CHAPITRE 2 LES CONCEPTS OBJETS LES CONCEPTS OBJETSDEFINITIONS ORIGINES ET JUSTIFICATION UTILISATION DES CONCEPTS OBJETS
CHAPITRE 3 CHAPITRE 3 TROIS OBJECTIFS : TROIS OBJECTIFS : – PRESENTER LES CONCEPTS OBJET TELS QUILS SONT DEFINIS ET UTILISES EN GENIE LOGICIEL. – JUSTIFIER LEURS ORIGINES. –MONTRER COMMENT NOUS SOUHAITONS LES UTILISER EN CONCEPTION.
DEFINITIONS DEFINITIONS 1. LES OBJETS : 1. LES OBJETS : UN OBJET COMPREND : –UNE PARTIE DYNAMIQUE QUI REPRESENTE LENSEMBLE DES OPERATIONS REALISABLES PAR LOBJET. CES OPERATIONS SONT APPELEES METHODES. – UNE PARTIE STATIQUE QUI REPRESENTE SON ETAT. LETAT DUN OBJET EST CARACTERISE PAR LENSEMBLE DES VALEURS ASSOCIEES A CHAQUE ATTRIBUT (PROPRIETE).
DEFINITIONS DEFINITIONS EXEMPLE : EMPLOYE1 ET EMPLOYE2 SONT DEUX OBJETS POSSEDANT LES MEMES ATTRIBUTS (NOM, PRENOM, VILLE, SALAIRE) ET LES MEMES METHODES (MODIFIER_ADR, MODIFIER_SALAIRE). Dupont Guillaume Toulouse 2500 euros Modifier_Adr Modifier_Salaire Employé1 Employé2 Durand Valentin Nice 2000 euros Modifier_Adr Modifier_Salaire
DEFINITIONS DEFINITIONS 2. LES CLASSES : 2. LES CLASSES : – LORSQUE PLUSIEURS OBJETS POSSEDENT DES VALEURS ASSOCIEES A UN MEME ENSEMBLE DATTRIBUTS ET DES METHODES IDENTIQUES, IL EST UTILE DE CREER UN MODELE PLUS GENERAL APPELE CLASSE. –UNE CLASSE EST DONC UN MOULE A PARTIR DUQUEL SONT CREES LES OBJETS. –UNE CLASSE EST DONC UN MOULE A PARTIR DUQUEL SONT CREES LES OBJETS. –LE MECANISME DE CREATION DOBJETS EST APPELE INSTANCIATION. –LES INSTANCES DUNE CLASSE (OBJETS) POSSEDENT DES VALEURS ASSOCIEES A UN MEME ENSEMBLE DATTRIBUTS.
DEFINITIONS DEFINITIONS 3. LES CATEGORIES DATTRIBUTS ET DE METHODES 3. LES CATEGORIES DATTRIBUTS ET DE METHODES CONSIDERONS UN EMPLOYE QUI POSSEDE UN NOM, UN PRENOM, UNE ADRESSE ET UN SALAIRE. ON SOUHAITE EFFECTUER LES OPERATIONS SUIVANTES : – MODIFIER LADRESSE DE LEMPLOYE –MODIFIER SON SALAIRE –CONNAITRE LE NOMBRE DEMPLOYES
DEFINITIONS DEFINITIONS LA CLASSE A CONSIDERER POUR CET EXEMPLE EST : Nom Prénom Adresse Salaire Nb_Emp Modifier_Adr Modifier_Salaire FournirNb_Emp Employé
DEFINITIONS DEFINITIONS ON APPELLE ATTRIBUT INDIVIDUEL TOUT ATTRIBUT POUR LEQUEL CHAQUE INSTANCE POSSEDE UNE VALEUR (NOM, PRENOM, ADRESSE, SALAIRE). ON APPELLE ATTRIBUT INDIVIDUEL TOUT ATTRIBUT POUR LEQUEL CHAQUE INSTANCE POSSEDE UNE VALEUR (NOM, PRENOM, ADRESSE, SALAIRE). ON APPELLE ATTRIBUT COLLECTIF TOUT ATTRIBUT POSSEDANT UNE SEULE VALEUR PARTAGEE PAR LENSEMBLE DES INSTANCES. ON APPELLE ATTRIBUT COLLECTIF TOUT ATTRIBUT POSSEDANT UNE SEULE VALEUR PARTAGEE PAR LENSEMBLE DES INSTANCES.
