Observer la variabilité climatique en Ile de France M. Chiriaco (1), M. Haeffelin (2), J.C. Dupont (3), J. Badosa (2), K. Ramage (3), S. Cloché (3), et.

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Transcription de la présentation:

Observer la variabilité climatique en Ile de France M. Chiriaco (1), M. Haeffelin (2), J.C. Dupont (3), J. Badosa (2), K. Ramage (3), S. Cloché (3), et al. (1)LATMOS (2)LMD (3)IPSL

Contexte : variabilité du climat régional Température Fortes variabilités interannuelle, saisonnière Forte dispersion des modèles Variabilité basse fréquence et extrêmes pas bien représentés par ensemble Source: Terray and Boé, CRG, 2013 À l’échelle globale, moyenne annuelle : En France en été :  Incertitudes très fortes à l’échelle régionale, qui est pourtant une échelle clé en terme d’impacts  À cette échelle, il faut utiliser les observations pour progresser dans notre compréhension des processus qui créent cette variabilité

Contexte Problématique – Evolution de notre environnement complexe car contrôlée par de nombreux processus physiques, chimiques, dynamiques, radiatifs, biologiques – Ces processus opèrent à des échelles de temps et d’espace très diverses ; – Ils impliquent un grand nombre de variables de la colonne atmosphérique Besoins en observations – Jeux de données pluriannuels et multi-paramètres – Harmonisés et standardisés et dont la qualité et la représentativité sont contrôlés Freins – La très grande disparité des observations – La faible ampleur des signaux que l’on cherche à mettre en évidence – Les connexions complexes entre processus à l’échelles locale et anomalies à l’échelle climatique Comment expliquer la variabilité du climat à l’échelle régionale, dans un climat qui se réchauffe ? Le cas de l’Ile de France

Contexte 1) Le SIRTA qui disposent d’observations répondant aux critères suivants : – Jusqu’à 12 ans de mesures « continues » multi-paramètres au sol – De nombreuses autres observations (satellite, réanalyses…) – Des méthodes éprouvées pour réaliser jeux de mesures cohérents sur le long-terme (calibration, synchronisation, traitements)  passer de l’échelle du cycle diurne à l’échelle de la décennie  Jeu de données d’observations SIRTA-ReOBS L’Université Paris-Saclay possède au moins trois atouts pour répondre à ça : 3) Une grande communauté scientifique qui permet de rejoindre – Des scientifiques spécialistes de l’observation du climat – Des scientifiques de la donnée, spécialistes d’outils mathématiques 2) Le mésocentre de l’IPSL qui dispose : – De longues séries temporelles d’observations satellite et de réanalyses – Des ressources informatiques permettant l’analyse de ces masses de données

Une infrastructure fédérative pour observer et comprendre le climat et les processus atmosphériques L’Observatoire Atmosphérique  Créer les connaissances scientifiques  Surveiller le climat et Explorer les processus  Enseigner sur le terrain  Diffuser ces connaissances pour répondre aux défis sociétaux  Fondé en 1999 par l’IPSL et l’Ecole Polytechnique  6 tutelles: CNRS-INSU, Ecole Polytechnique, CNES, Université Versailles St Quentin en Y., EDF, Météo-France  10 Laboratoires de recherche (IPSL, LMD, LATMOS, CEREA, LSCE; CNRM, IPGP, LOA, LPC2E, LGEP)  1000 accès « chercheur-jour » par an  450 accès « étudiant-jour » par an (UVSQ, UPMC, X, ENS, UPD, ENSTA, ENPC)  20 publications par an

Outil : SIRTA-ReOBS Stations Météo-France 50km 15km Extraction sat. Harmonisation traitement/inversion Synchronisations et moyennes horaires Contrôle qualité ++ Nomenclature standardisée Évaluation des incertitudes et représentativité Management in instrumentation/algorithm changes Documentation/Metadata SIRTA-ReOBS Decadal synthesis of around 50 atmospheric parameters A multi-parameter dataset unique in Europe SIRTA-ReOBS : 12 ans d’observations multi-paramètres au SIRTA Re = Re-calibration Re-contrôle qualité Re-moyennage Re-traitement Re-expertise … SIRTA Surface, 2m, profils verticaux Stations Météo-France alentours Extraction obs. Satellite

Outil : SIRTA-ReOBS 3 familles de variables : Météo « classique » Mesures « advanced » Paramètres restitués à partir des observations 2003 – 2014 pour les données les plus anciennes

Outil : SIRTA-ReOBS Jour de l’année heure année Exemple de contenu : Rayonnement IR émis par l’atmosphère et arrivant au sol (W/m 2 ) ©J. Badosa

Objectifs scientifiques Utiliser ces outils pour améliorer notre connaissance de la variabilité climatique régionale en Ile de France, dans un climat qui se réchauffe  Objectif préliminaire : Progresser dans notre analyse statistique de données quand la série contient des données manquantes 1) Séparer les différents forçages agissant sur un paramètre atmosphérique, établir le rôle de certains processus dans la variabilité climatique 2) Développer des méthodes pour identifier des tendances : trouver les paramètres adaptés et les méthodes mathématiques 3) S’affranchir de/réduire l’impact de données manquantes dans ces analyses

1) Séparer les forçages agissant sur un paramètre atmosphérique Soit x un paramètre atmosphérique (température, couverture nuageuse, précipitations…)  x = f (rayonnement solaire, circulation de grande échelle, processus atmosphériques, forçage anthropique, …) Objectif : faire sortir une variabilité liée à un processus (naturel ou pas)  il faut s’affranchir des autres modes de variabilité saison heure dépression anticyclone… Implique de nombreuses variables!

