Jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) Diagrammes de Feynman et particules virtuelles Echange de particules réelles.

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Transcription de la présentation:

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) Diagrammes de Feynman et particules virtuelles Echange de particules réelles – virtuelles Ecrantage et anti-écrantage – images intuitives Le problème du confinement La convergence des constantes de couplage … et si il y avait plus de 4 dimensions: Léchelle de Planck existe-t-elle? Sensibilité à toutes les échelles Pourquoi seules les théories renormalisables survivent Renormalisation réglage fin à tous les ordres Supersymétrie? Contraintes sur les particules non encore vues.

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Petite remarque : Y a-t-il une échelle de Planck?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) Les diagrammes de Feynman ne sont quun intermédiaire de calcul, et ne représentent pas une réalité physique … toutefois… ne représente en général quune recette pour écrire une intégrale…

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) Si les conditions dénergie permettent la désintégration, une partie de cette intégrale porte sur des particules réelles, Elle fournit alors une partie imaginaire, qui est la probabilité de disparition du W Pour le reste, on parle de particules « virtuelles » (hors de la couche de masse); la notion est si utile dans les calculs quelle prend une « réalité » propre: on parle de leffet de léchange de ces particules virtuelles sur lintensité de linteraction

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) g2g2 p 2 – M Modification de la masse et de la force du couplage, voire de la « largeur »

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) Image intuitive:

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) Anti-écrantage? Linteraction croît avec la distance

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Kazakov, 2001 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….)

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 2 : Vide …. (Polarisation du ….) =( (m W /m Z cos ( W )) 2 Pour un doublet non dégénéré, Ci = 1 pour singlet de couleur, 3 pour triplet

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Moriond 2003,

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Implications phénoménologiques

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 3 : Brisure(s) de symétrie, masses,… Pourquoi recourir à des symétries brisées Renormalisabilité, Vecteur Massif $ Boson de Goldstone Un point de didactique: formulation du modèle SU(2) L X U(1) Pourquoi il faut oublier Q= T 3 +Y/2 Brisure de symétrie, Bosons de Goldstone identification du photon Identification de lélectron Equivalence des approches de Brout-Englert et Higgs

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Voir notes au tableau / notes de cours Quelques points importants: Le propagateur vectoriel massif se comporte comme une constante pour |q | ! 1 Ce qui entraîne de nouvelles divergences à tous les ordres dans les diagrammes en boucle. Une infinité de constantes de soustractions requises rend la théorie non renormalisable, et donc non prédictive Dans le cas de la brisure spontanée, dans la formulation de Brout et Englert, ce propagateur est remplacé par deux termes: un boson massif en jauge de Landau au propagateur modifié par m 2 ! q 2, et dautre part, le propagateur dun boson de Goldstone. Chaque terme se comporte « proprement » pour, et la théorie nest pas plus divergente que la théorie (de jauge) non brisée; dans la diffusion de fermions extérieurs réels, les deux calculs sont équivalents, ce qui établit léquivalence des approches de Brout-Englert et Higgs

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Chaque terme se comporte « proprement » pour, et la théorie nest pas plus divergente que la théorie (de jauge) non brisée; dans la diffusion de fermions extérieurs réels, les deux calculs sont équivalents, ce qui établit léquivalence des approches de Brout-Englert et Higgs e muon e muon e muon + =

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Comment ? Brisure de symétrie et théorème de Goldstone: Une vision intuitive. Un système instable se brise, et conduit à un ensemble de « nouveaux vides » dégénérés. La dégénérescence se traduit par une dérivée seconde V nulle, càd, une excitation de masse nulle selon chacune des directions de dégénérescence du vide

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Il insiste sur un point de départ symétrique sous SU(2): Cest une erreur dimposer dès le départ Q= T 3 +Y/2 : Cela revient en effet à privilégier dès labord une direction (T 3 ) de SU(2) Cest au contraire la brisure elle-même qui détermine quelle combinaison correspond au photon, et choisit la direction de charge Il en va de même pour lidentification du neutrino et de lélectron: Au départ on na que \psi_1 et \psi_2, symétriques dans leurs propriétés. Le détail du calcul est fait au tableau, Les couplages « Y » des fermions au U(1) sont arbitraires, et fixés par la phénoménologie. Ce nest que dans des groupes étendus, comme SU(5) ou SO(10) que lon a de véritables prédictions Toutefois, la différence des charges de membres dun doublet est un reste de la symétrie non abélienne: Q(u) – Q(d) = Q( ) – Q(e)

