DOSSIER 13 – Interprétation de l’information comptable de synthèse

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DOSSIER 13 – Interprétation de l’information comptable de synthèse

DOSSIER 13 Problématique

Problématique Les documents de synthèse représentent l’aboutissement de la comptabilité financière. La structure commune de ces documents pour toutes les entreprises favorise naturellement leur compréhension par les différents lecteurs. Les documents de synthèse sont largement diffusés. Les informations véhiculées sont nombreuses mais il faut savoir les interpréter convenablement. Il est d’usage de dire que le bilan et le compte de résultat de l’entreprise, s’ils ne permettent pas de répondre à toutes les questions, permettent en revanche de poser les bonnes questions.

DOSSIER 13 Activité 1 – La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ?

La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com

La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com Le bénéfice est distribué aux actionnaires de la société sous forme de dividendes. En généralisant, le résultat de l’entreprise appartient au(x) propriétaire(s) de l’entreprise et constitue un revenu. Ce dernier justifie le placement financier du ou des propriétaires qui ont investi leur argent personnel pour donner naissance à l’entreprise. 01. Qui le bénéfice de l’entreprise rémunère-t-il ? Quel nom porte généralement ce revenu ?

02. Expliquez la phrase soulignée. La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com Le bénéfice est distribué aux actionnaires de la société sous forme de dividendes. En généralisant, le résultat de l’entreprise appartient au(x) propriétaire(s) de l’entreprise et constitue un revenu. Ce dernier justifie le placement financier du ou des propriétaires qui ont investi leur argent personnel pour donner naissance à l’entreprise. 02. Expliquez la phrase soulignée.

La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com À quantité égale, il est évident qu’une augmentation du prix de vente génère automatiquement une marge commerciale supérieure. Cependant, il est souvent (toujours ?) difficile de vendre plus cher, à cause de la loi de l’offre et de la demande du marché. En effet, les consommateurs seront-ils disposés à acheter plus cher ? Une partie des clients ne va-t-elle pas se détourner au profit des concurrents ? Le prix de vente est donc une variable délicate que l’entreprise fixe, certes, librement, mais dans le respect de nombreuses contraintes. 03. Pourquoi est-il difficile d’agir sur le prix de vente pour faire augmenter la marge commerciale ?

04. Comment peut-on diminuer le coût d’achat des marchandises ? La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com Les moyens d’action sur le coût d’achat des marchandises sont divers : la négociation avec les fournisseurs pour baisser les prix d’achat ; l’augmentation des quantités commandées pour obtenir des remises ; la recherche de nouveaux fournisseurs ; la diminution des coûts générés par l’achat : coûts de transport, de stockage… 04. Comment peut-on diminuer le coût d’achat des marchandises ?

Activité 2 – L’analyse du bénéfice de la SARL B2i DOSSIER 13 Activité 2 – L’analyse du bénéfice de la SARL B2i

L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 05. Complétez le tableau ci-contre en justifiant vos calculs. 298 477 – 154 621 = 143 856 143 856

L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 05. Complétez le tableau ci-contre en justifiant vos calculs. 143 856 – 25 845 = 118 011 118 011

L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 05. Complétez le tableau ci-contre en justifiant vos calculs. 118 011 – (6 210 + 59 741) = 52 060 52 060

L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 52 060 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 06. L’entreprise a-t-elle créé davantage de richesses en N ? La création de richesses d’une entreprise est mesurée par la valeur ajoutée. Celle-ci a augmenté de 30 560 € (118 011 – 87 451).

L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 52 060 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 07. Son activité a-t-elle été plus performante en N ? L’entreprise a été plus performante en N car le résultat d’exploitation est aussi en progression. Ce dernier a même fortement augmenté puisqu’il était de 16 073 € en N-1 pour atteindre 52 060 € en N.

L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion En fait, cette situation est sans doute liée aux éléments financiers et/ou exceptionnels de l’entreprise. Par exemple, l’entreprise avait peut-être réalisé, l’an dernier, une importante plus-value suite à la vente d’immobilisations. Ce gain à caractère exceptionnel majorait le bénéfice de l’année. Par contre, la précédente analyse a montré que la performance de l’entreprise sur la réalisation de son métier est meilleure cette année. Il est donc nécessaire d’étudier avec attention la formation du résultat et de ne pas se limiter à une lecture globale. Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : 08. L’évolution du bénéfice est-elle en contradiction avec la réponse précédente ? Pourquoi ? Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 52 060 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 Oui car, à la simple connaissance du résultat, on pouvait logiquement penser que l’activité exercée par l’entreprise était en déclin : baisse de 24 % du bénéfice [(38 841 – 51 212) / 51 212].

DOSSIER 13 Activité 3 – Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif

Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes.

Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Pour un banquier, le risque principal est que le client ne soit pas capable de rembourser l’argent que la banque lui a prêté sous forme d’emprunt. Pour mesurer la capacité de remboursement d’une entreprise, il faut surveiller sa solvabilité. Le bilan permet de savoir si les liquidités de l’entreprise couvriront le montant des dettes à payer. Une première approche des liquidités d’une entreprise consiste à prendre en compte le niveau des disponibilités (en caisse et en banque), auquel on peut ajouter le montant des créances car les clients devront les régler dans les prochains jours ou semaines. Les spécialistes parlent parfois de « trésorerie potentielle ». 09. Pourquoi M. Alban insiste-t-il sur le risque d’insolvabilité des clients de la banque ?

Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Prenons les postes « Immobilisations corporelles » et « Créances clients ». Ce dernier poste est placé plus bas car il est plus « liquide », dans la mesure où il se transformera très rapidement en monnaie, au fur et à mesure que les clients paieront leurs dettes. Par contre, les immobilisations sont moins liquides car il faut les vendre (ce n’est pas la destination première, elles sont destinées à rester dans l’entreprise) et attendre que l’acquéreur paie le prix de cession. 10. En choisissant deux postes éloignés de l’actif, illustrez la phrase soulignée.

Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Prenons les postes « Emprunt » et « Dettes fournisseurs ». Ce dernier poste est placé plus bas car il est plus exigible, dans la mesure où l’entreprise doit payer ses fournisseurs dans des délais très courts. Par contre, la date d’échéance pour le remboursement d’un emprunt est plus lointaine dans le temps. En fait, le remboursement s’échelonne sur plusieurs années, on parle parfois de dettes à long terme pour les opposer aux autres dettes, à plus court terme (placées plus bas dans le passif). 11. En choisissant deux postes éloignés du passif, illustrez la phrase soulignée.

Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Réponse B : Actif – Dettes. Le patrimoine d’une entreprise (comme celui d’un particulier) se mesure à partir des biens et des droits possédés (actif du bilan), après avoir retranché l’ensemble des sommes dues par l’entreprise (dettes qui se trouvent en bas du passif). 12. Comment détermine-t-on le patrimoine d’une entreprise ? A. Actif – Passif B. Actif – Dettes C. Actif + Dettes.

Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Les documents de synthèse sont tous présentés de la même façon car ils doivent respecter des règles communes appelées « normes ». Celles-ci sont définies par le plan comptable général, qui impose les mêmes méthodes dans la construction de l’information comptable. Cette situation favorise la comparaison : dans le temps, car les méthodes restent identiques d’une année à l’autre. Cela permet de calculer des variations et de déterminer si l’évolution constatée est favorable ou non  ; dans l’espace, car les entreprises respectent la même présentation dans leurs documents de synthèse. Ainsi, les immobilisations se trouveront toujours en haut de l’actif et respectent les mêmes critères de classification, alors que les dettes à court terme se placeront toujours en bas du passif ; Il est évident que ces règles communes facilitent le travail des utilisateurs de l’information comptable tels que les banquiers. Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. 13. Expliquez la dernière phrase du discours.

Activité 4 – L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? DOSSIER 13 Activité 4 – L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ?

L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? Chiffre d’affaires 195 600 € Résultat de l’exercice 13 688 € Total du bilan 56 081 € 14. Les indicateurs de l’exercice N (voir tableau ci-contre) sont-ils satisfaisants ? Pourquoi est-ce difficile de se prononcer ? Il est difficile d’affirmer que ces indicateurs sont satisfaisants sans disposer des chiffres réalisés par le passé. À la limite, la présence d’un bénéfice cette année est favorable en soi, mais rien ne dit que le résultat de l’an dernier n’était pas supérieur. Ces informations sur les précédents exercices permettent de porter un jugement sur l’évolution de l’entreprise.

L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? Chiffre d’affaires 195 600 € Résultat de l’exercice 13 688 € Total du bilan 56 081 € 15. Vous disposez d’informations sur les cinq dernières années. Mettez à jour ce graphique pour l’exercice N.

L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? 15. Prononcez-vous sur la performance de cette année. Exercice N Chiffre d’affaires 195 600 € Résultat de l’exercice 13 688 € Total du bilan 56 081 € En fait, sur ce graphique, il apparaît clairement que l’évolution est favorable. Toutes les courbes remontent sur cet exercice N, et en particulier celle du chiffre d’affaires. Le bénéfice a augmenté, même s’il reste inférieur au bénéfice « record » qui s’élève à 20 000 € lors de l’exercice N-3.

Sources : Éditions Nathan Technique Collection : Equilibre Première STG Gestion Diaporama adapté et automatisé par M. Grard (enseignant) Sources : Éditions Nathan Technique Collection : Equilibre Retour vers les liens