Les femmes et la réforme social
Salaires En 1900, le salaire moyen pour un travailleur d’usine était d’environ 8$ par semaine de 6 jours. Cela équivaut aujourd’hui à environ 100$ par semaine. Tu pourrais recevoir une amende (fine) pour parler durant le travail, travailler trop lentement ou faire des erreurs.
Les femmes étaient moins payées que les hommes Les femmes étaient moins payées que les hommes. L’excuse donnée par les employeurs était que les femmes s’arrêtaient de travailler quand elles se mariaient, ou que leur salaire était un revenu supplémentaire pour leur mari. Les enfants étaient moins payés que les femmes.
Les femmes au travail Avec la Révolution Industriel, il y avait une demande pour des personnes pour travailler pour les magasins, les usines et les bureaux. Les nouvelles technologies de communications on fait augmenter le nombre de téléphonistes et de télégraphistes.
Une nouvelle invention, la machine à écrire, a crée beaucoup d’emploi pour les femmes. Les femmes n’étaient maintenant pas seulement limitées au travail d’enseignante, d’infirmière ou de domestique, les femmes avaient plus de choix. Malheureusement, ces nouvelles possibilités étaient seulement offertes aux femmes blanches.
Les aspects positifs du travail à l’usine Avant l’époque des usines, la plupart des femmes n’avaient pas d’éducation alors elles travaillaient comme domestiques (housewives). Ces travailleuses domestique voyaient presque jamais leurs amies. Sa vie était sa famille.
Même si le travail à l’usine était difficile et sous-payé, les femmes avaient au moins la possibilité de rencontrer d’autres personnes.
Le travail à la pièce (piece work) Les femmes qui avaient de jeunes enfants ne pouvaient pas travailler dans les usines parce qu’elles devaient prendre soin de leur famille alors elles faisaient du travail à la pièce. Leurs employeurs leur donnaient le matériel et les travailleur faisaient payés pour chaque pièce qu’elles fabriquaient. Par exemple: Construire des cigares. Tu te faisais payé pour chaque cigare que tu fabriquait.
Au début du 20e siècle, plusieurs femmes faisaient ce type de travail à la maison et souvent leur enfants aidaient. Elles étaient très peu payées (encore moins que les travailleuses d’usine), alors elles travaillaient des longues heures pour gagner assez d’argent pour survivre.
Les filles du bureau Au début du 20e siècle, toutes les nouvelles entreprises employaient des filles du bureau. Ces femme avaient pris un cours pour six mois pour apprendre à dactylographier. Elles devaient regardé bien parce que elles étaient les serveuses personnelles de leur employeurs.
Les gens les appelaient les « filles », quel que soit leur âge. De plus, les femmes étaient payées deux fois moins que les hommes, alors c’est pour ça que les hommes étaient rarement embauchés pour ces emplois. Ça pris plus de 60 ans avant que les femme puissent occuper les mêmes postes (jobs) que les hommes.
La fin
Les syndicats Définitions Français-anglais Syndicat: Union Grève: Strike Médiateur: Mediator
Les syndicats On sait que les conditions de travail au commencement du 20e siècles n’étaient pas bonnes. Maintenant on va apprendre ce que les gens on fait en réaction. On va prendre l’exemple de ce qui est arrivé avec Bell Telephone.
Bell Telephone Au début du 20e siècle toutes les téléphonistes de Bell Telephone étaient des femmes. Chaque téléphoniste recevait (*received) 300 appels par heure et devait gérer (*take care of) entre 80 et 100 lignes.
Durant les heures de travail, il était interdit parler avec ses collègues ou sourire.
En 1907, les employeurs à Bell on décider de faire travailler les téléphonistes 8 heures par jours au lieu de 5 heures par jours, et ils on diminuer leur salaire de 21 cents à 16 cents par heure. Une spécialiste disait que ce changements rendrait les femmes plus efficaces! (*It would make them more efficiant)
Les femmes n’ont pas aimé ceci! Ils ont décider de former un syndicat. Bell Canada a refusé de rencontrer un médiateur du gouvernement. Bell a obligé les femmes à choisir entre accepter leur nouvel horaire ou quitter leur emploi.
Le jour suivant, les femmes se sont mise en grève, c’est-à-dire qu’elles on arrêté de travailler. Bell a continué de fonctionner normalement parce qu’ils ont remplacer ces femmes avec d’autre téléphonistes.
L’appui de la population La population Canadienne n’a pas aimé la décision de Bell. Tous les journaux torontois ont critiqués Bell et les chefs d’églises disaient que Bell mettait en danger la santé des travailleuses.
Une commission royale Le maire (*mayor) de Toronto a formé une commission royale pour faire une enquête (*investigation). Les femmes ont accepté de retourner au travail pendant que la commission continue son enquête.
La commission rassemblait de preuves et des témoins. Bell ne voulait pas cette mauvaise publicité.
Un compris L’enquête s’est terminée deux semaines plus tard quand Bell a proposé (*proposed) un compromis à ses travailleuses.
La comprise était: Une période de travail de sept heures, coupée de plusieurs pauses, et un salaire équivalant à une journée de travail de 8 heures. Les grévistes ont accepté l’offre.