DEFINITIONS DEFINITIONS ON APPELLE METHODE INDIVIDUELLE TOUTE METHODE SAPPLIQUANT A CHAQUE INSTANCE (MODIFIER_SALAIRE). ON APPELLE METHODE INDIVIDUELLE TOUTE METHODE SAPPLIQUANT A CHAQUE INSTANCE (MODIFIER_SALAIRE). ON APPELLE METHODE COLLECTIVE TOUTE METHODE SAPPLIQUANT A LENSEMBLE DES INSTANCES, CEST A DIRE A LA CLASSE (FOURNIR_NBEMP). ON APPELLE METHODE COLLECTIVE TOUTE METHODE SAPPLIQUANT A LENSEMBLE DES INSTANCES, CEST A DIRE A LA CLASSE (FOURNIR_NBEMP).
DEFINITIONS DEFINITIONS LORS DE LIMPLEMENTATION TOUT OBJET A UN IDENTIFICATEUR APPELE IDOBJET, CET IDOBJET EST CONSTRUIT LORS DE LA CREATION DE LINSTANCE. LORS DE LIMPLEMENTATION TOUT OBJET A UN IDENTIFICATEUR APPELE IDOBJET, CET IDOBJET EST CONSTRUIT LORS DE LA CREATION DE LINSTANCE. ON PEUT NOTER QUE LE PROBLEME DE LIDENTIFICATION DES OBJETS NE POSE AUCUNE DIFFICULTE AU NIVEAU DE LA PROGRAMMATION PUISQUUN IDENTIFICATEUR (OBLIGATOIRE) EST PREVU. ON VERRA QUE CE PROBLEME EST PLUS OU MOINS BIEN RESOLU EN CONCEPTION.
DEFINITIONS DEFINITIONS 4. LES MESSAGES 4. LES MESSAGES CHAQUE OBJET REAGIT A DES MESSAGES (ENVOYES PAR DAUTRES OBJETS) ET EMET LUI-MEME DES MESSAGES VERS DAUTRES OBJETS. LES METHODES : – DEFINISSENT LES INFORMATIONS NECESSAIRES POUR CHAQUE MESSAGE –DECRIVENT LES TRAITEMENTS REALISES PAR LES OBJETS LORS DE LA RECEPTION DES MESSAGES.
DEFINITIONS DEFINITIONS 5. LENCAPSULATION 5. LENCAPSULATION LIDEE DE BASE EST DE CONSTRUIRE UNE BOITE NOIRE (LA CLASSE), EN CACHANT LES STRUCTURES DE DONNEES QUI SY TROUVENT, AINSI QUE LE CODE DES METHODES. LE CONCEPT DENCAPSULATION PERMET DATTEINDRE DEUX OBJECTIFS ESSENTIELS.
DEFINITIONS DEFINITIONS 1 LA DISSIMULATION DES INFORMATIONS INTERNES QUI PERMET DE CHANGER (DANS CERTAINES LIMITES) LES ATTRIBUTS, LES METHODES ET /OU LE CODE DES METHODES DUNE CLASSE, SANS QUE LUTILISATEUR DE CETTE CLASSE NAIT A MODIFIER SON PROPRE CODE. 1 LA DISSIMULATION DES INFORMATIONS INTERNES QUI PERMET DE CHANGER (DANS CERTAINES LIMITES) LES ATTRIBUTS, LES METHODES ET /OU LE CODE DES METHODES DUNE CLASSE, SANS QUE LUTILISATEUR DE CETTE CLASSE NAIT A MODIFIER SON PROPRE CODE. 2 LA PROTECTION DES ATTRIBUTS PAR RAPPORT A DES ACCES NON AUTORISES QUI EST GARANTIE PAR LE FAIT QUE LES ATTRIBUTS SONT CACHES. 2 LA PROTECTION DES ATTRIBUTS PAR RAPPORT A DES ACCES NON AUTORISES QUI EST GARANTIE PAR LE FAIT QUE LES ATTRIBUTS SONT CACHES.