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 On a donc limage: Électro- magnétisme Interaction faible Par ailleurs, Les masses des fermions peuvent aussi être liées à la brisure de symétrie par des couplages de Yukawa. Cest toutefois plutôt une conséquence des particularités chirales du modèle standard quune exigence théorique fondamentale

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 On observe que le couplage entre scalaires et fermions est dordre = g m fermion / m W, cest à dire, minuscule pour lélectron Exercice: en déduire pourquoi la limite inférieure sur la masse du scalaire au LEP II nest que de 113 GeV, alors que lénergie dans le centre de masse dépasse 200 GeV

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 On vérifie explicitement que la masse du scalaire restant (un doublet scalaire = 4 degrés de liberté, dont 3 Goldstones, qui seront absorbés par les W) reste arbitraire. Pour sauvegarder le caractère perturbatif, on la suppose toutefois inférieure à 1000 GeV (limite sur ) On sattend à une masse comprise entre 100 (limite exp) et 1000 GeV.

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Parenthesis …. (-: Dirac, Majorana, Weyl neutrinos and mass terms ?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Each of them can be used to describe gauge interactions of the corresponding fermion: In 3+1 dimensions, the 4-component Dirac spinor is redundant, at least for massless particles. The Lorentz group accepts in fact 2 independent 2-component rep., called Weyl spinors, which should be seen as independent particles This far, Majorana not even mentioned!

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Possible Lorentz invariants (mass terms): Lead to the most general mass matrix « Majorana » mass « Dirac »

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Majorana and Dirac are somewhat improper terms here, The general case is in fact Majorana. Traditionnally, « Majorana mass » term refers to a fermion-number violating term, while Dirac means fermion-number conserving. invariant Violate fermion number by 2 units, Obviously, when both kinds of terms are present, fermion number is violated, and one cannot speak of « Dirac » anymore > Neutrinoless double beta >leptogenesis

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 This far, we have not mentioned « Majorana spinors », Only Majorana mass terms. In fact, they are independent notions! We first need to define the charge conjugation (which permutes Particle and antiparticle) For a 4-component spinor: Still without mentioning Majorana spinors, the « Majorana mass » term can be written

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 On the other hand, the Majorana condition, leading to Majorana spinors, is a different constraint: In 4 dimensions, this, like the Weyl condition, restricts the 4-spinor to 2 independent entries: In 4 dimensions, the physical content of a Majorana and a Weyl spinor are thus equivalent, separate Majorana can be constructed to describe respectively L and R This is not true in more dimensions! In suitable basis, leads to REAL spinor

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Amusingly, a Dirac spinor with Dirac mass can be written in terms of 2 Majorana spinors; BUT the invariance is restored because the masses of the 2 Majorana spinors are « equal and opposite in sign » One Dirac Fermion 2 Majorana spinors with opposite masses

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Majorana mass terms and Majorana spinors are logically Independent quantities: in 4+1 dimensions, for instance, we cannot have Majorana spinors. is indeed irreducible in 4+1 dim, so that the Majorana condition cannot be imposed..but Majorana-type mass terms ARE permitted

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 To come back to our general neutrino mass matrix, The diagonalisation leads to 2 Majorana or Weyl spinors; For M 1 = 0, and m<<M 2 one gets the familiar See-Saw eigenstates and values

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Assuming the neutrino are massive, why dont we observe the opposite chirality? Closing this parenthesis on Weyl/Majorana, let us return to the general question of mass..