 Sous-ensemble pour s’affranchir des cycles du rayonnement solaire Effet radiatif des nuages dans l’IR (W/m 2 ), moyennes horaires Effet radiatif des nuages dans l’IR (W/m 2 ), moyennes mensuelles désaisonnalisées On fait l’équivalent pour le cycle journalier, à mois ou saison donné  Problèmes : plus on fait de sous-ensembles, plus on réduit la valeur statistique de la variable, encore plus si elle comporte des trous Effet de serre des nuages

 Sous-ensemble pour séparer la grande échelle des processus locaux 4 grands régimes de temps en été, chaque journée est classée parmi ces 4 régimes :  Plus on fait de sous-ensembles, plus on réduit la valeur statistique de la variable, encore plus si elle comporte des trous  Limites de la méthode : 4 régimes de temps ne peuvent caractériser l’ensemble de la variabilité

2) Identifier une tendance dans un signal naturellement bruité Température à 2m (°C), moyennes mensuelles désaisonnalisées  = 1.7 °Cvariabilité naturelle, dite variabilité interne du système Pente de la régression linéaire = °C/mois Tendance = -1.3°C/11 ansforçage externe  Tendance < 1   pas de tendance  Quelle est la robustesse de cette méthode? Comment estimer la pertinence d’une tendance? A fortiori quand la série comporte des trous?

3) Réduire l’impact des données manquantes dans notre analyse La couverture temporelle des données est variable d’un paramètre à l’autre dans SIRTA-ReOBS Les causes de données manquantes sont diverses : -Absence de l’instrument (pas encore installé, jouvence…) -La mesure n’est effective que de jour (ex : mesure de reflectance solaire) -La mesure n’est effective que si le temps est clair (ex : mesures par photomètre solaire) -Il n’y a pas de mesures la nuit et les weekends car l’instrument nécessite un opérateur (ex : Lidar) -L’instrument ne peut pas fonctionner quand il pleut (ex : lidar)

Données manquantes : valeur statistique des variables Les mesures lidar caractérisent certains types de nuages sous certaines conditions météo uniquement  il faut savoir prendre cela en compte dans notre analyse! nuages météo CRE LW CRE SW CRE tot Fraction nuageuse Épaisseur optique tempér ature humidité pression

Questions à réunir autour d’un projet CDS/Paris-Saclay? A partir de nos données et de nos questions scientifiques, trouver les bonnes méthodes statistiques/mathématiques : – Comment séparer les différents forçages qui jouent sur une grandeur ; en particulier, comment séparer la variabilité naturelle d’un forçage externe? – Comment estimer une tendance par rapport à la variabilité naturelle? « Détection/attribution » – Comment interpréter un signal sur les modes de variabilités d’une grandeur en fonction de la durée et de la fréquence des données manquantes? Analyse en ondelette, transformée de Fourier, périodogramme… Autres questions pouvant être abordées dans le cadre du CDS – Comment estimer la représentativité spatio-temporelle d’une mesure locale? – Comment corriger une mesure dont l’instrument serait déplacé? – Comment faire le lien entre une mesure sol et une mesure satellite (collocalisation) – Il existe des délais dans la réponse d’une variable à un changement sur une autre variable (rétroaction) : comment traiter cette question?

Merci

Exemple Un paramètre x mesuré pendant 10 ans toutes les heures : – valeurs – 10% de trous : valeurs – Par an : 7884 valeurs – Par saison : 1971 valeurs – Par régime de temps : 492 valeurs – Par heure : 20 valeurs!

Ex. de l’effet radiatif des nuages sur le rayonnement solaire CRE SW (anomalies mensuelles) : CRE SW plus fort CRE SW plus faible La tendance est faible  comment estimer sa pertinence, en particulier en fonction du nombre de données manquantes? 2) Identifier une tendance dans un signal naturellement bruité

Applications actuelles de SIRTA-ReOBS Evaluation modèles climat et météo  2 Etudes sur l’influence combinée de la physique atmosphérique et de l’hydrologie du sol au SIRTA : + LMDZ, Cheruy et al. 2012, Campoy et al  Développement du simulateur lidar sol, équivalent au simulateur lidar spatial de COSP (mise à disposition prochainement)  Evaluation du biais de température dans les modèles en été, et en particulier rôle des nuages et de la surface : + WRF/MED-CORDEX, Bastin et al. Anomalies climatiques  Etude de la canicule de juillet 2006 eu Europe : comment les processus locaux amplifient des conditions de grande échelle favorables : + WRF/MED-CORDEX, Chiriaco et al  10 ans de cycle diurne des nuages au SIRTA en régimes de temps : Chiriaco et al.  Comparaisons des deux derniers hivers à une climato de 12 ans : Badosa et al. Comparaisons de sites  Effets de la grande échelle sur les processus locaux : analyse comparée entre le SIRTA et la CRA à Lannemezan : + observations du CRA, Dione et al. Etudes de processus  Caractéristiques saisonnières de la hauteur de couche limite au SIRTA, et lien avec les autres paramètres atmosphériques : Pal. Et al.

Hawkins & sutton 2009