DEFINITIONS 6. LHERITAGE LHERITAGE PERMET DE CONSTRUIRE DES HIERARCHIES DE CLASSES : UNE CLASSE POSSEDE LES ATTRIBUTS ET LES METHODES DE LA (OU DES) CLASSE(S) DE NIVEAU SUPERIEUR (SUPER-CLASSE). Personne Nom Adresse Afficher_identité Modifier Donner_Statut Taux_Horaire Nb_Heure Calculer_Salaire Modifier Donner_Statut Employé Directeur Salaire_Base Prime Calculer_Salaire Modifier Donner_Statut
DEFINITIONS 7. LA COMPOSITION LA COMPOSITION PERMET DE CREER DE NOUVELLES CLASSES COMPOSEES DAUTRES CLASSES (EXISTANTES). Fenêtre Icône Ascenseur Icône LA CLASSE FENETRE A DEUX ATTRIBUTS QUI PRENNENT POUR VALEUR DES INSTANCES DES CLASSES ICONE ET ASCENSEUR. ON PEUT AVOIR PLUSIEURS INSTANCES DE LA CLASSE FENETRE POSSEDANT UNE MEME INSTANCE DE LA CLASSE ICONE.
DEFINITIONS DEFINITIONS 8. LA SURCHARGE UNE METHODE EST IDENTIFIEE PAR SA SIGNATURE (NOM DE LA METHODE, NOMBRE ET/OU TYPE DE CHAQUE PARAMETRE). LA SURCHARGE EST LA POSSIBILITE DE DONNER LE MEME NOM A DES METHODES AYANT DES SIGNATURES DIFFERENTES.
DEFINITIONS 9. LE POLYMORPHISME LE POLYMORPHISME CONCERNE LES METHODES AYANT MEME SIGNATURE, CONTRAIREMENT A LA SURCHARGE. TROIS CAS DIFFERENTS RELEVENT DU POLYMORPHISME. 1°) POLYMORPHISME DINCLUSION (DE CLASSE) 1°) POLYMORPHISME DINCLUSION (DE CLASSE) IL EST INDUIT PAR LHERITAGE. IL EST INDUIT PAR LHERITAGE. IL CORRESPOND AU FAIT QUUNE METHODE APPARTENANT A DEUX SOUS-CLASSES DOIT APPARAITRE DANS LA CLASSE MERE SI LON VEUT POUVOIR GERER DES ENSEMBLES DOBJETS HETEROGENES. IL CORRESPOND AU FAIT QUUNE METHODE APPARTENANT A DEUX SOUS-CLASSES DOIT APPARAITRE DANS LA CLASSE MERE SI LON VEUT POUVOIR GERER DES ENSEMBLES DOBJETS HETEROGENES.
DEFINITIONS 2°) POLYMORPHISME DE METHODE 2°) POLYMORPHISME DE METHODE IL CORRESPOND A LA POSSIBILITE DE DEFINIR DANS DEUX CLASSES DIFFERENTES DUNE MEME HIERARCHIE DEUX METHODES DE MEME SIGNATURE ET DE CODE DIFFERENT. IL CORRESPOND A LA POSSIBILITE DE DEFINIR DANS DEUX CLASSES DIFFERENTES DUNE MEME HIERARCHIE DEUX METHODES DE MEME SIGNATURE ET DE CODE DIFFERENT. 3°) POLYMORPHISME DE CODE 3°) POLYMORPHISME DE CODE IL PERMET A UNE METHODE DETRE HERITEE AVEC UN CODE DIFFERENT DE CELUI DE SA CLASSE DORIGINE. IL PERMET A UNE METHODE DETRE HERITEE AVEC UN CODE DIFFERENT DE CELUI DE SA CLASSE DORIGINE.
DEFINITIONS LE POLYMORPHISME PERMET DONC DE RESOUDRE LE PROBLEME FONDAMENTAL SUIVANT : LORSQUUN OBJET REÇOIT UN MESSAGE : LORSQUUN OBJET REÇOIT UN MESSAGE : SI LA METHODE QUI DOIT TRAITER CE MESSAGE NEST PAS DEFINIE DANS LA CLASSE DE CET OBJET, SI LA METHODE QUI DOIT TRAITER CE MESSAGE NEST PAS DEFINIE DANS LA CLASSE DE CET OBJET, LA RECHERCHE DE CETTE METHODE SEFFECTUE AUTOMATIQUEMENT EN REMONTANT DANS LA HIERARCHIE. LA RECHERCHE DE CETTE METHODE SEFFECTUE AUTOMATIQUEMENT EN REMONTANT DANS LA HIERARCHIE.
