La Crise de Cuba Manuel Scolaire pages
La Carte Page 157 Aux États-Unis, on a minimisé l’importance du retrait des missiles de la Turquie, mais on l’a augmentée en URSS. Pourquoi a-t-on agi ainsi? Les deux côtés ne voulaient pas donner l’impression de céder en concluant un pacte. Les Sov voulaient faire croire qu’ILS retiraient leurs missiles de Cuba parce que les É-U avaient accepté de retirer les leurs de Turquie.
La Carte Page 157 Aux États-Unis, on a minimisé l’importance du retrait des missiles de la Turquie, mais on l’a augmentée en URSS. Pourquoi a-t-on agi ainsi? Cependant, les É-U ont affirmé que les Sov avaient simplement fini par céder à leurs exigences.
La Carte Page 157 Compare la distance entre la Turquie et l’URSS et entre Cuba et les É- U. Selon toi, la tentative soviétique d’installer des missiles à Cuba était-elle justifiée? Les Bases de la Turquie et du Cuba permettaient d’atteindre des cibles importantes…une menace. Toutefois, les missiles étaient déjà installées en Turquie, mains non à Cuba. Du p de v Sov…logique d’introduire « en douce » des missiles à Cuba.
La Carte Page 157 Compare la distance entre la Turquie et l’URSS et entre Cuba et les É- U. Selon toi, la tentative soviétique d’installer des missiles à Cuba était-elle justifiée? Cependant…ils ont été surpris ou « attrapés » avant de pouvoir les installer…
La Carte Page 157 Estime la distance entre Cuba et la ligne du blocus naval. Kennedy aurait- il autorisé la destruction des navires soviétiques s’ils avaient traversé la ligne? Distance 100 km. Sans doute…il l’aurait autorisé Les É-U possedaient l’avantage du fait de la proximité de Cuba et leur supériorité navale. La principale force de l’URSS dans l’Armée rouge…n’était utile qu’en Europe. Corde raide…tous les deux…
La Carte Page 157 Estime la distance entre Cuba et la ligne du blocus naval. Kennedy aurait- il autorisé la destruction des navires soviétiques s’ils avaient traversé la ligne? Les deux (Kennedy et Khrouchtchev) venaient d’accéder au pouvoir dans leur pays. Khrouchtchev a eu le mérite d’arrêter ses navires avant de franchir le blocus et Kennedy a permis aux Sov de « sauver la face » en ritirant les missiles de la Turquie.