Les nouvelles relations assureur – assuré : JIQHS. 25 Novembre 2013, Paris. Frédéric FUZ, Sham.
Sham, en quelques chiffres Chiffre d’affaires 2012 : 301,2 M€ dont 80 % en Responsabilité Civile Médicale © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
Une légitimité reconnue Une demande explicite des nos sociétaires, mais aussi… Des bases documentaires uniques : - Plus de 5 000 réclamations pour préjudices corporels - 1 000 décisions de justice par an, 50% de condamnations Une expertise médico-légale forte Une bonne connaissance des établissements © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
Le risque médical Une sinistralité rare… mais aux conséquences souvent lourdes Un risque à développement long Une analyse médico-légale complexe Une exigence croissante des patients L’enjeu évident de la prévention des risques © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
Les apports de l’assureur Une meilleure compréhension de la sinistralité médicale : Le Panorama du risque médical Les Publications du Conseil Médical Le Portail de la Prévention des risques (site web) Les Etudes médicales en coopérations avec les sociétés savantes © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
Les apports de l’assureur La connaissance précise de l’exposition aux risques de chaque établissement et une aide à la réduction de la sinistralité : Une analyse détaillée et un suivi personnalisé de la sinistralité Les visites d’analyse de risques médicales (visites de souscription, visite de suivi) La cartographie des risques Cartorisk® (démarche d’analyse des risques a priori) © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
Les apports de l’assureur Des apports de connaissances à l’ensemble des professionnels de santé : Sham, organisme de formation depuis plus de trente ans et désormais agréé DPC Les interventions en CME La participation à des groupes de travail « thématiques » Le soutien à l’innovation © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
Les apports de l’assureur Des réponses concrètes à des problématiques techniques ou à des situations d’urgence : Les consultations juridiques réalisées sur sollicitation des sociétaires L’Assistance à la communication de crise © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
En pratique ! Des solutions appropriées aux besoins des établissements, et ce à chaque étape de la relation-client : A la souscription : Visites de risques – recommandations – Synthèse (si plusieurs Ets) Dispositif d’appui (formation – conseil) Durant la vie du contrat : Accès à un Espace d’information personnalisé (ex : veille jurisprudentielle) Accès à un catalogue de formation – conseil spécialisé Surveillance du portefeuille Consultations juridiques Animation de RMM Intervention sur site, notamment en CME Aide à la levée des recommandations de la HAS Assistance à la communication de crise
Les prérequis : des ressources spécialisées Un Pôle Services, dédié à la prévention des risques Une Direction juridique (Formation, Consultation) Un Service Communication Externe (Publications, Gestion de crise) Une équipe de Médecins Conseil …et aussi un Conseil Médical INFORMATION, FORMATION, CONSEIL, ETUDES, SPONSORING Publications / Le Portail de la Prévention des risques (site web) / Formation (présentielle et en ligne) Conseil / Visites de risques / Etudes médicales / Opérations de sponsoring (ex : Prix Sham) Au total : plus de 10% des effectifs de Sham dédiés aux activités de prévention des risques © Sham - usage réservé - UNIHA Paris 11/10/2013
Mesurer les résultats obtenus : focus sur les visites de risques Le starter de notre partenariat Une démarche reconnue sur le plan méthodologique : un diagnostic rapide, réalisé sur site et avec vos équipes. Des résultats : 70% des recommandations sont mises en œuvre, un renforcement objectif des mesures de maîtrise des risques. Un référentiel mis à jour en 2012 Si on calcule la criticité : Importance du point faible sur la réalisation du processus (ou sur le système) Récurrence (ou vraisemblance) des points faibles dans les établissements de l’échantillon Gravité (impact du point faible sur le patient) Des zones de risques (acceptable en vert au centre, tolérable sous contrôle : zone intermédiaire) et risque inacceptable en rouge) ont été définies par Sham avec Virginie Quand on compare la criticité en visite initiale et en visite de suivi sur les différents processus analysés, on constate : En visite initiale tous les processus sont en rouge, sauf le processus lutte contre le risque infectieux (antériorité des politiques de santé publique en la matière) En visite de suivi Risque infectieux passe en vert Les risques concernant la chirurgie (hospitalisation en chirugie, surveillance post interventionnelle, bloc opératoire), urgences, qualité et GDR passent en jaune Les risques obstétrique, gestion des plaintes et des réclamations, circuit du médicament, dossier patient restent en rouge Les sujets qui restent à travailler : cf diapos suivante)
Les prérequis : une organisation dédiée Une organisation dédiée…au sein de l’établissement : Une équipe coordonnée de spécialistes au service de l’ensemble des professionnels concernés par le management des risques : le Directeur et les instances spécialisées de l’établissement, les médecins, les soignants, le responsable qualité, le responsable de la formation…
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