La Grèce : des Dieux et des Hommes, cours 2 UTA, automne 2015 Luc Guay, Ph.D, didactique de l’histoire
Les Athéniens 2.1. Une puissance maritime et terrestre - importance du Pirée (le port d’Athènes) Guerres médiques Ligue de Délos Guerre du Péloponnèse 2.2. Une vie politique mouvementée Agora Monarchie – Tyrannie - Démocratie Ecclesia Bouleuterion 2.3. L’acropole Panathénées, Parthénon, Érechthéion Fonction d’un acropole Théâtres (Dionysos, Hérode Atticus) Temple (Héphaisthéion,)
Athènes et le Pirée En Attique, Est de la Grèce
Du 9e au 6e s av. J.C.: Grèce forte expansion en Méditerranée Milet
Les guerres médiques Conflit entre les Perses et les Grecs racontée par Hérodote (né à Halicarnasse en Turquie aujourd’hui) au 5r s. av. J.C. . Cyrus le Perse est vainqueur de Crésus (6e s. av. J.C.), roi de Lydie (en Turquie aujourd’hui) et fonde l’empire perse.
Consultation de l’oracle de Delphes avant la guerre… «Crésus, roi des Lydiens et d'autres nations, ayant reconnu que vos oracles sont les seuls vrais sur la terre, vous récompense par ces dons d'avoir deviné ce qu'il faisait; et maintenant, il vous demande s'il doit prendre les armes contre les Perses et s'il doit s'adjoindre une armée auxiliaire.» telles furent leurs questions. Les deux oracles s'accordèrent sur ce point: ils prédirent à Crésus que, s'il faisait la guerre aux Perses, il détruirait un grand empire. ... Lorsque Crésus ouït les réponses qui lui furent rapportées, il en ressentit une joie extrême; plein de l'espoir de renverser l'empire de Cyrus, il envoya de nouveau à Delphes, après s'être informé du nombre des habitants, et il leur fit donner deux statères d'or par tête. Les Delphiens, en reconnaissance, accordèrent à perpétuité à Crésus et aux Lydiens la priorité pour consulter la Pythie, l'immunité, la préséance aux jeux et le droit de cité pour ceux qui voudraient le réclamer. ... (La guerre eut lieu et Crésus perdit; il s'empressa de demander des explications aux prêtres d'Apollon qui lui répondirent ce qui suit): ... Au sujet de l'oracle, il se plaint à tort. Apollon lui a prédit que, s'il engageait la guerre contre Perses, il renverserait un grand empire; or, si Crésus avait voulu agir sagement, il devait envoyer une seconde fois pour savoir de quel empire il s'agissait, de celui de Cyrus ou du sien. Il n'a pas compris l'oracle ni demandé d'explications: à qui s'en prendre, sinon à lui-même?" (Hérodote, Histoires,Liv. 1)
Les guerres médiques Des cités-États grecques situées en Asie Mineure (Turquie d’aujourd’hui) ne veulent pas être sous le joug des Perses; Milet est détruite par troupes perses de Darius en 494 av. J.C. Athènes se porte à sa défense, Sardes, est ravagée. Ce fut le déclenchement d’un long conflit: 3 batailles En 490 av. J.C. : roi Darius contre le général Miltiade En 480 av. J.C. : roi Xerxès contre le général Thémistocle En 479 av. J.C. : roi Xerxès contre le général Thémistocle
Carte géo-politique 490 av. J.C.