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 End of Parenthesis …. -:) Dirac, Majorana, Weyl neutrinos and mass terms ?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 4 : Compléments…et Perspectives Brisures de symétries: pourquoi recourir à des scalaires ? Ordre de grandeur des énergies libérées et comparaison aux paramètres cosmologiques Energie du vide, Pour le modèle Standard Dans une perspective cosmologique Evolution thermique – transitions de permier ou second ordre? Remarques sur le choix des scalaires masse des neutrinos: R ou triplet scalaire? Masses: un phénomène de basse énergie? Structure du vide et dimensions supplémentaires, A 4+1 dimensions: une piste pour lorigine des masses une piste pour la violation de CP A 5+1 dimensions: origine des familles de fermions?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 4 : Compléments…et Perspectives Brisures de symétries: pourquoi recourir à des scalaires ? Ordre de grandeur des énergies libérées et comparaison aux paramètres cosmologiques Energie du vide, Pour le modèle Standard Dans une perspective cosmologique Evolution thermique – transitions de permier ou second ordre? Remarques sur le choix des scalaires masse des neutrinos: R ou triplet scalaire? Masses: un phénomène de basse énergie? Structure du vide et dimensions supplémentaires, A 4+1 dimensions: une piste pour lorigine des masses une piste pour la violation de CP A 5+1 dimensions: origine des familles de fermions?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Pourquoi des scalaires? La brisure spontanée de symétrie repose sur des valeurs « classiques » des champs: Ceci signifie quelles représentent la limite dun grand nombre de quanta. Cest impossible pour des fermions, en raison du principe de Pauli (ou plutôt, de la relation spin-statistique déjà rencontrée). En principe, on pourrait considérer la valeur moyenne dans le vide dun vecteur, mais, à première vue, cela brise dinvariance de Lorentz (il est parfois possible de la rétablir par transformation de jauge) Nous avons déjà vu combien les scalaires sont indésirables (nombre de paramètres introduits par les couplages de Yukawa et les couplages entre scalaires), et insisté sur le fait que lon essayait de les éliminer ou de les contraindre (supersymétrie, approche de Kaluza-Klein) – pourquoi les introduire alors dans la brisure spontanée?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Mais de tels scalaires ne sont parfois que des représentations intermédiaires. Par exemple: en supraconductivité, où ils représentent la condensation de paires de fermions en théorie de perturbation chirale, où les champs et représentent des états liés de quarks, et pas des champs fondamentaux Pourquoi des scalaires? Ici aussi, ils peuvent nêtre quune représentation intermédiaire dun mécanisme plus profond : brisure dynamique, « technicolor », reposant en général sur la brisure de symétrie chirale par condensation de paires fermioniques

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 4 : Compléments…et Perspectives Brisures de symétries: pourquoi recourir à des scalaires ? Ordre de grandeur des énergies libérées et comparaison aux paramètres cosmologiques Energie du vide, Pour le modèle Standard Dans une perspective cosmologique Evolution thermique – transitions de permier ou second ordre? Remarques sur le choix des scalaires masse des neutrinos: R ou triplet scalaire? Masses: un phénomène de basse énergie? Structure du vide et dimensions supplémentaires, A 4+1 dimensions: une piste pour lorigine des masses une piste pour la violation de CP A 5+1 dimensions: origine des familles de fermions?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Potentiel scalaire et énergie du vide La position du minimum est mesurée avec précision, mais la forme exacte du potentiel nest pas connue (et varie en fonction du bain thermique )

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Nous avons vu, avec le potentiel du champ de Brout-Englert-Higgs: V = ( ( + ) – v 2 /2) 2 Ce qui correspond à une densité dénergie > (10 11 eV) 4, alors que la constante cosmologique actuelle est < (10 -3 eV) 4 mesuré avec précision (masse du Z) Dépend de (inconnu), càd de la masse du scalaire. On attend des valeurs (entre 100 et 1000 GeV) 4

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Pour une transition isolée, on peut évidemment choisir le zéro du potentiel, et ajuster lénergie du vide, toutefois: cet ajustement est extrême, au vu des ordres de grandeur en présence il nest possible en principe que pour une transition, or il y a (au moins) La transition électrofaible La transition quark-gluon vers nucléons Et peut-être: La brisure de SO(10) ou SU(5) vers SU(3) X SU(2) X U(1) La brisure de supersymétrie

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Enfin, lévolution du potentiel scalaire peut être évaluée dans un Univers caractérisé comme un bain thermique. La forme du potentiel évolue, et détermine en outre la nature de la transition.

