéquation de l'héritage pour certains concepts. Méthode – définition d'une représentation d'une entité – définition des concepts et des relations entre eux

(45) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Référence à différents aspects – un tableau Point de vue matrice Point de vue suite de lignes Point de vue suite de colonnes

(46) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue – un cercle Point de vue centre + rayon Point de vue diamètre Point de vue cercle circonscrit centre rayon p1 p2 p1 p3

(47) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Inadéquation de l'héritage figure géométrique rectangle carré est-un

(48) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue – figure géométrique : déformable librement figure géométrique rectangle carré est-un Déformation : x : 100% y: 150%

(49) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Problème : – figure géométrique : non déformable librement ? ou – carré : pas une figure géométrique ? Solutions possibles : – un concept objet déformable librement – des cas particuliers non hérités (hors paradigme)

(50) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Autre solution : TPV – concepts : pas de structuration relationnelle statique – relations : transitions dynamique dépendantes du contexte Implication – carré est un point de vue sur une entité, – rectangle Peut Etre Vu comme un carré si H=L – Points de Vue non attachés aux entités, établis dynamiquement en fonction du contexte.

(51) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Types bas niveau Points de vue Transitions FigRect2D.Double Rectangle Carré RectangleCarré si H=L RectangleCarré FigRect2D.Double Rectangle

(52) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Conclusion Points principaux – Peut Etre Vu : pas une relation entre concepts, résumé de l'action d'une transition – pas d'héritage Remarques – a priori inadapté à la programmation, – mais plus proche de l'intuition, – encore plus lourd que les ontologies... – mais plus expressif

(53) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Modèle d'Interprétation Constructionnelle

(54) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC Schémas – Types et Points de vue – Attributs typés – Contraintes sur attributs

(55) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC Contextes – Espaces Mentaux, Domaines de Référence, Modèles logiques, Topologies Définis par – Lieux – Relations – Opérations

(56) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC Constructions Situées (S-Construction) – Composants, – Contraintes structurelles, – Contraintes contenu. Caractéristiques – liaison entre une forme répartie sur plusieurs contextes, et un sens qui peut l'être aussi, – transition de point de vue, – appariements.

(57) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC

(58) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Fonctionnement général

(59) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. MIC: conclusion Modèle capable de supporter – Systèmes de production [Newell, Anderson], – Grammaires de Constructions [Fillmore, Kay], – Espace Mentaux [Fauconnier], – Domaines de Référence [Corblin, Reboul, Salmon- Alt], – Ontologie Active - Théorie des points de vue Modèle de résolution implémenté dans MIC Architecture logicielle : MICO

(60) Guillaume Pitel - 17/09/2004 IV. Conclusion Modèle de résolution de la référence – références plurielles – prédicats vagues / relationnels Approche de la représentation par points de vue – TPV semble résoudre les inconsistences entre intuition et représentation ontologique – expressive – s'unifie avec les constructions

(61) Guillaume Pitel - 17/09/2004 IV. Conclusion Modèle d'interprétation constructionnel – modèles s'appuyant sur des structures dotées d'une topologie – plus large que grammaire de construction Opérationnalisation du modèle – contraintes pondérées – analyse guidée bi-directionnellement, s'appuyant sur les contextes

(62) Guillaume Pitel - 17/09/2004 IV. Perspectives Validation – Validation opérationnelle de MICO – Validation théorique de MIC : implémentation des approches fondatrices – Modèle de résolution dans MICO – Généricité FRAMENET Situé Système de Dialogue complet et opérationnel