Forces en présence en 490 av. J.C. à Marathon
La bataille de Marathon: "Or voici ce qui arriva: quand l'armée athénienne fut rangée en bataille, ses lignes s'étendirent autant que les lignes médiques; le centre se trouva formé d'un petit nombre de files, c'était le côté faible de l'armée mais les deux ailes présentaient des masses formidables. Les positions prises, les auspices se montrèrent favorables, et les Athéniens, aussitôt qu'on leur en donna le signal, s'élancèrent à la course sur les barbares. Il n'y avait pas moins de huit stades entre les deux armées. Les Perses, voyant leurs adversaires charger à la course, attendirent le choc; à leur petit nombre, à cette manière d'attaquer en courant, ils les jugèrent atteints d'une folie qui les perdrait infailliblement, d'autant qu'ils n'avaient ni cavalerie ni archers: voilà ce que se figuraient les barbares. Mais, lorsque les Athéniens se furent jetés dans la mêlée, ils combattirent avec une bravoure digne de mémoire. ... La bataille de Marathon dura longtemps. Au centre, les barbares l'emportèrent; le leur était composé des Perses et des Saces; sur ce point ils furent victorieux; ils rompirent les Athéniens et les poursuivirent en s'avançant dans les terres. Mais, aux deux ailes, Athéniens et Platéens eurent le dessus: ils mirent en déroute les corps qui leur étaient opposés; puis, s'étant réunis, ils se retournèrent contre ceux qui avaient enfoncé le centre. La victoire des Athéniens fut complète; ils serrèrent de près les fuyards en les taillant en pièces, et, quand ils les eurent poussés jusqu'à la mer, ils demandèrent du feu et s'attaquèrent aux vaisseaux. ... Les barbares perdirent à la bataille de Marathon six mille quatre cents hommes, les Athéniens cent quatre-vingt-douze: tel fut, des deux parts, le nombre des morts." (Hérodote, Histoires, Liv. VI, 115)
Victoire…grecque! Annonce de la victoire grecque: course de 42 km par soldat grec! Soldats grecs = citoyens, service militaire (2 ans) Hoplites: armement = casque, cuirasse, jambières, bouclier, javelot, épée, en bronze; Cavaliers: cheval avec selle, 2 javelots, épée Marins : sur trières = 35 m long sur 4-5 m large, 170 rameurs. Soldats perses: plus nombreux, mais: Société multiethnique Armures et boucliers souvent en cuir Cavaliers et archers
panache lance casque épée cuirasse cnémides Bouclier rond Cliché: Luc Guay
Cliché: Luc Guay
Clichés: Luc Guay
Cliché: Luc Guay
Forces en présence en 480 av. J.C.: à Salamine
La bataille des Thermopyles 300 soldats spartiates bloquèrent la route aux troupes perses de Xerxès Route menait à Athènes Perses sont éblouis par la bravoure et la puissance des soldats grecs Les 300 Spartiates moururent.
2e guerre médique: île de Salamine, 480 av. J.C.
Cliché: Luc Guay gouvernail Éperon de métal trière grecque
LA BATAILLE DE SALAMINE "La nuit se passe sans que la flotte grecque tente de sortie furtive. Mais, quand le jour aux blancs coursiers épand sa clarté sur la terre, voici que, sonore, une clameur s'élève du côté des Grecs, modulée comme un hymne, cependant que l'écho des rochers de l'île en répète l'éclat. Et la terreur alors saisit tous les Barbares, déçus dans leur attente; car ce n'était pas pour fuir que les Grecs entonnaient ce péan solennel, mais bien pour marcher au combat, pleins de valeureuse assurance; et les appels de la trompette embrasaient toute leur ligne. Aussitôt les rames brillantes, tombant avec ensemble, frappent l'eau profonde en cadence, et tous bientôt apparaissent en pleine vue. L'aile droite, alignée, marchait la première, en bon ordre. Puis la flotte entière se dégage et s'avance, et l'on pouvait alors entendre, tout proche, un immense appel: «Allez, enfants des Grecs, délivrez la patrie, délivrez vos femmes et vos enfants, les sanctuaires des dieux de vos pères et les tombeaux de vos aïeux: c'est la lutte suprême!» Et voici que de notre côté un bourdonnement en langue perse leur répond: ce n'est plus le moment de tarder. Vaisseaux contre vaisseaux heurtent déjà leurs étraves de bronze. Un navire grec a donné le signal de l'abordage: il tranche l'aplustre d'un bâtiment phénicien. Les autres mettent chacun le cap sur un autre adversaire. L'afflux