ORIGINES ORIGINES TOUS LES CONCEPTS QUE NOUS VENONS DE PRESENTER NE SONT PAS VERITABLEMENT PROPRES A LOBJET. TOUS LES CONCEPTS QUE NOUS VENONS DE PRESENTER NE SONT PAS VERITABLEMENT PROPRES A LOBJET. LES LOO ONT DONC HERITE LARGEMENT DES CONCEPTS ET DES STYLES DE PROGRAMMATION INDUITS PAR LES LANGAGES QUI LES ONT PRECEDES. LES LOO ONT DONC HERITE LARGEMENT DES CONCEPTS ET DES STYLES DE PROGRAMMATION INDUITS PAR LES LANGAGES QUI LES ONT PRECEDES. LES OBJETS PERMETTENT DE MIEUX RESOUDRE LES PROBLEMES POSES PAR LA REALISATION DE LOGICIELS COMPLEXES LES OBJETS PERMETTENT DE MIEUX RESOUDRE LES PROBLEMES POSES PAR LA REALISATION DE LOGICIELS COMPLEXES
ORIGINES ORIGINES LA PRODUCTIVITE LA PRODUCTIVITE LA REUTILISABILITE ET LEXTENSIBILITE PERMETTENT LA CONSTRUCTION PROGRESSIVE DE NOUVEAUX OBJETS A PARTIR DOBJETS DEJA EXISTANTS, PERMETTANT AINSI LA REDUCTION DES TEMPS DE DEVELOPPEMENT.
ORIGINES ORIGINES LA LISIBILITE DES PROGRAMMES LA LISIBILITE DES PROGRAMMES UNE MODELISATION PLUS RICHE PERMET DEVITER UN DECOUPAGE ARTIFICIEL DES STRUCTURES DE DONNEES ET DE LEURS TRAITEMENTS. LA SECURITE ET LA MAINTENANCE DES PROGRAMMES LA SECURITE ET LA MAINTENANCE DES PROGRAMMES LA MODULARITE IMPLIQUE UNE ECRITURE ET UNE MAINTENANCE DES PROGRAMMES PLUS SURES ET PLUS FACILES.
ORIGINES ORIGINES LADEQUATION AUX BESOINS LADEQUATION AUX BESOINS LE PROTOTYPAGE RAPIDE PERMET UN DIALOGUE PLUS EFFICACE AVEC LUTILISATEUR. LA CONVIVIALITE LA CONVIVIALITE DES OUTILS GRAPHIQUES PLUS PUISSANTS SONT DISPONIBLES POUR MIEUX CONSTRUIRE LES INTERFACES HOMME/MACHINE.
UTILISATION UTILISATION DES CONCEPTS OBJET EN CONCEPTION ON PEUT DISTINGUER DANS LENSEMBLE DES CONCEPTS DECRITS PRECEDEMMENT, TROIS CATEGORIES : ON PEUT DISTINGUER DANS LENSEMBLE DES CONCEPTS DECRITS PRECEDEMMENT, TROIS CATEGORIES : – LES CONCEPTS QUI NE SONT PAS REELLEMENT UTILISES EN CONCEPTION. – LES CONCEPTS QUI SONT UTILISES EN CONCEPTION AVEC UNE SIGNIFICATION DIFFERENTE. –LES CONCEPTS QUI SONT UTILISES TELS QUELS.
UTILISATION LES CONCEPTS PEU (OU PAS) UTILISES EN CONCEPTION LES CONCEPTS PEU (OU PAS) UTILISES EN CONCEPTION TROIS CONCEPTS : LHERITAGE, LA SURCHARGE ET LE POLYMORPHISME. –HERITAGE –HERITAGE DANS LE MONDE REEL LES HERITAGES SONT RARES ILS SONT PAR CONTRE TRES NOMBREUX DANS LES BIBLIOTHEQUES DE CLASSES UTILES A LIMPLEMENTATION. LHERITAGE EST DONC UN CONCEPT ESSENTIELLEMENT UTILISE EN PROGRAMMATION.
UTILISATION – SURCHARGE ET POLYMORPHISME : LA CONCEPTION DOIT PERMETTRE DE TROUVER LES METHODES APPLICABLES SUR CHAQUE OBJET, DE LES NOMMER ET DE DONNER LEUR SPECIFICATION. LE FAIT DUTILISER DES NOMS IDENTIQUES (AVEC OU PAS DES SIGNATURES IDENTIQUES) NA QUUN INTERET LIMITE (LISIBILITE DES SCHEMAS) ET DE TOUTES FAÇONS NA AUCUNE CONSEQUENCE POSITIVE SUR LA QUALITE DE LA CONCEPTION (AU CONTRAIRE).