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 4 : Compléments…et Perspectives Brisures de symétries: pourquoi recourir à des scalaires ? Ordre de grandeur des énergies libérées et comparaison aux paramètres cosmologiques Energie du vide, Pour le modèle Standard Dans une perspective cosmologique Evolution thermique – transitions de permier ou second ordre? Remarques sur le choix des scalaires masse des neutrinos: R ou triplet scalaire? Masses: un phénomène de basse énergie? Structure du vide et dimensions supplémentaires, A 4+1 dimensions: une piste pour lorigine des masses une piste pour la violation de CP A 5+1 dimensions: origine des familles de fermions?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Such a triplet is NOT forbidden, but its vacuum expectation value would enhance the ratio M_W /M_Z cos(\theta). In practice the limit is simply, which is not much of a fine tuning. In the Standard Model without R, « low energy »Majorana mass for light neutrinos would need a triplet with coupling La c ab Lb In fact, this adds exactly the same number of degrees of freedom (3 \times 2 –for 3 complex scalars) as the more commonly advocated see-saw approch (3 Weyl fermions) and does not require a new scale.

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 But fermion masses dont need to be « pure » low energy! Well-known example: see saw This triplet can in fact be simulated by 2 doublets, linked by a heavy particle, the right-handed Majorana neutrino: a poor mans triplet! This mass contribution mixes high and low energy scales! L L R R M

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 One more example L mass for free !! No R added ! Absolutely no particle added * * Beyond the usual susy MSSM PARTICLE JUNGLE !!!

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 The basic ingredient is a subleading interaction between 4 scalars (H, sneutrinos), of order F/ Mmediator 2 The chiral transition however involves a at low scale, and is linked to the Zino mass This is a commercial for jmf, M. Libanov, S. Troitsky, PLB 479,343,2000 -no right-handed -L violation linked to susy breaking - not explicitly factorized

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 List of subleading couplings, From S. P Martin, Phys.Rev.D61:035004,2000

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Order of magnitude estimate: Susy breaking in hidden sector = F Mediator mass M mediator such that F/M med = m susy =1 TeV, The new coupling is With h approx. F/M 2 med Need either new mediator scale (gauge …) or can only generate mass differences.

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Can we generalize this to the other fermions? First idea: universal see-saw uLuL uRuR L R U L+R Much simpler structure than usual LR model (two doublets instead of bidoublet) easy to supersymmetrize but need one heavy partner U for each particle species, and even nearly for each generation…--same for D,E,N…

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 uLuL (u R ) c From subleading susy breaking - no need for heavy vectorlike U,D,E,N - flavour is transfcrred by existing s-partners - chiral breaking at low energy form susy breaking Implications for axions? -orders of magnitude OK for light quarks, -but tight for top quark --remains to explain matrix structure of in generation space jmf + E. Ma, PRD68,051701,2003 v R = v L = vLvL vRvR

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Yet, this scheme has some interesting points -- light fermion masses and chirality breaking originate from TeV –scale susy breaking -- mass structure (texture) : linked to high energy/compactification -- despite L R structure, no new FCNC effects -- U(1), Axions : implications to be explored

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Cours 4 : Compléments…et Perspectives Brisures de symétries: pourquoi recourir à des scalaires ? Ordre de grandeur des énergies libérées et comparaison aux paramètres cosmologiques Energie du vide, Pour le modèle Standard Dans une perspective cosmologique Evolution thermique – transitions de permier ou second ordre? Remarques sur le choix des scalaires masse des neutrinos: R ou triplet scalaire? Masses: un phénomène de basse énergie? Structure du vide et dimensions supplémentaires, A 4+1 dimensions: une piste pour lorigine des masses une piste pour la violation de CP A 5+1 dimensions: origine des familles de fermions?