des vaisseaux perses d'abord résistait; mais leur multitude s'amassant dans une passe étroite, où ils ne peuvent se prêter secours et s'abordent les uns les autres en choquant leurs faces de bronze, ils voient se briser l'appareil de leurs rames, et alors, les trières grecques adroitement les enveloppent, les frappent; les coques se renversent; la mer disparaît toute sous un amas d'épaves, de cadavres sanglants; rivages, écueils sont chargés de morts, et une fuite désordonnée emporte à toutes rames ce qui reste des vaisseaux barbares - tandis que les Grecs, comme s'il s'agissait de thons, de poissons vidés du filet, frappent, assomment, avec des débris de rames, des fragments d'épaves! Une plainte mêlée de sanglots règne seule sur la mer au large, jusqu'à l'heure où la nuit au sombre visage vient tout arrêter! Quant à la somme de nos pertes, quand je prendrais dix jours pour en dresser le compte, je ne saurais l'établir. Jamais, sache-le, jamais en un seul jour n'a péri pareil nombre d'hommes." (Eschyle, Perses, V, 353-432)
Bataille de Platées, 479 av. J.C. Victoire grecque: conséquence: Asie Mineure devient presque toute...grecque! et le restera jusqu'à l'arrivée des...Romains! Fondation de la Ligue de Délos: Athènes propose son « aide » militaire aux cités grecques En retour, les cités-États payent une taxe Athènes gère le « trésor » qui se trouve sur l’île de Délos Le « trésor » de Délos est transféré à Athènes… Sparte est mécontente Déclenchement de la guerre du Péloponnèse…
Guerre du Péloponnèse Athènes était au sommet de sa gloire Le port du Pirée était protégé d’un long mur qui le réunissait avec Athènes ! Durée du conflit: 431-404 av. J.C. Guerre entre Athènes et Sparte et leurs alliés respectifs Suite au mécontentement de Sparte et autres cités-États de la Ligue de Délos Victoire de Sparte Affaiblissement des cités-États Occasion en or pour les Macédoniens de s’emparer de la Grèce!
Guerre du Péloponnèse
Le port du Pirée Devint port numéro 1 après invasions perses du 5e s. av. J.C.: Thémistocle y fit construire des navires de guerre. Après la victoire des Grecs sur les Perses: le Pirée est le cœur de la puissance maritime d’Athènes De longs murs (milieu du 5e s. av. J.C.) sont construits entre Athènes et le Pirée: 6 km Furent défaits (411 av. J.C.) après la victoire de Sparte sur Athènes
forces en présence
MASSACRE EN TEMPS DE GUERRE: le sac de Mycalesse (près d'Athènes). "Il passa la nuit près du temple d'Hermès, à seize stades de cette ville, sans que son approche eût été signalée; au point du jour il se précipita dans la place, qui est peu étendue, et s'en empara. Les habitants n'étaient pas sur leurs gardes, et ne s'attendaient guère à être attaqués du côté de la mer, qui est si éloignée (environ 5 km); la muraille était faible, écroulée en certains endroits ou d'une hauteur insuffisante, enfin les portes étaient ouvertes comme en temps de paix. Entrée dans Mycalesse, les Thraces saccagèrent les maisons et les temples, firent main basse sur toute la population, n'épargnant la vieillesse ni l'enfance, et passant au fil de l'épée femmes, enfants, bêtes de sommes, en un mot tous les êtres vivants qu'ils rencontraient. Il n'y a pas de peuple barbare plus sanguinaire que les Thraces, tant qu'ils sont dans l'ivresse du succès. La désolation fut immense, et la mort parut sous mille formes. Il y avait à Mycalesse une école très nombreuse, où les enfants venaient d'entrer: les Thraces y firent irruption, et les égorgèrent tous. Jamais désastre plus imprévu ni plus complet ne frappa une ville entière." (Thucydide, Histoire de la Guerre du Péloponnèse, Liv. VII, 29)
2.2. Une vie politique mouvementée Types de gouvernances : Monarchie Aristocratie: pouvoir des vieilles familles Grands propriétaires terriens Roi nommé parmi eux Tyrannie Vers 650 av. J.C. « se débarrasser » des dirigeants pour résoudre crises Prise du pouvoir par la force: Dracon: 1er code de lois écrites (vers 621 av. J.C.) Solon: abolition esclavage pour dettes, magistrats élus ou tirés au sort Pisistrate (561 av. J.C.) et ses fils Hipparque et Hippias Oligarchie « se débarrasser » des tyrans Légiférer en faveur du peuple Clisthène (508 av. J.C.)