UTILISATION LES CONCEPTS UTILISES AVEC UNE AUTRE SIGNIFICATION LES CONCEPTS UTILISES AVEC UNE AUTRE SIGNIFICATION –LE CONCEPT DE COMPOSITION : CE CONCEPT EST UTILISE EN CONCEPTION AVEC UNE CONNOTATION DIFFERENTE, PUISQUIL PERMET DE REPRESENTER LES LIENS ENTRE OBJETS ET LES RELATIONS ENTRE CLASSES. LA COMPOSITION EST DONC UN CONCEPT UTILISE FREQUEMMENT EN CONCEPTION.
UTILISATION COMME IL PERMET DE REPRESENTER 2 TYPES DE LIENS DIFFERENTS IL FAUT LUI DONNER 2 NOMS DIFFERENTS COMME IL PERMET DE REPRESENTER 2 TYPES DE LIENS DIFFERENTS IL FAUT LUI DONNER 2 NOMS DIFFERENTS RELATION OU AGREGATION RELATION OU AGREGATION LES 2 SE TRADUIRONT EN PROGRAMMATION PAR UNE COMPOSITION LES 2 SE TRADUIRONT EN PROGRAMMATION PAR UNE COMPOSITION
UTILISATION EXEMPLE : LE SCHEMA CI-DESSOUS MET EN EVIDENCE UNE LIAISON ENTRE LES CLASSES VEHICULE ET PROPRIETAIRE, LIAISON QUI SE TRADUIRA LORS DE LIMPLEMENTATION PAR UNE COMPOSITION ET QUI PEUT ETRE VUE PAR LE CONCEPTEUR COMME UNE AGREGATION, OU UNE RELATION. VoiturePropriétaire Possède
UTILISATION UTILISATION ON DISTINGUE HABITUELLEMENT POUR LA COMPOSITION PLUSIEURS CAS DE FIGURES RELATIFS AUX COMPOSANTS ET AUX COMPOSES. PAR RAPPORT AU COMPOSANT : PAR RAPPORT AU COMPOSANT : –LE COMPOSANT NA PAS DEXISTENCE EN DEHORS DU COMPOSE. –LE COMPOSANT PEUT ETRE PARTAGE PAR PLUSIEURS COMPOSES. –LE COMPOSANT NAPPARTIENT QUA UN SEUL COMPOSE.
UTILISATION PAR RAPPORT AU COMPOSE : PAR RAPPORT AU COMPOSE : – LE COMPOSE NA PAS DEXISTENCE PROPRE EN DEHORS DU COMPOSANT. – LE COMPOSE A UNE EXISTENCE PROPRE. NOTRE CHOIX CONSISTE A RETENIR CONJOINTEMENT LES HYPOTHESES SUIVANTES : NOTRE CHOIX CONSISTE A RETENIR CONJOINTEMENT LES HYPOTHESES SUIVANTES : LE COMPOSE A UNE EXISTENCE PROPRE LE COMPOSE A UNE EXISTENCE PROPRE LE COMPOSANT NA PAS DEXISTENCE EN DEHORS DU COMPOSE LE COMPOSANT NA PAS DEXISTENCE EN DEHORS DU COMPOSE ET IL NAPPARTIENT QUA UN SEUL COMPOSE. ET IL NAPPARTIENT QUA UN SEUL COMPOSE.
UTILISATION LORSQUE CES TROIS CONDITIONS SONT REUNIES, ON PEUT UTILISER LE TERME DAGREGATION. ON DOIT LE FAIRE LORSQUE LE NOMBRE DINSTANCES DU COMPOSANT EST IDENTIQUE POUR CHAQUE INSTANCE DU COMPOSE.
UTILISATION DANS TOUS LES AUTRES CAS NOUS UTILISERONS LE CONCEPT DE RELATION. EN PARTICULIER, LORSQUE NOUS VOUDRONS SIGNIFIER QUE LE COMPOSANT ET LE COMPOSE ONT UNE EXISTENCE PROPRE (CE QUI CORRESPOND AU CAS LE PLUS FREQUENT).
