La statistique de la semaine Le nombre de cartes de crédit La statistique de la semaine Le nombre de cartes de crédit 22 novembre 2007 Eric Pineault, département de sociologie, UQAM 22 novembre 2007 Eric Pineault, département de sociologie, UQAM 61 millions
C’est le nombre de cartes de crédit Visa et Mastercard en usage au Canada en 2005, soit en moyenne 2,3 2,3 cartes par adulte C’est le nombre de cartes de crédit Visa et Mastercard en usage au Canada en 2005, soit en moyenne 2,3 2,3 cartes par adulte
La croissance des cartes de crédit
Un endettement sur cartes qui va croissant mais qui n’est que la pointe de l’iceberg …
Évolution du crédit des salariés au Canada
Le papier commercial et la titrisation de l’économie
La titrisation Rend liquide un actif qui ne l’est pas Allège le bilan du prêteur et donc ouvre une marge pour du crédit supplémentaire Transfère en partie ou en totalité le risque du créancier à un tiers Exemples de titres Obligations de sociétés Papier commercial Papier commercial adossé à un actif (PCAA) Rend liquide un actif qui ne l’est pas Allège le bilan du prêteur et donc ouvre une marge pour du crédit supplémentaire Transfère en partie ou en totalité le risque du créancier à un tiers Exemples de titres Obligations de sociétés Papier commercial Papier commercial adossé à un actif (PCAA)
De l’expansion du crédit … Le marché canadien est un peu différent du marché américain, mais dans les deux cas, on note un couplage étroit entre l’expansion du crédit à la consommation et la titrisation comme stratégie d’accumulation des acteurs financiers Il y a eu depuis 20 ans une transformation radicale dans la culture de l’endettement, du crédit et de la faillite Le marché canadien est un peu différent du marché américain, mais dans les deux cas, on note un couplage étroit entre l’expansion du crédit à la consommation et la titrisation comme stratégie d’accumulation des acteurs financiers Il y a eu depuis 20 ans une transformation radicale dans la culture de l’endettement, du crédit et de la faillite
…. à la crise de liquidité, …. à la crise de liquidité, À partir du mois d’août les marchés globaux des titres de type, papier commercial AA se figent subprime réaction à la fin de la bulle de l’immobilier résidentiel aux USA et en particulier à la composante subprime Credit crunch Le « Credit crunch » se diffuse aux autres segments du marché monétaire, dont le marché interbancaire et ensuite aux marchés des obligations privées Les banques centrales injectent massivement de l’argent dans le circuit À partir du mois d’août les marchés globaux des titres de type, papier commercial AA se figent subprime réaction à la fin de la bulle de l’immobilier résidentiel aux USA et en particulier à la composante subprime Credit crunch Le « Credit crunch » se diffuse aux autres segments du marché monétaire, dont le marché interbancaire et ensuite aux marchés des obligations privées Les banques centrales injectent massivement de l’argent dans le circuit
avec dans l’oeil du cyclone les titres courts soit des pertes estimées entre 3,4 et 5,1 milliards de $La valeur du papier commercial non bancaire est estimée, au Canada, à 34 milliards de $. Les optimistes continuent de croire que la dépréciation de ce papier sera de l’ordre de 10 à 15 %, soit des pertes estimées entre 3,4 et 5,1 milliards de $ « Le problème c’est que nous ne savons plus qui est propriétaire de quoi et donc qui est exposé à quel niveau de risque …» « Le problème c’est que nous ne savons plus qui est propriétaire de quoi et donc qui est exposé à quel niveau de risque …» Clément Gignac, Économiste en chef de la Banque Nationale, août % de la valeur des titres.19 novembre 2007 : Les pertes liées aux positions de papier commercial adossé à des actifs non bancaires ont obligé la Banque nationale à inscrire une perte de 575 millions de $, soit 25 % de la valeur des titres. On commence à être plus proche de la vérité…. soit des pertes estimées entre 3,4 et 5,1 milliards de $La valeur du papier commercial non bancaire est estimée, au Canada, à 34 milliards de $. Les optimistes continuent de croire que la dépréciation de ce papier sera de l’ordre de 10 à 15 %, soit des pertes estimées entre 3,4 et 5,1 milliards de $ « Le problème c’est que nous ne savons plus qui est propriétaire de quoi et donc qui est exposé à quel niveau de risque …» « Le problème c’est que nous ne savons plus qui est propriétaire de quoi et donc qui est exposé à quel niveau de risque …» Clément Gignac, Économiste en chef de la Banque Nationale, août % de la valeur des titres.19 novembre 2007 : Les pertes liées aux positions de papier commercial adossé à des actifs non bancaires ont obligé la Banque nationale à inscrire une perte de 575 millions de $, soit 25 % de la valeur des titres. On commence à être plus proche de la vérité….