La démocratie athénienne 508 av. J.C. Œuvre de Clisthène Division population en 10 tribus Réunion des citoyens (assemblée du peuple) sur colline de la Pnyx, près acropole : ecclésia 40 réunions par an: pouvait recevoir environ 5000-6000 personnes Vote à mains levées, nommer magistrats: boulè et héliée Conseil = la boulè: 50 par tribu, tirés au sort pour 1 an (au bouleutérion) tribunal = Héliée, 600 par tribu, tirés au sort pour 1 an (l’aréopage) Égalité devant la loi Utilisation de l’ostracisme: exiler les « dangers publics » pendant 10 ans Pour les citoyens: 10% population Élection magistrats: 1 stratège (commandant) par tribu 1 archonte par tribu
La démocratie selon Aristophane (5e s. av. J.C.): LE PEUPLE EST-IL TROP NAIF POUR COMPRENDRE QU'ON LE FLATTE? "Le Choeur :- O dèmos (peuple), qu'il est beau ton empire! Tous te craignent à l'égal d'un tyran. Mais tu es facile à mener par le nez; tu aimes à être flatté et dupé, toujours écoutant les parleurs bouche bée; et ton esprit, tout en étant au logis, voyage au loin. Dèmos (représentant le peuple): - De l'esprit, il n'en est guère sous vos cheveux longs, si vous croyez que je ne sais pas ce que je fais; c'est volontairement qu'ainsi je fais le sot. Moi-même j'ai plaisir à avaler ma pâtée de chaque jour, et tiens à nourrir un voleur comme seul ministre. Mais celui-là, quand il est repu, je l'enlève de terre et frappe! Le choeur: - Alors tu fais bien, si la sagesse inspire ta conduite, comme tu dis, une profonde sagesse, si exprès tu les engraisses, comme des victimes publiques, dans la Pnyx, et qu'ensuite, s'il se trouve que tu n'as pas d'autres mets, tu prennes le plus gras pour l'immoler et en faire ton dîner. ... Le charcutier.- Mais dis-moi, comment donc, moi, simple charcutier, pourrai-je devenir un si grand personnage (pour diriger Athènes)? Le serviteur.- Tu es grossier, tu es une canaille, tu sors de la lie du peuple: c'est tout ce qu'il faut. Le charcutier.- Je ne puis croire que je monterai si haut! Le serviteur.- O ciel! Pourquoi douter? Tu sembles rouler des idées étranges dans ta tête. Tiendrais-tu à avoir des parents honnêtes et bien élevés? Le charcutier.- Je sors de ce qu'il y a de pire. Le serviteur. - Heureux mortel! Comme la nature a veillé à te pourvoir des qualités nécessaires au gouvernement de l'État! Le charcutier. - Toute mon éducation se borne à savoir lire, et encore, assez mal. Le serviteur. - C'est encore trop de savoir mal lire. Le gouvernement de la République ne doit pas être confié à des gens habiles et de moeurs honnêtes,mais à des grossiers et des propres à rien!" (Aristophane, Les cavaliers,1115)
La démocratie selon Platon (4e s. av. J.C.) « Les Athéniens sont à mon sens, comme au jugement des autres Grecs, un peuple intelligent. Or je vois, quand l’Assemblée se réunit, que, s’il s’agit pour la cité de constructions à entreprendre, on appelle en consultation les architectes, s’il s’agit de navires, les constructeurs de navire, et ainsi de suite […]; et si quelque autre, qui ne soit pas regardé comme un technicien, se mêle de donner son avis, […] on ne l’en écoute pas davantage, mais au contraire, on se moque de lui ou on fait du bruit, jusqu’à ce qu’enfin le donneur de conseils ou s’en aille de lui-même devant le tapage ou soit arraché de la tribune et chassé par les archers sur l’ordre des prytanes. […] S’il s’agit au contraire des intérêts généraux de la cité, on voit se lever indifféremment pour prendre la parole […], riches et pauvres, nobles et gens du commun, et personne ne leur jette à la tête, comme dans le cas précédent, le reproche de venir […] donner des conseils. » (Platon, Protagoras, 319b,c,d.)