UTILISATION REMARQUE : EN CONCEPTION, LHERITAGE ET LAGREGATION SONT PARFOIS CONSIDERES COMME DEUX CONCEPTS ORTHOGONAUX. LHERITAGE FAIT REDESCENDRE LES ATTRIBUTS ET LES METHODES DE LA SUPER-CLASSE DANS LES SOUS-CLASSES, ALORS QUE LAGREGATION FAIT REMONTER LES ATTRIBUTS DES COMPOSANTS DANS LE COMPOSE. MAIS LHERITAGE DECOULE DE LA GENERALISATION ET LA GENERALISATION EST UN MECANISME QUI PEUT SE DECLENCHER DES LORS QUE DEUX CLASSES ONT DES ATTRIBUTS EN COMMUN.
UTILISATION DANS LEXEMPLE SUIVANT, ON PEUT, APRES AVOIR CONSTATE QUE LES VOITURES ET LES CAMIONS ONT EN COMMUN UN ATTRIBUT MOTEUR, DECLENCHER UNE GENERALISATION QUI CONDUIRAIT A UN HERITAGE ERRONE. Moteur VoitureCamion AGREGATION
UTILISATION HERITAGE Moteur Voiture Camion LINTERPRETATION BIZARRE, MAIS VALIDE DE CE SCHEMA EST QUE : UNE VOITURE EST UN CAS PARTICULIER DE MOTEUR (CE QUI NEST PAS FAUX PUISQUUNE VOITURE EST UN MOTEUR HABILLE !). DANS CET EXEMPLE, LA GENERALISATION A ETE FAITE A TORT.
UTILISATION UTILISATION LES CONCEPTS TOTALEMENT UTILISES EN CONCEPTION LES CONCEPTS TOTALEMENT UTILISES EN CONCEPTION CONCEPTS DE CLASSE (ATTRIBUTS ET METHODES), DOBJET ET DENCAPSULATION. – POUR LES CLASSES ET LES OBJETS, CEST UNE EVIDENCE. –POUR LENCAPSULATION, LE PROBLEME EST PLUS DELICAT CAR CE CONCEPT NE DEVRAIT PAS EN THEORIE INTERVENIR DANS LA PHASE DE CONCEPTION.
UTILISATION MAIS LA PLUPART DES METHODES DE CONCEPTION ESSAIENT LEGITIMEMENT DE REPONDRE A LA QUESTION : DANS QUELLE CLASSE FAUT-IL PLACER LES METHODES ET CETTE QUESTION NA DE SENS QUE SI LON PREND EN COMPTE LA CONTRAINTE DENCAPSULATION.
UTILISATION UTILISATION IL RESTE A CLARIFIER LE PROBLEME DE LIDENTITE DES OBJETS UML : EN PLUS DE SON ETAT, UN OBJET POSSEDE UNE IDENTITE QUI CARACTERISE SON EXISTENCE PROPRE. LIDENTITE PERMET DE DISTINGUER TOUT OBJET DE FAÇON NON AMBIGUË ET CELA INDEPENDAMMENT DE SON ETAT. CELA PERMET, ENTRE AUTRE DE DISTINGUER DEUX OBJETS DONT TOUTES LES VALEURS DATTRIBUTS SONT IDENTIQUES. LIDENTITE EST UN CONCEPT, ELLE NE SE REPRESENTE PAS DE MANIERE SPECIFIQUE EN MODELISATION. CHAQUE OBJET POSSEDE UNE IDENTITE DE MANIERE IMPLICITE. UML : EN PLUS DE SON ETAT, UN OBJET POSSEDE UNE IDENTITE QUI CARACTERISE SON EXISTENCE PROPRE. LIDENTITE PERMET DE DISTINGUER TOUT OBJET DE FAÇON NON AMBIGUË ET CELA INDEPENDAMMENT DE SON ETAT. CELA PERMET, ENTRE AUTRE DE DISTINGUER DEUX OBJETS DONT TOUTES LES VALEURS DATTRIBUTS SONT IDENTIQUES. LIDENTITE EST UN CONCEPT, ELLE NE SE REPRESENTE PAS DE MANIERE SPECIFIQUE EN MODELISATION. CHAQUE OBJET POSSEDE UNE IDENTITE DE MANIERE IMPLICITE.