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Before going to more than 3+1 dimensions, Must apologize for being WASTEFUL … In 4+1 dim, Minimal spinor has 4 components, In 5+1 dim, Minimal (chiral) spinor has 4 components, Dirac has 8 Reduction to 3+1 Fermion masses and structure from extra dimensions

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 to keep only chiral spinors : use of topological singularities in the extra dimensions, e.g x 4 =y Solitonic background index theorem localizes one chiral Fermion e i n dim dim Vortex with winding number n localizes n chiral massless fermion modes in 3+1

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 The 5-dim m is not the physical mass, but leads to different localisations of fermion fields Overlap = determines fermion masses and mixings In principle, not very attractive: just map mass patterns into cartography of the extra dimension, with strong sensitivity due to the « gaussian tails »….. (3+1)+1 dim: Multilocalisation m m 1 2

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Many works in this direction…(see refs) Actually one pretty strong constraint comes from the obligation to localize both members of a left doublet (e and neutrino ) at the same point. Using a coarse scanning, Dirac + Majorana mass terms we get typically M MAJ L =10 -2 eV.01<sin 13 < 0.1 Extension to Randall-Sundrum : (G. Moreau) jmf, G. Moreau, E Nezri, Phys.Rev.D69:033003,2004

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Some refs…

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jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Gauge interactions respect CP, How can gauge interaction appear from extradimensions? New mechanisms? CP violation from extra dimensions

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Much work on the subject:

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Since 4 = i 5, the last term corresponds in 3+1 to a pseudocscalar term, Can generate CP violation, starting from purely real parameters, and even breaking of the group; Hosotani loop:

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Redefining the masses to be real, get complex couplings: Which lead to a « W3 »-dipole moment In a toy SU(2) context, choose the Hosotani loop to break the group in the 3 direction, and get

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Simple example : jmf, N. Cosme and L Lopez, Phys.Rev.D68:096001,2003 Unification example : need SO(11 ) jmf + N Cosme Phys.Rev.D69:036003,2004.

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/ families from one in 5+1 dim = e i n Just a reminder: we assume a background scalar field providing a vortex in the 2 extra dimensions; It vanishes at the origin– where we live! We add a B-E-H scalar, which could have the shape: The 3 fermion modes have different shapes, and different winding properties in the extra dimension variable In coll. with S Troitsky,M Libanov, E Nugaev e i 2 e i 1 For some reason, n=3

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 We get a mass matrix like : n = An auxiliary scalar, with winding e i can give the small Cabibbo mixings IMPORTANT : « family number » (n) is approximatively conserved ! - somewhat like U(1) horizontal symmetry e i

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Recent dvpts : - compactification of the 2 extra dim on a sphere (avoid localisation of gauge bosons -phenomenological implications of the excited modes.. Z possesses Kaluza-Klein excitations 2 types : - radial (flavor conserving - angular : Z 1 behaves like e i

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 d s c u Flavour conserving s d e Flavour violating, Z1Z1 LIMITS Family number conserving IMPORTANT : « family number » (n) is approximatively conserved ! - somewhat like U(1) horizontal symmetry e i Z possesses Kaluza-Klein excitations - angular : Z 1 behaves like e i

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Typical limit K L - e + or + e - B.R. < Expect thus typical mass scale M Z1 > (10 12 ) 1/4 M Z =100 TeV In fact, overlap of wave functrions implies some suppression of the coupling; bound becomes M(Z 1 ) > 100 TeV LIMITS

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 = 100 TeV/M Z1 (anti-t) + c, (or anti b and s) are mediated bygluon excitations, typically a few 1000, …but need to consider background LHC (1 year high lumin, 100 fb -1 ) numbers for - e + are one order below

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 An afterthought…a Lorentz-invariant example of decoherence Going back to a nearly excluded approach: Left-handed neutrinos localized on a brane, interacting with bulk neutrinos… The anharmonic character leads to chaotic interference (at the difference of harmonic approximations)

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 A few references This work : Cosme, jmf, Gouverneur, Ling, Monderen, VanElewyck Phys.Rev.D63:113018,2001

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 = 0.1,1/3,1,3 from top to bottom

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 Survival rate Fluctuation of survival rate Decoherence in a chaotic way..

jm frèreEcole de GIF- Marseille 9/2005 But the simplest mechanism (2 active neutrinos coupled to one bulk state) fails with SNO … some room left however for sterile neutrino coupling through uncertainty of the solar B flux. With 2 neutrinos coupled to one bulk state, can induce flavour change, and oscillation-disparition e bulk e.g. atmosph neutrino