La démocratie selon Aristote (4e s. av. J.C.) « Le principe de base de la constitution démocratique, c’est la liberté […). Et l’une des formes de la liberté, c’est d’être tour à tour gouverné et gouvernant. En effet, le juste selon la conception démocratique, c’est que chacun ait une part égale numériquement et non selon son mérite, […] et c’est l’opinion de la majorité qui est souveraine. Tel est donc un signe de la liberté que tous les partisans de la démocratie posent comme caractéristique de [ce régime politique]. Un autre signe, c’est de vivre comme on veut, […]. Ces bases étant posées […], voici les traits caractéristiques du régime populaire : choix de tous les magistrats parmi tous les citoyens; gouvernement de chacun par tous et de tous par chacun à tour de rôle; tirage au sort des magistratures, […] impossibilité pour un même citoyen d’exercer, en dehors des fonctions militaires, deux fois la même magistrature, […] courte durée des magistratures, [..] fonctions judiciaires ouvertes à tous, touts jugeant de tout, […] par exemple la vérification des comptes, les affaires politiques, les contrats privés; souveraineté de l’assemblée dans tous les domaines […]. » (Aristote, Les politiques, VI (6), 2, 1317a.
2.3. l’Acropole: un rocher emblématique Rocher sur lequel les Anciens Grecs construisaient leurs cités-États: L’acropole est ceinturée d’une muraille À Athènes, l’acropole (148 m de haut) a été détruite par les Perses lors de la 2e guerre médique (480 av. J.C.) Le stratège Périclès (vers 450 av. J.C.) en a fait une colline célèbre grâce aux monuments qu’il y fit construire: Le Parthénon L’Érechthéion L’Athéna Nikè Les Propylées Aux pieds de l’acropole on trouve deux théâtres et un temple: Dionysos (en bois au 5e s av. J.C., en pierre au 4e s av. J.C.) Hérode Atticus (161 ap. J.C.) Temple d’Héphaistos (appelé aussi Théséion) (5e s. av. J.C.)
Périclès Cliché: Luc Guay
maquette de l'acropole d'Athènes, Muller.
L’Acropole d’Athènes Parthénon: Temple dédié à Athéna (« la vierge » = Parthénos) Renfermait le trésor de la Ligue de Délos Style dorique (8 x 17 colonnes) 70 m x 31 m, 10 m de haut. « corrections optiques » : base, colonnes Statue d’or et d’ivoire d’Athéna par Phidias Durée de la construction: 9 ans
Cliché: Luc Guay
Reconstitution grandeur nature du Parthénon, à Nashville, USA; Wikipédia
Cliché: Luc Guay
plan d'un temple salle contenant le "trésor" salle avec statue vestibule
Clichés: Luc Guay
L’Acropole Érechthéion: . Temple de style ionique .Dédié à 3 divinités: Athéna, Poséidon, Zeus . Portique des Cariatides: 6 jeunes filles servant de colonnes Cliché: Luc Guay
Cliché: Luc Guay
L’Acropole Athéna Nikè: Nikè= « victoire » Bataille de Platées contre les Perses Style ionique (4 colonnes Cliché: Luc Guay
L’Acropole Propylées: Théâtre de Dionysos: Entrée monumentale de l’Acropole avec 2 ailes Pinacothèque et salle menant au temple d’Athéna Nikè Voie sacrée Procession des Panathénées Théâtre de Dionysos: Au 5e s. av. J.C.: gradins en bois Au 4e s. av. J.C.: gradins en pierre 17 000 spectateurs Orchestra circulaire: acteurs; au centre: autel à Dionysos
L’Acropole Odéon (théâtre) d’Hérode Atticus: En 161 ap. J.C. 5000 spectateurs
L’Acropole Héphaisthéion Style dorique 6 x 13 colonnes 14m x 32 m Cliché: Luc Guay
Héphaisthéion Cliché: Luc Guay
fronton triglyphes métopes frise chapiteau dorique fût
l'agora d'Athènes place publique comptait des édifices: civils marché centre commercial: stoa d'Attale (2e s. av. J.C.): boutiques administration civile: bouleutérion, tribunal de l'héliée, tholos (hôtel de la monnaie) religieux temple : Héphaistéion
Hephaistéion stoa d'Attale
Au prochain cours 3. Quelques cités-états importantes: 3.1. Delphes Oracle illustre Son sanctuaire 3.2. Corinthe Canal: une histoire étonnante 3.3. Épidaure Sanctuaire d’Asclépios Théâtre magnifique 3.4. Éleuthères Forteresse