UTILISATION UTILISATION OMT : NE CONFONDEZ PAS LES IDENTIFICATEURS INTERNES AVEC LES ATTRIBUTS DU MONDE REEL. LES IDENTIFICATEURS INTERNES SONT SIMPLEMENT UNE FACILITE DIMPLEMENTATION ET NONT PAS DE SIGNIFICATION DANS LE DOMAINE DU PROBLEME. PAR EXEMPLE, LE NUMERO DE SECURITE SOCIALE ET LE NUMERO DE PLAQUE DIMMATRICULATION NE SONT PAS DES IDENTIFICATEURS INTERNES CAR ILS ONT UN SENS DANS LE MONDE REEL. CE SONT DES ATTRIBUTS LEGITIMES. OMT : NE CONFONDEZ PAS LES IDENTIFICATEURS INTERNES AVEC LES ATTRIBUTS DU MONDE REEL. LES IDENTIFICATEURS INTERNES SONT SIMPLEMENT UNE FACILITE DIMPLEMENTATION ET NONT PAS DE SIGNIFICATION DANS LE DOMAINE DU PROBLEME. PAR EXEMPLE, LE NUMERO DE SECURITE SOCIALE ET LE NUMERO DE PLAQUE DIMMATRICULATION NE SONT PAS DES IDENTIFICATEURS INTERNES CAR ILS ONT UN SENS DANS LE MONDE REEL. CE SONT DES ATTRIBUTS LEGITIMES.
UTILISATION QUE CONCLURE ? QUE CONCLURE ? LIDENTIFICATION DES OBJETS EN CONCEPTION NA PAS DINTERET ? LIDENTIFICATION DES OBJETS EN CONCEPTION NA PAS DINTERET ? CONSTAT A LA FOIS EVIDENT ET CURIEUX : CONSTAT A LA FOIS EVIDENT ET CURIEUX : EVIDENT, CAR LA CONCEPTION NE GERE PAS LES OBJETS ET NA DONC PAS BESOIN DE LES IDENTIFIER (BCNF INUTILE). EVIDENT, CAR LA CONCEPTION NE GERE PAS LES OBJETS ET NA DONC PAS BESOIN DE LES IDENTIFIER (BCNF INUTILE). - CURIEUX, CAR IL FAUT ATTENDRE LIMPLEMENTATION (ET LAFFECTATION IMPLICITE DUN IDENTIFICATEUR ARTIFICIEL) POUR POUVOIR ETRE SUR DE DISTINGUER DEUX OBJETS. DANS LE MONDE REEL, LA FACULTE DE POUVOIR DISTINGUER DEUX OBJETS (SURTOUT SILS ONT LES MEMES VALEURS DATTRIBUTS) NOUS PARAIT ESSENTIELLE. DANS LE MONDE REEL, LA FACULTE DE POUVOIR DISTINGUER DEUX OBJETS (SURTOUT SILS ONT LES MEMES VALEURS DATTRIBUTS) NOUS PARAIT ESSENTIELLE. PAR AILLEURS, ON SAIT QUE POUR IDENTIFIER LES OBJETS DE MANIERE FIABLE, IL FAUT AVOIR RECOURS A UNE NORMALISATION (MISE SOUS FORME BCNF, CEST A DIRE CLE UNIQUE).
UTILISATION UTILISATION CE PARADOXE SERA ETUDIE PLUS EN DETAILS. NOTRE EXPERIENCE DE CONCEPTEUR NOUS CONDUIT, POUR LINSTANT, A PREFERER LOPTION QUI CONSISTE A POUVOIR IDENTIFIER LES OBJETS.
UTILISATION UTILISATION EN CLAIR, IL NEST PAS RAISONNABLE DE DIRE A L'UTILISATEUR : EN CLAIR, IL NEST PAS RAISONNABLE DE DIRE A L'UTILISATEUR : LES OBJETS ONT UNE IDENTITE NATURELLE (QUI EST INDUITE PAR LEUR SEULE EXISTENCE) !!! IL N'EST DONC PAS NECESSAIRE DE CHERCHER A LES IDENTIFIER PAR DES ATTRIBUTS, CAR DE TOUTES FAÇONS, ILS SERONT IDENTIFIES EN PROGRAMMATION PAR UN IDENTIFICATEUR GERE PAR LE LANGAGE.
UTILISATION UTILISATION CONCLUSION LA CONCEPTION OBJET NENTRAINE, EN TOUT CAS CERTAINEMENT PAS, LA FIN DE LA PROGRAMMATION.